Note de l'éditeur : Cet article a été rédigé et publié pour la première fois en avril 2006.

(Minghui.org) Mars 2006 marquait le 12e anniversaire de la dissémination du Fa par le Maître à Dalian, province du Liaoning, Chine. Avec le plus grand respect, quelques pratiquants de Falun Gong vétérans à Dalian se sont souvenus de ce précieux moment lorsque notre honorable Maître a apporté la grâce à Dalian en y disséminant le Fa. Il y a 12 ans, nous écoutions les conférences de Fa du Maître en personnes et avons été témoins des épreuves que le Maître a endurées, ainsi que du miracle et de la profondeur du Fa. Nous étions enveloppés dans l'immense bienveillance de notre honorable Maître.

I. Le Maître nous a dirigés vers le chemin de cultivation dans Dafa

« Pendant ô combien d'années chercher le Maître,

Un jour le voir en personne,

Obtenir la Loi, cultiver pour retourner,

Atteindre la plénitude parfaite, rentrer en suivant le Maître. »

(« Affinité, retourner au Fruit sacré », Hong Yin)

Chaque disciple de Falun Dafa a traversé une expérience unique d'obtenir le Fa. Cela peut sembler avoir été le résultat d'une série de coïncidences, mais cela a en fait été le résultat d'une affinité prédestinée avec le Fa. C'est le Maître qui a guidé chacun de nous vers la cultivation et pratique du Falun Dafa. Nous devons chérir cette précieuse affinité prédestinée qui ne reviendra jamais. Voici les histoires de deux pratiquants ayant obtenu le Fa :

A) Une affinité prédestinée avec la cultivation de Bouddha m'a guidé

J'ai un jour fait un rêve alors que j'allais au collège. Dans le rêve, j'entrais dans une ère ancienne durant laquelle j'étais sous la tutelle d'un moine bouddhiste en robe jaune. Tout dans ce rêve était très clair et m'avait l'aisé une impression profonde. En conséquence de ce rêve, en 1980, j'ai commencé à visiter des monts célèbres et des monastères bouddhistes à la recherche de mon maître, mais je cherchais en vain.

En octobre 1993, j'ai effectué un voyage d'affaires à Anqiu, province du Shandong. Un jour à midi, alors que j'étais dans ma chambre d'hôtel, j'ai vu un rayon de lumière argentée se diriger vers moi et entrer dans mon front. J'ai immédiatement senti une force puissante me tirer en avant à une vitesse incroyable et laissant tout derrière. Puis, j'ai soudainement vu un Bouddha à l'allure bienveillante et paisible. J'étais complètement sous le choc après cette vision réelle juste devant mes yeux. « Donc il existe vraiment des Bouddhas et des divinités dans ce monde », ai-je pensé en moi-même. Étonné et confus, je suis sorti en courant et j'ai commencé à passer des appels longue-distance à mes amis, en demandant leur avis à ce sujet. Chacun m'a dit que c'était une très bonne chose de voir un Bouddha et qu'une personne verrait le Bouddha si elle a vraiment la foi en Bouddha.

Voir un Bouddha de mes propres yeux avait complètement balayé les conceptions d'athéisme et de superstition que le Parti communiste chinois avait installé dans mon esprit. Dès lors, j'ai commencé à lire systématiquement les écritures bouddhistes et à mémoriser les Classiques de la moralité et de la vertu (un texte classique taoïste). Au cours de la vague de popularité du qigong, j'ai assisté à plusieurs cours de qigong pour chercher la vérité, mais j'échouais à chaque fois. La chose étrange était qu'il y avait toujours un Bouddha à mes côtés, quel que soit le cours de qigong auquel je participais. Le Bouddha était gigantesque et je ne pouvais voir qu'une partie de Son visage. En y repensant maintenant, je réalise que c'était le Fashen du Maître qui veillait sur moi, un disciple qui s'était égaré. Notre Maître bienveillant et respecté a enduré de nombreuses épreuves afin que Ses disciples obtiennent le Fa et retournent à leur origine première.

