(Minghui.org) Dans la Chine ancienne, la luxure était considérée comme un vice grave et comme le plus grand des péchés, parce que les relations sexuelles entre un homme et une femme non mariés constituent une violation de la loi céleste et de la moralité humaine. Pour une femme célibataire, cela détruit sa pureté et la réputation de ses parents. Pour une femme mariée, cela entraîne l'humiliation et l'humiliation de la famille de son mari. Pour un homme, il en résulte une perte de la réputation, des bénédictions, de la durée de la vie et apporte le désastre à sa famille.


Un jeune homme qui vivait dans la région de Fujian pendant la dynastie Qing avait été fiancé à une fille de famille riche quand il était jeune. Son père était modeste et aimable, mais ne laissa pas d'économies lorsqu'il mourut. Le jeune homme dût emprunter de l'argent pour son mariage.


Le jeune homme fît un rêve avant son mariage. Dans son rêve, il était dans un autre monde et vit un groupe de femmes dans une belle maison en train de broder une robe. Il leur demanda à quoi la robe était destinée. Elles lui dirent que c'était pour le plus haut érudit à l'examen national. Le jeune homme découvrit que c'était son nom qu'elles brodaient sur la robe et se sentit très fier.


La famille de la fiancée du jeune homme n'appréciait pas sa pauvreté et finit par envoyer leur servante l'épouser sans lui dire. Le jeune homme n'en sut rien jusqu'à ce que des personnes se moquent de lui un jour. Il questionna sa femme et a obtenu confirmation qu’elle était une servante de la famille riche. Le jeune homme se sentit humilié et en colère. Il décida que lorsqu'il deviendrait le haut érudit à l'examen national et riche un jour, il se remarierait.

Une nuit, il fît un autre rêve dans lequel il visita un monde différent. Cette fois, les dames dans la belle maison semblaient froides et les mots qu'elles brodaient sur la robe paraissaient flous. Il demanda pourquoi. Les dames lui dirent que les divinités au ciel avaient arrangé qu’une autre personne obtienne le premier rang, le haut érudit originel ayant récemment pensé à abandonner sa femme.


Le jeune homme se réveilla et regretta d'avoir eu une pensée aussi mauvaise et immorale. Il promit de rester fidèle à sa femme pour le restant de sa vie. Il obtint finalement le rang de haut érudit à l'examen national.


Li Deng, un homme qui vivait sous la dynastie Qing, avait reçu le premier rang à l'examen régional quand il avait 18 ans. Pendant les quinze années suivantes, il n'obtint jamais de classement dans d'autres examens. Perplexe il demanda à un devin nommé Ye Jing d’en trouver la raison. Ye Jing entra dans un royaume céleste par la méditation, et il vit un fonctionnaire avec un livre où étaient enregistrées les bénédictions et les punitions tout au long de la vie de Li Deng.


Le texte suivant était écrit dans le livre : « Quand Li Deng est né, les dieux l'ont doté d'un sceau en jade. Il était prévu qu'il se classerait premier à l'examen régional à l'âge de 18 ans, obtiendrait la première place à l'examen national à 19 ans, et serait promu au poste de Premier ministre à 53 ans. Toutefois, après avoir obtenu la première place à l'examen régional, il jeta des yeux pleins de désir sur la fille de son voisin, Zhang Yanniang. Afin d'obtenir Yanniang, Li Deng complota contre son père, le faisant injustement jeter en prison.


En conséquence, les divinités réduisirent et repoussèrent la bénédiction suivante de Li Deng de dix ans. Par la suite, Li Deng s'empara de la maison de son frère, ce qui entraîna un procès. Son classement prévu fut abaissé de nouveau et repoussé d'encore dix ans. Par la suite, Li Deng viola une femme, Zheng, et monta un coup contre son mari. Son classement fût abaissé de nouveau et repoussé d’une dizaine d'années. Sans aucun remords, il commit l'adultère avec la femme du voisin, Wang Qingniang. Sa bénédiction lui fût complètement retirée pour ses mauvaises actions répétées. »


Après que le devin Ye Jing ait dit à Li ce qu'il avait vu dans sa méditation, Li regretta profondément son comportement et mourut finalement d’une dépression.


(à suivre )

Traduit de l'anglais en Europe