(Minghui.org) J'ai un enfant unique qui a maintenant 17 ans et est en dernière année du secondaire. Lorsque mon fils est né, le médecin nous avait déjà informé qu'il présentait des symptômes de cardiopathie congénitale. Il avait des trous entre l'atrium et entre les ventricules, une artère pulmonaire étroite et une valve atrio-ventriculaire très relâchée qui ne se refermait pas complètement.

Lorsque mon fils avait 4 ans, il a eu sa première opération dans le meilleur hôpital de Séoul. Après l'opération, je lui ai permis d'aller en Chine pour voir ses grands-parents. Cependant, moins de six mois plus tard, son visage a commencé à devenir bleu et la maladie allait et venait inexplicablement. Il avait aussi de la difficulté à respirer et crachait du sang. Cela a tellement effrayé mes parents qu'ils m'ont supplié de l'emmener d'urgence à l'hôpital.

En 2002, je suis allé chercher mon fils à l'Aéroport de Incheon et j'étais sous le choc en voyant que son visage était devenu sombre. Je me suis dit en moi-même : « Il a définitivement été empoisonné par le pervers Parti communiste chinois (PCC). » Je lui ai donc parlé des faits sur la persécution du Falun Gong.

Je ne m'attendais pas à ce qu'il pousse des cris de terreur. Il a sangloté et a dit : « Arrête papa. Jiang Zemin va m'enlever mon papa. » J'étais stupéfait. Le pervers PCC n'épargne même pas les enfants de 4 ans. Tout le long du chemin de retour, j'ai clarifié les faits à mon fils. Finalement, il m'a souri avec douceur et innocence et m'a dit qu'il pratiquerait le Falun Gong avec moi.

Comme mon épouse ne pratiquait pas le Falun Gong et était inquiète pour notre fils, elle a insisté pour l'emmener à l'hôpital. Les deux médecins qui avaient opéré mon fils la première fois étaient professeurs. Après l'avoir examiné, ils nous ont informés qu'il aurait besoin d'une deuxième opération sinon il ne vivrait pas longtemps, parce que son artère pulmonaire était presque totalement resserrée, ce qui faisait épaissir la paroi de son ventricule droit.

Cependant, cette opération devait être reportée, sinon la vie de mon fils serait en danger imminent. Ils lui ont prescrit un médicament petit et granuleux. Ils m'ont dit qu'il était très puissant, comme un poison. Je devais seulement lui en donner la moitié, le surveiller de près, appeler le 119 (la ligne téléphonique pour les soins d'urgence) si quelque chose ne semblait pas aller et l'emmener directement en salle d'urgence. Le médicament devait épaissir la paroi mince du ventricule en préparation pour l'opération qui allait avoir lieu 20 jours plus tard. Les professeurs ont aussi indiqué qu'une troisième opération serait probablement nécessaire et que les enfants souffrant de ce problème ne vivaient en général pas longtemps.

À cette époque, je traduisais « Enseignement de Fa à la conférence d'Australie » dans lequel il y avait ce passage :

Un disciple : « Est-ce que les très jeunes enfants des pratiquants devraient voir un médecin ? »

Le Maître : « Les gens qui ne cultivent et ne pratiquent pas devraient voir un médecin chaque fois que cela s'avère nécessaire, car les gens ordinaires doivent consulter des médecins lorsqu'ils tombent malades. Ce dont je parle ici, c'est pour quelqu'un qui cultive et pratique véritablement, même ton corps va se transformer en corps de Bouddha et c'est quelque chose que les médecins ne peuvent pas accomplir quels que soient les soins qu'ils prodiguent. Mais parmi ceux qui cultivent et pratiquent dans Dafa, il y a souvent des familles qui ont des enfants et il est très probable qu'ils ne soient pas des enfants ordinaires. Avant de se réincarner, l'enfant sait - 'Cette famille étudiera Dafa dans le futur, je veux me réincarner dans cette famille' – ce qui signifie qu'il est fort probable qu'il ait une provenance extraordinaire. Avec ce genre d'enfant, avant que l'enfant soit en âge de pouvoir faire les exercices lui-même, la pratique des exercices que le parent fait servira de pratique pour l'enfant. Il y a beaucoup de cas comme cela et il ne tiendra qu'à l'adulte d'en juger. Si tu ne peux pas distinguer qu'il s'agit de cette situation, alors aller à l'hôpital n'est pas considéré comme faux. Mais dans de tels cas, ton propre cœur sera examiné, car il révélera diverses pensées et états d'esprit. Disons-le ainsi : si tu es un pratiquant de Dafa déterminé, tu comprendras que chaque personne a son propre destin et que les problèmes qui ne sont pas supposés arriver ne seront pas autorisés à se produire à la légère. Généralement, le genre d'enfant dont je parle – qui sont venus de niveaux élevés – sont venus pour obtenir le Fa. Ils n'ont pas du tout de karma et ne tomberont jamais malade. Tout ce qu'ils endurent, ils le supportent très probablement pour toi, l'adulte. Il y a beaucoup de cas comme cela. Mais ce n'est pas absolu non plus. Vous devez évaluer et traiter chaque situation spécifique par vous-mêmes. »

