(Minghui.org) Deux policiers locaux sont venus à mon domicile en juillet, en disant qu'ils suivaient les ordres des hauts fonctionnaires pour me questionner au sujet de mon action en justice contre Jiang Zemin, l'ancien dictateur chinois qui a dirigé la répression du Falun Gong.

Au poste de police, ils ont demandé si j'avais déposé une plainte pénale contre Jiang Zemin et si quelqu'un m'avait aidé. Je leur ai dit que j'avais composé la plainte, mais que je ne voulais pas leur dire qui l'avait dactylographié.

Ensuite, j'ai parlé du Falun Gong et de comment j'en ai bénéficié. Je leur ai fait savoir que je suis devenu une bonne personne avec de hautes valeurs morales après avoir appris la pratique. Je leur ai également dit que des gens pratiquent le Falun Gong dans plus de cent pays.

Un jeune agent m'a dit que sa tante était aussi une pratiquante et j'ai répondu à certaines de ses questions.

Je leur ai dit : « Jiang Zemin a lancé la persécution du Falun Gong en 1999 et il est entièrement responsable des prélèvements d'organes sur des pratiquants vivants. Pour ces seuls crimes, nous devons le traduire en justice. »

Ils ont dit : « Vous parlez si bien. Pouvons-nous avoir des documents d'information sur le Falun Gong? » Je leur ai donné tout ce que j'avais sur moi et leur ai conseillé de retirer leurs adhésions du Parti communiste chinois et de ses organisations de la jeunesse. Ils ont tous été d'accord pour le faire.

Enfin, le jeune policier qui avait pris des notes a dit que je devais écrire quelques mots.

« Ne vous l'ai-je pas dit », ai-je répondu. « Je n'ai pas d'éducation et je ne sais pas écrire. »

Un autre policier a demandé à son collègue de taper des mots que je pouvais copier et a demandé : « Est-ce que vous voulez écrire : Falun Dafa est bon ! Salutations à Maître Li ! Je veux traduire Jiang Zemin en justice. » J'ai accepté.

Traduit de l'anglais au Canada