(Minghui.org)

Salutation Maître ! Salutation compagnons de cultivation !

Sous la protection compatissante du Maître et des conseils de Dafa, je marche sur mon chemin de la rectification de Fa depuis 17 ans et j'ai maintenant dans les 70 ans. Je voudrais faire un rapport de ma cultivation au Maître. S'il vous plaît, veuillez m'indiquer toute chose inappropriée.

Obtenir Dafa

Au cours de l'automne de 1994, j'ai rencontré mes voisins, qui étaient en chemin pour aller pratiquer le Falun Gong. Ils m'ont demandé de me joindre à eux, alors je les ai suivis. Ils faisaient le deuxième exercice du Falun Gong « tenir la roue de la loi », lorsque nous sommes arrivés sur le site de pratique.

Je les ai rejoints et j'ai commencé à le faire. Quand j'ai levé les bras, j'ai eu l'impression que quelqu'un me poussait en avant. J'ai quitté ma place et me suis éloignée du groupe en continuant à suivre avec les exercices debout.

J'ai dit au couple que je pouvais sentir que la pratique était puissante et qu'ils devraient continuer. Ils avaient tous deux des maladies graves et je pensais qu'ils en bénéficieraient. Cependant, je n'ai pas continué à venir au site de pratique.

Quelques mois plus tard, en 1995, j'ai vu un groupe de personnes méditer et cela m'a intéressée. Je me suis assise et les ai copiés. J'ai senti mon corps flotter pendant la méditation. Quand ils ont eu fini, je leur ai demandé de quelle pratique il s'agissait. Il s'est avéré que c'était le Falun Gong. Ils m'ont dit qu'ils collectaient de l'argent pour acheter les livres du Falun Gong et m'ont demandé si j'en voulais un. Je n'ai pas été contente quand ils ont parlé d'argent, alors je n'y suis jamais retournée.

Quelques années se sont écoulées. Vers midi, en septembre 1998, j'avais sommeil en travaillant à mon atelier de couture et je m'y suis assoupie. J'ai vu deux grands êtres divins dans un rêve. Ils m'ont prise par les bras et m'ont fait voler.

Ils m'ont emmenée dans une galaxie lointaine et nous sommes arrivés au bord d'une rivière. J'ai vu que la Terre était loin, très loin. La rivière était remplie de morceaux de verre.

Ils m'ont demandé de traverser la rivière de verre sans chaussures. J'avais peur que mes pieds ne soient blessés, mais il m'était impossible de faire demi tour. J'ai levé les yeux et essayé de comprendre où je pouvais aller. J'ai vu une grande roue dans le ciel. Elle tournait d'avant en arrière et semblait très intéressante. J'ai décidé d'y aller. Juste après avoir eu cette pensée, j'ai pu traverser la rivière.

Les êtres divins ont disparu et je me suis trouvée devant un marécage sans fin. J'avais peur de mourir et j'ai pleuré. Je devais continuer, mais je n'arrêtais pas de m'enfoncer. J'ai rampé tout le long du chemin et j'ai dû surmonter beaucoup de difficultés. Enfin, je suis arrivée à la fin du marécage.

Je me suis reposée un peu et puis j'ai continué. J'ai vu neuf montagnes de cristal devant moi qui brillaient d'une lumière verdâtre. Pendant que je me demandais quoi faire, un conte de fées d'enfance a surgi dans mon esprit. Dans l'histoire, le mari courait dans les neuf montagnes de cristal pour aller retrouver sa femme, une fée. Il ne savait pas comment aller de l'autre côté des montagnes, mais il ne voulait pas revenir en arrière. Il préférait mourir là-bas que d'abandonner. Il a frappé la montagne de cristal avec sa tête et une porte s'est alors ouverte par magie pour le laisser passer.

J'ai gagné de la confiance et j'ai cru que je pouvais le faire aussi. J'ai commencé à monter. Une fois que ma main a atteint la montagne, un escalier est apparu devant moi. J'ai continué à grimper jusqu'à ce que je sois à quelques mètres de la roue. L'escalier a alors disparu et je n'avais nulle part où aller pour monter ou descendre. J'ai recommencé à pleurer.