J'ai laissé mon épouse lire cette partie du Fa et je lui ai dit : « Dans le passé, le Falun Gong a fait preuve de tels miracles dans tous le pays. Nous laisseras-tu l'essayer ? » Avec des larmes coulant le long de ses joues, mon épouse a accepté.

J'ai demandé à mon fils : « Veux-tu te faire opérer ou apprendre Dafa ? » En sanglotant, mon fils a déclaré : « Je ne veux plus d'opération. Je veux apprendre Dafa. »

Ainsi, lorsque nous sommes revenus chez nous, j'ai enseigné le cinquième exercice à mon fils. Il a tout appris immédiatement. Lorsque nous nous sommes assis avec les jambes dans la position complète du lotus, mon fils a répété : « C'est très confortable, beaucoup trop confortable ! » Il m'a aussi dit : « Je peux voir la roue du Fa (Falun). »

À l'époque, j'étais occupé avec des études et des travaux scolaires, mais j'emmenais mon fils aux endroits où les Chinois se rassemblaient pour clarifier les faits et leur distribuer des documents de Dafa. Au départ, mon fils s'arrêtait souvent, s'accroupissait et se reposait avant de me rattraper.

Avec le temps, la condition physique de mon fils s'est améliorée très rapidement. D'abord, la coloration bleutée de son visage a disparu dans les premiers jours de la pratique des exercices. Ensuite, son essoufflement qui se présentait à tout moment a disparu ! En 20 jours, tout est redevenu normal ! C'est le Maître qui a offert à mon fils une deuxième chance dans la vie !

Malheureusement, en 2010, j'étais très attaché à l'esprit de complaisance et je recherchais l'aisance et le confort. Non seulement je n'ai pas cultivé et pratiqué diligemment, mais je n'ai pas veillé à ce que mon fils étudie le Fa et fasse les exercices. Cette année-là, mon fils a perdu connaissance dans la cour d'école. Il n'y avait personne près de lui. Mon fils a repris connaissance une demi-heure plus tard. Quelqu'un l'a finalement trouvé, on a appelé 119 et on l'a emmené rapidement dans une salle d'urgence. Lorsque je suis arrivé à l'hôpital, il s'était déjà complètement rétabli.

Cependant, le médecin a dit : « L'électrocardiogramme de votre fils est très irrégulier. Il a presque perdu la vie. Si personne n'avait été dans les environs pour lui donner les soins d'urgence, il aurait pu mourir. »

Mais je savais que mon fils avait repris connaissance tout seul. Je savais que c'était le Maître qui l'avait protégé !

Comme mon fils avait été opéré à cet hôpital, les deux professeurs sont venus me voir et ont dit : « Le cœur de votre fils s'est développé plutôt bien. L'avez-vous amené ailleurs pour une opération ? » Je leur ai expliqué en détail que mon fils s'était mis à pratiquer le Falun Gong. En raison de leur formation et de leur système de croyances, ils ne pouvaient pas du tout accepter la vérité.

Après cet incident, mon fils a vite grandi.