Avant le Nouvel An chinois de 1994, un de mes camarades de classe est venu de Pékin me rendre visite. Il m'a présenté le Falun Gong avec beaucoup d'enthousiasme, disant que le Falun Gong était très populaire à Pékin et avait tenu des dizaines de sessions et que de plus en plus de gens venaient apprendre. Il a mentionné en particulier comment Maître Li était surnaturel. Il avait eu une fois l'occasion de filmer Maître Li enseignant les exercices au Temple Jietai à Pékin. Alors qu'il filmait le troisième exercice « Pénétrer les deux pôles cosmiques », il y avait eu une grosse bourrasque de vent. Même les gros pins se balançaient dans le vent. Mon camarade de classe a dit : « Le vent souffle trop fort et je ne peux rien filmer. » Le Maître lui a dit : « Dis-moi quand ta machine sera ajustée. Je vais stopper le vent. » En entendant cela, mon camarade a dit dans son cœur : « Comment pouvez-vous stopper un tel vent ? » Mais il a rapidement ajusté sa caméra et a dit au Maître : « Maître Li, tout est prêt. » Il avait à peine fini cette phrase que le vent autour du Maître s'était arrêté. Pas un seul cheveu ne bougeait. Pourtant, à plusieurs mètres du Maître, le vent soufflait toujours fort et les pins continuaient de se balancer. Pendant qu'il filmait l'exercice de méditation, le trépied s'est penché et la lentille n'était plus dirigée vers le Maître. Il a pensé que ce serait bien que le Maître puisse bouger un peu vers la droite. Il a alors vu le Maître, qui était en train de méditer, flotter soudainement vers la droite, comme si quelqu'un soulevait le Maître par-derrière. Cet incident avait véritablement bouleversé mon camarade et il a senti que ce Maître n'était vraiment pas une personne ordinaire. En y repensant aujourd'hui, c'était en réalité le Maître qui avait arrangé que mon camarade de classe m'aide à trouver Dafa et à finalement obtenir le Fa.

Le 27 mars 1994, la première session de Falun Gong a eu lieu dans l'auditorium de l'Institut des langues étrangères de Dalian et près de 500 personnes y ont assisté. Le premier jour, j'étais assis derrière. Je ne pouvais pas voir le Maître clairement, mais les profonds principes du Fa que le Maître enseignait ont profondément touché mon cœur et des larmes coulaient le long de mon visage de façon incontrôlable. Tout mon corps et mon esprit étaient baignés dans la bienveillance du Fa de Bouddha et je me sentais rafraîchi et en admiration. À cette époque, j'avais aussi senti que quelque chose dans la veine sur le dos de ma main droite avait été enlevé et que mon corps était purifié.

Le deuxième jour, j'étais assis à la seconde rangée. Je préparais mon enregistreur audio avant le début du cours. Lorsque j'ai relevé les yeux, le Maître était déjà sur la scène. J'étais bouleversé de voir que le Maître était exactement le même Bouddha que j'avais vu à Anqiu. Le Maître n'était-il pas celui que je cherchais et attendais depuis des millions d'années ? Je ne pouvais pas retenir mes larmes. J'ai écouté la conférence avec des larmes coulant sur mon visage. Après la conférence, je me suis précipité vers le Maître, criant dans mon cœur : « Maître, finalement, je vous ai trouvé ! » Le Maître parlait à quelques pratiquants vétérans venus d'une autre ville. J'ai quitté la foule et me suis tenu en face du Maître. À cette époque, je ne connaissais pas le geste de heshi, j'ai donc tendu la main et dit : « Salutations, Maître ! » Le Maître m'a lancé un regard et m'a serré la main. Je fixais le Maître des yeux. Ce moment a semblé durer plusieurs siècles. Après avoir retrouvé mes esprits, je me suis précipité hors de l'auditorium et j'ai crié vers le ciel : « J'ai trouvé mon Maître ! J'ai vu le vrai Bouddha ! » Mon affinité prédestinée avec le Bouddha a guidé mon cœur à chercher le Maître pendant de nombreuses années. Maintenant, le Maître m'a guidé vers la cultivation dans Dafa.

