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Rester ferme pour parler aux gens des faits sur le Falun Gong dans mon salon de coiffure

1 juin 2014 |   Écrit par une pratiquante dans la province du Henan, Chine

(Minghui.org) Depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong en 1999, j’ai été reconnaissante envers le Maître qui me guide et m’aide. J’aimerais partager certaines de mes expériences sur la façon dont j’ai surmonté des épreuves dans la famille et comment je parle du Falun Gong aux autres dans mon travail en tant que coiffeuse.

Tribulations dans la famille

Dès que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Gong en juillet 1999, la situation a changé en Chine. Influencée par la propagande de la diffamation, ma famille a été trompée et m’a dit de cesser de pratiquer le Falun Gong.

Le premier test est venu de ma belle-mère. Étant donné que mon mari est mort, nous habitions ensemble et nous nous soutenions l’une l’autre. Mais quand j’ai parlé du Falun Gong à mes clients dans mon salon de coiffure, qui était à l’intérieur de mon domicile, elle s’est beaucoup inquiétée et a commencé à se plaindre.

Un jour, elle a dit : « Je t’ai vue parler du Falun Gong à tes clients. Et si quelqu’un te signale à la police ? C’est trop dangereux. »

« Tout ira bien », ai-je répondu. « Ces personnes ont été trompées par la propagande de haine du Parti et je leur dis les faits. »

« C’est trop risqué. Tu peux en parler aux gens dans la rue, mais pas chez nous », a-t-elle répondu.

Je lui ai dit que pour les autres choses dans la famille je l’écouterai, mais pas pour ça, parce que c’est très important que les gens sachent la vérité. Cependant, elle n’a pas été convaincue et a cessé de me parler.

Je me suis calmée et j’ai réfléchi. Je savais que j’avais fait la bonne chose, mais pourquoi ne pouvait-elle pas comprendre ? Je me suis rendu compte que des éléments pervers dans d’autres espaces interféraient, alors j’ai commencé à émettre la pensée droite.

Ça a marché et son comportement s’est amélioré. Néanmoins, quand j’ai continué à dire les faits sur le Falun Gong à davantage de clients, elle m’arrêtait à l’occasion, disant aux clients de ne pas m’écouter et les suppliant même de ne pas me signaler à la police.

Dans « Message de félicitations » (Points essentiels pour un avancement diligent

(III)), le Maître a dit :

« Disciples de Dafa, vous êtes la lumière dorée dans ce monde impur, vous êtes l’espoir des gens de ce monde, vous êtes les disciples de Loi qui assistez le Maître, vous êtes de futurs Rois de Loi. »

J’ai décidé de bien faire malgré la difficulté.

Un habitant du village, qui était mon client depuis longtemps, était un ancien membre du PCC. Une fois je lui ai dit de quitter le PCC. Cela lui a fait peur, et il a arrêté de venir. Mais son épouse venait quand même se faire couper les cheveux, et je lui ai expliqué les faits sur le Falun Gong. Un jour, elle a eu un accident de voiture, et je lui ai dit de réciter : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » De cette façon, elle en bénéficierait en soutenant la droiture.

Après cela, l’ancien membre du PCC est revenu me voir. Je lui ai dit que nous, les pratiquants, suivons les principes de Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour devenir de meilleures personnes. « Comme vous savez, le PCC a commis beaucoup de mauvaises actions durant ses campagnes politiques, et des dizaines de millions de gens ont perdu la vie à cause de cela. » Je lui ai dit qu’on doit quitter le PCC pour avoir un bon avenir quand le ciel punira le PCC.

Il m’a regardée, m’a souri et a dit : « Oui, veuillez m’aider à démissionner du PCC. » En partant, il a pris un exemplaire des Neuf commentaires sur le Parti communiste.

L’histoire de ma fille

Ma fille a eu de bonnes notes à l’école et elle a passé le concours pour un poste de fonctionnaire ainsi que le concours d’admission à l’université. Après avoir appris la nouvelle, certains habitants du village se sont demandés si elle serait admise parce que je pratique le Falun Gong. Ma belle-mère a entendu cela et était aussi inquiète.

Ma fille a comparé les deux options et a décidé de prendre l’emploi dans la fonction publique. Le lendemain du jour où son examen physique a été fixé, ma belle-mère m’a demandé encore si ma pratique affecterait la famille. Ma fille a entendu notre discussion et m’a suppliée de cesser de parler du Falun Gong aux gens, sinon elle n’irait pas passer l’examen physique. Je ne voulais pas perdre du temps avec elle et j’ai acquiescé de la tête.

J’ai été surprise quand ma fille a ajouté : « Tu dois promettre de ne plus parler du Falun Gong aux gens dans l’avenir. » Choquée par ses paroles, j’ai su que les éléments pervers dans d’autres espaces la contrôlaient.

Regardant ma fille, je lui ai dit calmement et avec fermeté : « Tu peux décider si tu veux ou non aller faire l’examen physique. Quant à moi, je ne peux pas vivre sans le Falun Gong. Rien et personne ne peut m’en empêcher.»

Ma fille a commencé à pleurer, et ma belle-mère a commencé à se plaindre. Mais je n’ai pas été affectée. Je leur ai dit : « C’est à cause des affinités prédestinées que nous sommes une famille. Je chéris cela. D’un autre côté, en pratiquant le Falun Gong on sera béni et cela ne fera aucun mal. » Je leur ai dit que soutenir Authenticité-Bienveillance-Tolérance les mènerait à un futur radieux.

Peu de temps après, ma fille a été admise et toute la famille était heureuse.

De cette expérience, j’ai appris que tout ce qui nous arrive peut être un test. Tant que nous avons une foi inébranlable envers le Maître et le Fa, nous pourrons bien avancer sur notre chemin.

Traduit de l’anglais au Canada