Comme je n'avais pas véritablement abandonné tous mes attachements fondamentaux, j'ai suivi un chemin tortueux arrangé par les forces anciennes pendant longtemps et les forces anciennes ont ressorti leurs tactiques perverses sur mon fils. À la fin avril de cette année (2014), mon fils a perdu connaissance à l'école. Cette fois, il a arrêté de respirer ! Notre Maître bienveillant est de nouveau intervenu. Il a envoyé un enseignant qui a pu pratiquer la respiration artificielle et d'autres mesures d'urgences jusqu'à ce qu'il recommence à respirer.

Mon fils a été emmené dans une salle d'urgence de l'hôpital général universitaire. Lorsque je suis arrivé, des respirateurs étaient insérés dans sa trachée. Son visage entier était couvert de sang. Il était inconscient.

Le médecin m'a dit : « Votre fils a arrêté de respirer. Son cerveau n'a pas reçu de sang pendant un certain temps. Il est possible qu'il ne se réveille pas. Il demeurera peut-être dans un état végétatif. »

J'ai appelé le Maître dans mon cœur : « Maître, votre disciple reconnaît déjà qu'il doit complètement abandonner ses attachements fondamentaux. Je nie aussi tous les arrangement des forces anciennes. Même si je n'ai qu'un dernier souffle, je nierai tout arrangement des forces anciennes. Je ne marcherai que sur le chemin que le Maître a arrangé pour moi. »

J'ai supplié le Maître de me donner une autre chance. J'ai continué d'émettre la pensée droite, en sachant résolument que mon fils irait bien. Lorsque des compagnons de pratique ont entendu parlé de mon fils, ils ont aussi aidé à émettre la pensée droite pour que toute perversité cesse de le persécuter.

Mon fils est resté aux soins intensifs pendant sept jours entiers. Sous l'attention bienveillante du Maître et les pensées droites des compagnons de pratique, mon fils s'est finalement réveillé !

Après avoir repris connaissance, mon fils était d'abord un peu confus. Il voulait seulement enlever les tubes et retourner à la maison. Après que je lui aie expliqué ce qui s'était produit, il voulait s'asseoir et faire les exercices, mais comme il était très faible, il n'avait aucune force dans les bras et les jambes, donc il devait s'allonger après peu de temps. Mais il s'est rapidement relevé pour faire les exercices et a été de nouveau forcé de s'arrêter. Ça s'est répété encore et encore. Lorsque les infirmiers ont appris que mon fils se déplaçaient, ils avaient peur que cela pose problème, alors ils lui ont attaché les mains et les pieds au lit.

Mon fils insistait pour sortir de l'hôpital. Je suis allé trouver le médecin et j'ai dit : « Mon fils a eu une opération à 4 ans, alors il éprouve beaucoup de sentiments négatifs par rapport aux hôpitaux. Dans l'intérêt de sa stabilité émotionnelle, peut-il sortir maintenant ? Lorsqu'il sera stable, nous verrons ensuite ce qui convient de faire. »

Comme prévu, le médecin a fermement refusé en disant que si mon fils sortait dans ces circonstances, les parents devraient assumer la responsabilité légale. Je ne pouvais convaincre le médecin, alors dans mon cœur j'ai imploré le Maître pour qu'il arrange que mon fils puisse sortir et reprendre son étude du Fa et les exercices chez nous.

En raison de l'état psychologique de mon fils, le médecin a finalement décidé de le transférer à la division générale le même jour. J'ai permis à mon fils de lire le Zhuan Falun, mais comme il venait de se faire enlever ses tubes, il avait de la difficulté à respirer et ne pouvait bien prononcer les mots. Cependant, au fil de sa lecture, les mots sont devenus de plus en plus clairs et de plus en plus forts. Alors qu'il continuait de lire, des larmes se sont mises à couler le long de ses joues. Finalement, il a éclaté en sanglot et a pleuré amèrement en disant : « C'est tellement inutile ici. Je veux retourner chez moi. »

J'ai réalisé que mon fils était capable de voir d'autres dimensions, parce que lorsqu'il était petit, il avait dit qu'il voyait souvent des choses dans d'autres dimensions, alors je savais que mon fils parlait de son foyer d'origine au Ciel.