B) Le Maître a purifié mon corps afin que je puisse cultiver

Une autre pratiquante parle de son parcours spécial pour obtenir le Fa.

Je suis une personne qui souffrait autrefois de nombreuses maladies et au bord de la paralysie. On m'a diagnostiqué une thrombose cérébrale, une hernie discale et d'autres maladies. J'avais été hospitalisée 5 ou 6 fois. Les connaissances et les moyens médicaux les plus avancés ne pouvaient pas guérir mes maladies.

Alors que j'étais au désespoir au début de 1994, un de mes amis m'a donné un exemplaire du Falun Gong de Chine et des cassettes audio des conférences du Maître. Cet ami a dit que ce gong était très bon et m'a demandé d'assister à un cours organisé deux semaines plus tard à Dalian. Cette nuit-là, mon époux a fini de lire le livre d'une traite et il n'arrêtait pas de dire que ce livre était merveilleux et m'a demandé de le lire. Après avoir lu le livre, j'ai aussi senti que c'était quelque chose que je n'avais jamais lu avant. Je voulais vraiment assister au cours du Maître.

Le cours a commencé le 27 mars 1994. Mon mari m'a porté sur son dos jusqu'à l'auditorium. Je me suis assise sur un canapé, soigneusement couverte des pieds à la tête. J'avais une longue veste sur moi et une couverture sous moi. Environ 10 minutes avant le début du cours, une personne responsable de l'association de qigong de la ville est venue nous convaincre de rendre les billets et de quitter l'auditorium. J'ai fermement résisté. Mon mari est allé dans les coulisses et y a trouvé le Maître. Il lui a brièvement présenté ma situation et le Maître a dit : « Je ne suis pas ici pour guérir les maladies. » Mon mari a dit : « Non, nous ne sommes pas ici pour voir nos maladies guéries. Il y a deux semaines, nous avons déjà commencé à lire le livre et à écouter les enregistrements. Nous sommes venus apprendre les exercices. » Le Maître a ensuite dit : « Cet élève a une bonne qualité d'éveil. Laissez-moi la voir. »

Le Maître est ensuite descendu de la scène et est venu vers moi. Je me suis immédiatement levée et le Maître m'a demandé de m'asseoir. Le Maître m'a donné une grande gifle dans le cou, suivie d'une légère tape. Le Maître a fait la même chose sur ma tête et mes épaules. Ensuite, le Maître m'a demandé de me mettre debout et de marcher. Lorsque j'ai eu marché quelques pas, le Maître m'a demandé d'arrêter et il a ensuite fait la même chose à mes jambes. Tout le processus n'a pas duré plus de deux minutes. À ce moment, le Maître a dit : « Tu es prête. Essaie de faire quelques pas. » J'ai marché deux fois autour de la scène et de nombreux élèves se sont levés pour applaudir. Après que je suis retournée à mon siège, plusieurs élèves assis derrière moi ont dit que j'étais la personne la plus chanceuse. Ils suivaient le Maître et avaient assisté aux cours en plusieurs endroits et ils n'avaient jamais vu le Maître offrir de guérir les maladies des gens. Je leur ai dit : « Je ne m'attendais pas à cela non plus. J'ai vraiment de la chance. » Après le cours, le Maître m'a demandé : « Sens-tu que ton cou bouge plus facilement ? » J'ai répondu que oui. Le Maître a également dit à mon mari que j'avais senti un choc électrique quand le Maître avait giflé mon cou. En réalité, j'aurais pu éviter les nombreuses opérations que j'avais subies. Les paroles du Maître m'ont mise très à l'aise et très amicale.

Après le cours du premier jour, mon mari a encore voulu me porter pour sortir de l'auditorium. Je lui ai dit que je voulais marcher par moi-même. Après avoir fait le premier pas, je me suis sentie très légère sur mes jambes. En réalité, j'ai marché tout le long du chemin jusque chez nous. Mon mari a de nouveau offert de me porter jusqu'au deuxième étage où notre domicile se trouvait, j'ai dit que je voulais de nouveau essayer. J'ai vraiment pu grimper les escaliers. Le deuxième jour, j'ai pu descendre les escaliers et me promener. Moi, une patiente alitée depuis si longtemps, je suis devenue une personne en bonne santé en deux minutes. Les personnes ordinaires ne croiraient pas cela, mais c'est un miracle qui m'est arrivé.

