Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Je n’avais qu'une seule pensée : Falun Dafa est bon

21 juillet 2015 |   Écrit par un correspondant de Minghui en Mongolie intérieure, Chine

(Minghui.org) Mme Ying (un pseudonyme), pratiquante de Falun Dafa, a été récemment arrêtée. Les policiers ont fouillé son domicile et confisqué ses livres de Falun Dafa, tandis que deux policiers l'ont interrogée.

L'un des policiers lui a dit : « Nous ne voulions pas vous arrêter, mais une femme âgée vous a dénoncée. Elle a dit qu’elle avait reçu les documents de Falun Dafa que vous avez distribué. Donc, nous devons savoir d’où vous les avez. »

Mme Ying a eu peur au début, mais ensuite elle a considéré cet incident comme une question de vie et de mort. Elle ne pouvait pas dénoncer d'autres pratiquants et les soumettre à la persécution ; par conséquent, elle a dit seulement « Falun Dafa est bon. » Un autre policier a écrit ses paroles dans le document d'interrogatoire.

Quand le premier policier lui a demandé les noms des personnes qui avaient pris les documents de Dafa, elle a de nouveau dit « Falun Dafa est bon. » Peu importe ce que lui demandait le policier, la réponse était la même : « Falun Dafa est bon. »

Le policier a finalement dit qu'elle avait répondu 15 fois « Falun Dafa est bon ». Elle a alors répondu : « Je n’ai que ‘Falun Dafa est bon’ dans mon esprit. Rien d'autre. »

Elle n'a pas répondu aux autres questions que les policiers lui ont posé du matin jusqu’au soir. Le policier qui l’avait interrogée lui a finalement tendu le rapport d'interrogatoire en lui demandant de le signer. Elle y a jeté un coup d'œil et a déchiré le document.

Le policier a été choqué et lui a demandé pourquoi elle avait fait cela. Elle a répondu que les mots sur le document n’étaient pas les siens, car elle n’avait dit que « Falun Dafa est bon. »

Elle leur a dit aussi de supprimer tout ce qu'ils avaient enregistré sur leur ordinateur. « Vous ne pouvez pas enregistrer cela », a-t-elle dit. « Je ne vous permet pas de changer mes paroles. »

Les policiers se sont regardés, ont supprimé le dossier devant elle, et lui ont dit qu'elle pouvait rentrer chez elle.

Quand elle s’est retournée pour partir, elle a vu sur l'appui de la fenêtre une image du Maître qui lui souriait.

Traduit de l’anglais en Suisse