Je l'ai réconforté et je lui ai dit : « Je sais que tu veux retourner chez toi au Ciel. Nous devons te faire sortir de l'hôpital pour que tu puisses étudier le Fa et faire les exercices correctement, ensuite tu pourras retournez chez toi avec le Maître. »

Mon fils a arrêté de pleurer. Il a hoché la tête et a promis de bien étudier le Fa et de faire les exercices dès qu'il arriverait à la maison.

Il a ensuite étudié le Fa et s'est allongé pour se reposer. Moins d'une demi-heure plus tard, il a commencé à dire des absurdités et n'arrivait plus à reconnaître personne. Ça s'est poursuivi toute la journée, alros les autres patients ne pouvaient pas dormir ni se reposer. Mon épouse avait très peur. J'étais aussi stupéfait. Que se passait-il ?!

J'ai émis la pensée droite toute la nuit, mais les choses ne se sont pas améliorées. Alors j'ai commencé à chercher à l'intérieur et j'ai réalisé que je n'avais pas entièrement fait confiance au Maître et à Dafa ! Je savais que l'état de santé de mon fils n'était qu'une illusion. J'ai réfléchi pendant un long moment jusqu'à ce que je m'éveille au fait que j'avais imploré le Maître pour qu'il arrange que mon fils sorte de l'hôpital et c'était exactement ce que le Maître avait arrangé !

Je suis allé voir le médecin sans tarder et j'ai exigé que mon fils sorte de l'hôpital. J'ai dit au médecin : « Si mon fils développe des troubles psychologiques, qui sera tenu responsable ? On pourra s'occuper de ses autres problèmes médicaux plus tard, mais s'il devient malade mentalement, alors il n'y a aucune chance qu'il s'en remette. Il doit retourner chez nous. Lorsque son état se stabilisera, nous discuterons des autres mesures à prendre. »

En raison de la gravité de l'état psychologique de mon fils, le médecin a finalement dû accepter. Mais il m'a fait signer un formulaire d'autorisation avant de permettre à mon fils de partir.

Par hasard, mon frère et ma belle-sœur sont arrivés à cet instant à l'hôpital. Je savais que cela faisait aussi partie des arrangements méticuleux du Maître. Après les formalités administratives, mon frère et moi avons aidé mon fils à sortir de l'hôpital. À la sortie de l'hôpital, mon fils a levé la tête, a respiré profondément et a proclamé : « Maintenant, tout va bien ! »

Il est redevenu normal immédiatement après cela !

Lorsque nous sommes arrivés chez nous, lui et moi nous sommes assis pour faire le cinquième exercice de méditation. Lorsque nous avons terminé, mon fils s'est levé de sa propre initiative. Ensuite, nous avons fait le premier exercice. À la fin du premier exercice, il avait complètement repris le contrôle de ses membres.

Ce soir-là, il a été capable de manger du porridge de riz. Le lendemain, il a étudié le Fa et fait les exercices. Ce soir-là, il a été capable de manger un repas normal. Le lendemain, il est retourné à l'école.

Il est absolument impossible qu'une personne gravement malade passe une semaine aux soins intensifs, se réveille, sorte de l'hôpital et se rétablisse en trois jours. Ce qui s'est produit avec mon fils a créé une onde de choc à l'école. J'ai profité de cette occasion pour clarifier les faits sur Dafa à ses enseignants.

Avec le rétablissement rapide de mon fils, mon frère et ma belle-sœur ont été une fois de plus témoins du miracle de Dafa. Ils avaient lu le Zhuan Falun avant 1999, mais n'avaient jamais vraiment commencé à cultiver et pratiquer. J'ai dit à mon frère : « Dépêche-toi d'étudier le Fa et de faire les exercices. Tu es tellement chanceux d'être tombé sur ce Dafa de l'univers. Tu ne dois pas rater cette occasion que les gens attendent depuis des dizaines de millions d'années ! » Mon frère a accepté avec joie.

Sous l'attention bienveillante du Maître, mon fils étudie maintenant le Fa et fait les exercices chaque jour sans exception.

J'ai aussi décidé de bien franchir chaque étape à l'avenir, de vivre chaque jour comme si c'était mon dernier, d'avancer diligemment et d'être un disciple authentique du Maître.

Traduit de l'anglais au Canada