Après trois mois de cultivation, je pouvais prendre le bus avec les autres élèves pour aller chercher le Maître et aller au cours lorsque le deuxième cours a été organisé. Le Maître a dit :

« Nous ne traitons pas les maladies. Cependant, pour quelqu’un qui cultive et pratique véritablement, si vous avez un corps malade, vous ne parviendrez pas à cultiver et pratiquer. Je dois purifier votre corps. Cette purification du corps ne concerne que ceux qui sont vraiment là pour apprendre la méthode, qui sont vraiment là pour étudier la Loi. » (Zhuan Falun)

Ce passage m'a permis de soudain réaliser que le but d'être un être humain est de cultiver et de retourner à son être véritable. Le Maître a purifié mon corps afin que je puisse obtenir le Fa et cultiver, pas pour que je reste une personne ordinaire. C'est le Maître bienveillant qui m'a guidée sur le chemin de la cultivation et à devenir une pratiquante de Falun Dafa.

II. La splendeur de Dafa diffuse la grâce et frappe les élèves d'émerveillement

Pendant le premier cours organisé à Dalian, un élève a pu voir de nombreuses scènes magnifiques dans les autres dimensions pendant qu'il écoutait les conférences du Maître. Il a vu les gardiens célestes tout autour ainsi que de nombreuses divinités protectrices du Fa. Il était si enthousiaste qu'il en a pleuré. Voici les souvenirs de ce cours de ce pratiquant.

Le Maître a enseigné le Fa profond d'une manière très facile à comprendre. Auparavant, j'avais lu quelques autres écritures et appris quelques autres pratiques de qigong, mais je n'avais jamais rien entendu d'aussi profond. Aucune autre pratique de qigong n'expliquait si clairement les êtres humains et aucune d'entre elles n'expliquait si profondément la vie et l'univers. Chaque mot prononcé par le Maître était un secret céleste et touchait mon cœur. Rien ne peut être comparé à un Fa si grand.

Je me sentais de plus en plus ouvert d'esprit après avoir écouté le Fa du Maître. C'était comme si ma vie devenait de plus en plus grande et mon niveau de plus en plus élevé. Tous ces sentiments renforçaient ma détermination à cultiver. Plus tard, j'ai eu la chance de faire visiter Dalian au Maître. En passant près de chez moi, je me suis excusé auprès du Maître : « Maître, je suis désolé de ne pas vous inviter à visiter mon domicile car il est très petit et pas rangé. » Le Maître n'a rien dit mais m'a regardé. Soudain, une pensée m'a frappé : « Ce n'est pas chez toi. Ton véritable domicile est véritablement merveilleux. » J'ai senti de la légèreté dans mon cœur comme si je voyais mon merveilleux futur domicile.

Je me sentais comme un enfant quand je restais avec le Maître. Je disais tout ce que je voulais dire, je demandais tout ce que je voulais demander. Le Maître me donnait toujours des réponses satisfaisantes. Quelle que soit la difficulté que je traversais, le Maître me montrait toujours l'issue. Je sentais véritablement que le Maître est tout-puissant et que Dafa est tout-puissant. Ce que le Maître nous donne est tout ce qui est merveilleux.

Cela fait des années depuis que j'ai vu le Maître pour la dernière fois. Cependant, quoi que je rencontre dans ma cultivation, je parle toujours au Maître dans mon cœur ou je pose au Maître des questions en face du portrait du Maître. Le Maître me donne toujours la réponse. Tant que je crois au Maître et en Dafa, il n'y a pas d'épreuve que je ne puisse passer. Je sens véritablement l'immense compassion du Maître et le pouvoir illimité de Dafa.

Traduit de l'anglais en Belgique