Juste à ce moment-là, un grand être divin s'est montré et a dit : « Laisse-moi t'aider. Il a tendu la main et je suis montée dans sa paume. Il m'a soulevée et m'a envoyée à la grande roue. J'ai eu l'impression que c'était le paradis. Je me sentais vraiment, vraiment heureuse. Puis je me suis réveillée.

Je crois qu'une divinité m'a conduite le long de la route pour atteindre le paradis et que c'était à moi de choisir le chemin dans la vie, mais je ne savais pas quoi faire.

Une ancienne collègue s'est arrêtée près de mon magasin pour faire ajuster ses vêtements alors que j'étais encore perplexe à propos du rêve et je lui en ai parlé. Elle a immédiatement dit : « Vous êtes destinée à pratiquer le Falun Gong. Le paradis auquel vous êtes allée devait être le paradis du Falun. » Elle m'a demandé d'aller au site de pratique avec elle, mais je n'ai pas voulu. J'ai plutôt demandé à lire les livres.

J'ai emprunté onze livres du Falun Gong et deux livres d'histoires sur la cultivation. Je les ai lus plusieurs fois en une semaine et j'ai même pleuré plusieurs fois en les lisant.

Quand j'ai vu la photo du Maître pour la première fois, je l'ai immédiatement reconnu comme étant le grand être divin dans mon rêve. Je me suis mise à genoux et ai sincèrement juré au Maître que je le suivrais tout le long du chemin, peu importe combien la route serait difficile.

Après avoir décidé de cultiver, j'ai rencontré de nombreux tests. Ma famille et mes collègues ne voulaient pas que je cultive, mais je leur ai dit qu'après y avoir réfléchi, je savais ce que je voulais.

J'ai rencontré l'épreuve du gain personnel lorsque je suis allée acheter des livres du Falun Gong. J'en ai acheté dix, mais on m'a seulement fait payer pour huit. Quand j'ai réalisé cela, j'y suis retournée et j'ai payé la différence. Le propriétaire de la librairie m'a donné la photo du Maître pour témoigner sa gratitude.

Un autre test a été l'épreuve de la vie et de la mort. Alors que je faisais la méditation un jour, j'ai vu dans ma vision que des policiers étaient venus m'empêcher de faire les exercices. J'ai ouvert les yeux et j'ai vu que beaucoup de pratiquants devant moi étaient décapités.

Un policier m'a donné un coup de pied et m'a dit que c'était mon tour. Je lui ai simplement dit d'y aller. Ma tête a été coupée, mais mon corps était encore en méditation. Ma conscience principale est sortie de mon corps et s'est envolée. Après avoir terminé la méditation, j'ai été heureuse et j'ai senti que j'avais passé le test. La vision était très réelle.

Cultiver diligemment

J'ai rejoint le site de pratique local le 1er janvier 1999. J'ai étudié le Fa à la maison. J'aimais lire le Fa et je lisais beaucoup. J'ai obtenu le Fa plus tard que beaucoup d'autres et je voulais rattraper le temps perdu.

J'ai fait l'expérience du Maître qui nettoyait mon corps. C'était vraiment confortable quand le Maître a fait le guanding pour moi. J'ai senti un courant chaud parcourir tout mon corps. Ensuite mon corps est devenu léger et j'avais l'impression qu'il était poussé en montant les escaliers.

J'ai fait un rêve : je montais à bord d'un navire avec de nombreux pratiquants. Quand le navire a été plein, un rideau noir est tombé du ciel et a recouvert le bateau. Le navire est devenu sombre et nous avons tous gardé le silence.

Puis nous avons entendu une voix : « Mets la voile. » Le navire a commencé à se déplacer et à se balancer sérieusement. J'ai entendu de nombreux pratiquants tomber à l'eau. Après un certain temps, le navire a cessé de se déplacer. Le rideau s'est dissipé et le soleil s'est levé. Au moins les deux tiers des pratiquants à bord étaient partis. J'ai pleuré et je me suis réveillée.

Bientôt, la persécution a commencé. Beaucoup de pratiquants ont été arrêtés. Sur plus de 20 pratiquants de notre site de pratique, plus de la moitié d'entre eux ont remis leurs livres de Falun Gong à la police. Comme j'étais assez nouvelle dans le groupe, la police ne me connaissait pas et ne m'a pas dérangée.

