(Minghui.org) Depuis fin mai 2015, plus de 180 000 pratiquants de Falun Gong du monde entier ont déposé des plaintes pénales contre Jiang Zemin pour avoir initié la persécution du Falun Gong. Dans certaines régions de Chine, cependant, la police et les organismes législatifs ont harcelé et arrêté les plaignants.

Ceci est, en fait, une très bonne occasion pour les compagnons de cultivation de clarifier les faits aux fonctionnaires - ils doivent comprendre que ce harcèlement est illégal et qu'ils interfèrent avec la loi.

Outre le fait qu'il n'y a jamais eu de base légale pour la persécution, selon un règlement du Département d'État, à partir de mars 2015, il est illégal pour quiconque d'intervenir dans le processus des affaires criminelles. Les policiers ne sont pas autorisés à prendre des décisions en ce qui concerne la collecte de preuves, examen ou condamnation.

Un pratiquant a été contacté par la police et le personnel du comité résidentiel peu de temps après le dépôt de sa plainte. Au lieu de fuir, il est allé parler à la police.

« Ne devrions-nous pas poursuivre Jiang Zemin ? Il persécute le Falun Gong et est responsable de tant de désastres dans notre pays. Même vous, vous devriez déposer une plainte contre lui », a-t-il dit aux policiers.

Ils ont dit : « Nous savons tous comment est le Parti communiste. Ce que vous faites ne changera pas la situation. Nous vous surveillons depuis longtemps. »

Le pratiquant a dit : « Je n'ai pas peur. J'ai utilisé mon vrai nom pour poursuivre Jiang – de quoi aurais-je peur ? Mais je me fais du souci pour vous. Il n'y a aucune base légale pour la persécution. Ne savez-vous pas qu'il est illégal pour vous d'intercepter ma plainte ? Vous ne devriez pas suivre aveuglément les ordres pour nous persécuter. Cela n'est pas une bonne chose à faire pour vous. »

Après la conversation avec le pratiquant, la police a décidé de cesser de participer à la persécution. Une arrestation s'est donc résolue de bonne manière.

Traduit de l'anglais en Suisse