Je voulais faire quelque chose pour aider à arrêter la persécution. J'ai parlé à une jeune pratiquante et elle m'a aidée à imprimer des documents. Nous avons imprimé des dépliants sur le Falun Gong et je les ai distribués. Plus tard, la jeune pratiquante a déménagé. Je ne savais pas comment imprimer, alors j'ai arrêté.

Plus tard, j'ai pensé à une façon pour en faire davantage. J'ai acheté de la peinture et du tissu, et j'ai fait de petites bannières à suspendre. Peu de temps après, je suis entrée en contact avec une autre pratiquante. Elle m'a fourni des autocollants imprimés.

Je suis sortie, j'ai accroché des banderoles et j'ai affiché des autocollants. J'ai parfois rencontré des problèmes. Une fois, un jeune homme m'a repérée et a essayé de m'attraper, et j'ai dû courir. Il m'a poursuivie sur une bonne distance.

J'ai trouvé un endroit pour me cacher et je me suis changée rapidement. J'ai enlevé mon manteau, changé mes cheveux et j'ai mis une paire de lunettes. Plus tard, alors que nos regards se sont croisés quand je suis passée devant lui, il ne m'a pas reconnue. C'était un policier en civil et il portait une matraque de police à la main.

Je savais que le Maître me protégeait. Des situations similaires me sont arrivées à plusieurs reprises, mais elles se sont toutes bien passées. J'ai vu mon attachement à la compétitivité et j'ai essayé de faire mieux.

Transcrire et réciter le Fa

Dafa est devenu ma vie et je suis née à nouveau. Je sentais que Dafa était si grand que je devais réciter le Fa. J'ai essayé de réciter le Fa en 2001, mais je n'ai pas réussi même après une année à essayer.

En 2004, je me suis agenouillée et j'ai promis au Maître de réciter le Fa peu importe la difficulté. J'ai réalisé que j'avais l'attachement à la recherche quand j'avais essayé en 2001. J'ai essayé d'abandonner cet attachement et de réciter le Fa du début à la fin chaque fois. Après la douzième fois, j'ai eu l'idée d'abandonner.

Je me suis souvenue de mon vœu et j'ai décidé de continuer à essayer. Peu à peu, j'ai pu réciter le Fa. Quand je rencontrais des problèmes, je pouvais utiliser le Fa pour me guider et je savais quoi faire. Le Fa m'a également donné de la sagesse et du courage pour que je puisse clarifier la vérité avec un esprit clair et pour réagir rapidement lors de situations difficiles.

Depuis 2006, je travaille à transcrire le Fa. Je transcris le Zhuan Falun et d'autres conférences du Maître et les livres de Hong Yin une fois par an. J'ai gagné beaucoup dans le processus et ai amélioré mon xinxing.

Une fois, j'ai eu un conflit avec mon mari au sujet de mon salaire. Je n’ai pas parlé avec lui pendant deux semaines. Il voulait prendre tout mon argent. Je voulais contrôler mon salaire pour l'utiliser pour le travail de Dafa. Quand j'ai essayé de réciter le Fa durant cette période de conflit, je ne pouvais pas me souvenir de quoi que ce soit. Je savais que je devais en chercher la raison.

Puis j'ai vu les mots « améliorer le xinxing » devant mes yeux et je savais que je devais m'améliorer. Comment pouvais-je réciter le Fa et avoir des conflits avec mon mari en même temps ? Je n'étais pas conforme au Fa. Le Maître a dit dans le Zhuan Falun :

« Parfois, vous croyez que quelque chose est à vous, les autres vous disent aussi que c’est à vous, mais en fait cela ne vous appartient pas. Vous êtes peut-être convaincu que cette chose est à vous, mais finalement elle ne l’est pas : c’est à travers cela qu’on voit si vous pouvez ou non vous détacher; si vous n’êtes pas capable de l’abandonner, alors c’est un attachement, et on utilise ce moyen pour vous faire abandonner l’attachement à vos intérêts personnels, voilà ce qu’il en est. »

Je savais que je ne devais pas me battre avec lui et que peut-être j'avais des dettes envers lui d'une vie antérieure. Quand j'ai essayé de réciter le Fa, je me suis souvenue de chaque mot. Quand j'ai abandonné mon attachement, mon xinxing s'est amélioré, mon gong s'est élevé et l'environnement a aussi changé.

J'ai dit à mon mari qu'il pouvait garder l'argent. Son attitude a alors complètement changé. Il m'a dit que je pouvais garder mon argent. Nous sommes arrivés à l'accord que j'en garderais une partie et que je lui en donnerais une partie.

Le Maître a dit,

« Chaque fois qu’apparaît au cours de la pratique de gong une interférence ou une autre, vous devez en chercher la cause en vous-même et découvrir ce que vous n’avez pas encore abandonné. » (Zhuan Falun)

Clarifier la vérité

J'étais heureuse de clarifier la vérité aux gens. Ici je donnerai quelques exemples.

Une fois, je parlais à une femme alors que nous roulions à vélo sur la même route. Juste avant que je puisse lui parler de démissionner du PCC, elle a fait un virage rapide pour rentrer chez elle. J'étais remplie de regrets de ne pas l'avoir suivie. Je me suis blâmée et j'ai promis au Maître de ne plus jamais manquer de personnes prédestinées.

Deux semaines plus tard, je l'ai de nouveau rencontrée avec sa famille et lui ai parlé de démissionner du PCC. Les trois membres de sa famille ont accepté de se retirer du PCC et de ses organisations affiliées. Je savais que le Maître avait arrangé cette occasion pour moi.

Une autre fois, j'ai rencontré une policière. Pour démarrer la conversation, je l'ai complimentée sur son apparence et lui ai demandé où elle travaillait. Elle m'a dit qu'elle travaillait dans une prison. Je lui ai demandé si sa prison avait arrêté des pratiquants de Falun Gong et je lui ai dit qu'elle devrait être gentille avec eux s'il y en avait. Elle a tout de suite changé d'attitude et a dit, « Vous devez être une pratiquante de Falun Gong. Je pourrais vous arrêter ici et maintenant. »

Je lui ai dit que je n'avais pas peur d'aller en prison, mais que ce serait mauvais pour elle puisqu'elle commettrait une mauvaise action. Je lui ai raconté l'histoire de mon neveu et de comment il avait dû quitter son emploi après avoir fait de mauvaises choses aux pratiquants de Falun Gong. Je lui ai dit le nom de mon neveu et où il travaillait. Son attitude a de nouveau changé. Elle m'a remerciée et m'a dit qu'elle me croyait. Je lui ai aussi dit de démissionner du PCC et elle a accepté de le faire.

J'ai rencontré de nombreux policiers, actifs et retraités. Beaucoup ont accepté de se retirer du PCC.

Une fois, quelqu'un m'a signalée aux fonctionnaires de notre comité local de résidence pour réclamer l'argent de la récompense. Le comité a appelé mon mari et a essayé de résoudre cela en privé. Ils ont demandé à mon mari de payer l'informatrice.

Je suis allée à leur bureau quand j'ai entendu parler de cela. J'ai clairement dit au directeur que je ne vendrais pas ma vie pour 500 yuans (le montant de la récompense) et lui ai demandé de passer le mot à l'informatrice pour qu'elle me parle directement. Je pouvais lui donner de l'argent si elle était en difficulté financière, mais pas pour la soumettre au silence. Il a accepté de transmettre mon message, mais rien ne s'est produit.

Chaque fois que le comité me convoquait, je leur clarifiais la vérité. Une fois, ils m'ont demandé si je distribuais des DVD de Falun Gong dans ma communauté. Je leur ai dit que je ne l'avais pas fait, mais je n'ai pas nié que je l'avais fait ailleurs. J'étais même heureuse de leur en donner, puisque je les avais avec moi. Les membres du comité n'ont pas accepté les DVD, mais cela ne m'a pas dérangée.

Sur sept anciens fonctionnaires de leur bureau, cinq ont quitté le PCC. Les fonctionnaires encore en activité ne l'ont pas fait, alors j'ai continué de leur clarifier la vérité. Chaque fois qu'ils diffamaient le Falun Gong, j'allais les voir et leur en disais davantage sur le sujet. Maintenant, ils ne diffament plus le Falun Gong.

Une fois, quand un homme m'a vu distribuer des documents du Falun Gong sur le marché, il a commencé à me gronder. « Pourquoi devez-vous faire cela ? » a-t-il dit.

Je lui ai souri et ai dit, « Nous sauvons les gens. »

Il s'est calmé. « Ne pensez-vous pas que votre famille est inquiète à cause de cela ? »

J'ai immédiatement réalisé qu'il devait être un membre de la famille d'un pratiquant. « Je suis désolée que vous vous fassiez du souci pour nous », lui ai-je dit. Il m'a rappelée d'être prudente.

Cette rencontre m'a vraiment touchée. Je savais que pour mieux protéger ma famille, je devais mieux me cultiver.

Beaucoup de gens comprennent maintenant la vérité sur le Falun Gong. Une fois une personne a saisi mes documents de clarification de la vérité et m'a aidée à les distribuer. Il n'arrêtait pas de dire, « Tout le monde devrait croire au Falun Gong et non au Parti communiste. »

Les gens criaient « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » quand ils me voyaient. Certains voulaient m'offrir un repas, d'autres proposaient de m'emmener en voiture et certains m'ont aidée à m'échapper quand j'étais encerclée par la police. Ces bonnes personnes m'ont encouragée à sortir tous les jours pour sauver davantage d'êtres.

Faire l'expérience de miracles

Une fois, j'ai pris beaucoup de documents pour les distribuer dans une banlieue à environ une heure de route de chez moi. Quand j'ai eu fini et que je suis rentrée chez moi, j'ai remarqué que seulement 45 minutes s'étaient écoulées. J'ai vérifié à nouveau l'heure, c'était exact. Je me suis souvenue que j'avais effectivement eu l'impression que je marchais vraiment rapidement, aussi vite qu'une voiture. J'ai probablement marché dans une autre dimension.

Une autre fois, mon mari m'a empêchée d'aller à Pékin faire appel pour le Falun Gong après avoir vu que j'avais acheté un billet de train. Il m'a poussée dans une pièce et m'a enfermée. Je ne sais pas d'où est venue ma force. J'ai juste poussé la porte et elle s'est ouverte. Mon mari m'a dit : « Je vais te signaler à la police. »

Je suis arrivée à temps pour monter dans le train, mais je ne savais pas si je me trompais puisque je n'avais pas été tolérante envers mon mari. Je savais juste que je devais aller à Pékin. J'ai demandé au Maître dans mon cœur, « Maître, ai-je mal fait ? Je dois aller à Pékin. Si c'est le cas, Maître, pardonnez-moi. »

Une bouteille d'eau m'a été remise. Je me suis retournée pour voir qui me la donnait et j'ai vu le Maître qui s'éloignait de moi puis qui a disparu. J'ai crié : « Je n'ai pas mal fait. »

Un hiver très froid, lors d'une soirée venteuse, je suis sortie pour distribuer des documents de clarification de la vérité. En passant par un bâtiment de huit étages, une grande planche de bois a soudainement été arrachée du toit et s'est dirigée directement vers ma tête. Alors qu'elle allait me frapper, une force m'a soudainement tirée avec mon vélo de l'autre côté de la route. Je me suis retournée et il n'y avait personne. Je savais que le Maître m'avait sauvé la vie.

Une fois, je suis partie de la maison sans déjeuner. J'ai distribué des documents jusqu'à deux heures de l'après-midi et j'ai commencé à avoir faim et à me sentir étourdie. Puis j'ai vu une grosse pêche en face de moi. Je l'ai attrapée et j'en ai pris une bouchée. C'était vraiment bon. J'ai fermé les yeux pour apprécier le goût. Quand j'ai ouvert les yeux pour en prendre une autre bouchée, la pêche avait disparu. J'ai senti que tout mon corps était traversée depuis la tête par un courant chaud. Ma faim avait disparu et je n'étais plus fatiguée.

Ceci est ma réelle expérience de cultivation. Je marcherai bien sur mon chemin et retournerai chez moi avec le Maître.

(Treizième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada