[Célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa] Un homme âgé réparant les routes de campagne apporte des bienfaits à la région

(Minghui.org) Je vis dans une zone résidentielle pour maraîchers où les routes asphaltées ont beaucoup de trous à cause de négligence depuis plusieurs années. En outre, les plus petites routes de campagne en terre étaient dans un état encore pire. Non seulement elles n’étaient pas égales, mais après la pluie ou la neige, elles devenaient très boueuses. Même un tricycle vide pouvait rester coincé dans la boue.

Service bénévole à la communauté

Je pratique le Falun Dafa et Maître Li, le fondateur de cette cultivation et pratique, enseigne à ses pratiquants d'avoir de la considération pour autrui. Ainsi, je savais que je devais faire quelque chose à propos des routes en mauvais état. J’ai décidé de les réparer.

Ce n’était pas une tâche facile. J’ai décidé de remplir les trous avec des débris de construction gratuits et ensuite d'égaliser la surface avec de la terre. Pour terminer, je couvrais la route de terre avec des cendres de charbon, que je devais acheter, pour que les routes ne deviennent pas boueuses en cas de pluie.

Les débris de construction n’étaient pas un problème. Les routes dans les régions urbaines étaient fréquemment maintenues et souvent des matériaux de pavage d’asphalte étaient laissés sur le côté de la route. Je les ai ramassés lors de chaudes journées et je les ai utilisés pour remplir les trous. Plus fort était le soleil, plus molle était l’asphalte et plus il était facile pour moi de garnir les trous.

Bien sûr, en tant qu’homme âgé, travaillant et suant sous le soleil ardent, j'attirais l’attention des passants.

Certaines parties des routes étaient très étroites et souvent je devais déplacer mon tricycle pour que les véhicules puissent passer. J’ai réglé ce problème en pavant souvent les routes tard le soir lorsqu’il y avait peu de trafic.

Cela m'a pris plus de huit ans pour réparer les routes asphaltées principales et plusieurs des routes de terres.

Propager Dafa en faisant de bonnes actions

Ce travail bénévole a été une bonne occasion de clarifier les faits sur Dafa aux villageois et de les encourager à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Chacun savait que je pratiquais le Falun Dafa. Ils m’appelaient « Falun Dafa » ou « Falun Dafa qui répare nos routes ».

Un jour, une voiture a traversé notre village. Lorsque le chauffeur m’a vu travailler sur la route, il s’est arrêté et m’a demandé mon nom et mon numéro de téléphone. Je lui ai donné le numéro de mon propriétaire.

Mon propriétaire m’a demandé d’aller au Département des transports. Lorsque je suis arrivé là-bas, j’ai découvert que la personne qui m’avait demandé mon nom était le chef du Département des transports. Il m’avait vu deux fois en traversant notre village et il voulait me rencontrer.

Il voulait me donner des cadeaux et rapporter mon histoire à la télévision. Il a demandé où j’allais faire le pavage ensuite, pour qu’une équipe de la télévision fasse une entrevue de moi sur place.

« Merci », ai-je dit. « Je n’accepterai pas de cadeaux et je ne veux pas faire une entrevue pour la télévision. Vous ne pourrez d'ailleurs pas le faire, parce que je pratique le Falun Dafa, vous n’oserez pas diffuser cela à la télévision. »

Il était très surpris et il m’a demandé si on pourrait juste ne pas mentionner le Falun Dafa. Pour lui faire comprendre mon point de vue, j’ai dit que je ne courais après aucune récompense, je n'aurais pas fait le pavage des routes si je n’étais pas un pratiquant de Falun Dafa.

Le côté extraordinaire de Dafa

Je lui ai ensuite dit que j’étais âgé de plus de 70 ans et que je suis en vie parce que je pratique Dafa. J’ai partagé mon histoire avec lui. Il y a quelques années, j’ai souffert de deux types de cancers et on m'a donné une espérance de vie d’environ un an. J’ai décidé de pratiquer le Falun Dafa après avoir entendu parler des bienfaits de cette cultivation et pratique pour la santé.

En moins de deux semaines, j’étais entièrement rétabli et maintenant je suis plus fort que lorsque j’étais beaucoup plus jeune. Le Falun Dafa m’a enseigné à vivre selon le principe Authenticité–Bienveillance–Tolérance. C’est pourquoi j’ai décidé de faire cela pour le village.

J’était reconnaissant d’avoir eu l’occasion de lui parler de Dafa.

« Puisque je suis ici aujourd’hui, je voudrais vous dire deux choses importantes », ai-je dit. « Veuillez garder en tête que ‘Falun Dafa est bon ; Authenticité–Bienveillance–Tolérance est bon’. Si vous vous en souvenez et récitez ces mots lorsque vous êtes confronté au danger, vous serez en sûreté. »

J’ai continué : « Les erreurs vous avez fait dans le passé n'importent pas, pour autant que vous récitiez sincèrement ces deux phrases, vous serez béni. Particulièrement si vous démissionnez du PCC, vous serez en sûreté et ne serez pas impliqué lorsque le PCC sera désintégré. »

Je lui ai ensuite fait prendre conscience de certaines opinions publiques. « Le public croit que le gouvernement détourne le regard lorsqu’il voit des routes délabrées. Tous les fonds ont dû être pris par les fonctionnaires corrompus. En tant que chef de département, pouvez-vous prendre cela à la légère ? »

Les effets de la clarification de la vérité

Cela n’a pas pris longtemps avant que des travailleurs de la construction travaillent sur nos routes. Ils ont surfacé les routes en asphalte avec deux épaisses couches d’asphalte et elles avaient meilleure allure que les routes urbaines. Les villageois ont appris pourquoi les routes avaient été surfacées de nouveau.

Une route qui menait aux champs de plus de 30 familles était dans un terrible état. La personne en charge de cette section m’a approché et a dit qu’il était le chef de la section. Il m’a demandé de réparer la route et qu’il ramasserait les fonds. Cela m’a pris deux semaines pour réparer la route et je l’ai fait bénévolement.

Chaque fois que ces 30 familles me voient, ils me disent : « Falun Dafa est bon ! » Plusieurs d’entre eux ont démissionné du PCC. Lorsque je demande à quelqu'un s’il a démissionné du PCC, il dit : « Je l’ai fait, mais seulement après vous avoir connu. Si je ne vous avais pas connu, je n’aurais vraiment pas su combien le Falun Dafa est bon. »

Souvent, quelqu’un mettait des légumes et des fruits dans mon tricycle lorsque je réparais la route qui menait aux champs. Personne ne laissait savoir qui l’avait fait.

Ne pas avoir peur de propager les faits sur Dafa

J’utilisais un tricycle il y a huit ans où le conducteur s’assoyait en arrière et la charge était placée en avant. J’ai ensuite acheté un tricycle électrique avec le siège du conducteur en avant. C’est bien plus efficace.

J’ai accroché des bannières propageant les faits sur Dafa sur les côtés de mon véhicule. Mes panneaux disent « Falun Dafa est bon, Authenticité–Bienveillance–Tolérance est bon ! » J’ai aussi mon nom et mon numéro de téléphone pour quiconque veut me contacter pour plus d’information sur Dafa ou qui voudrait apprendre les exercices.

Tout le monde dans les villages de ma région, y compris la police, sait que je pratique le Falun Dafa.

Lorsque l’officier résidentiel en charge de la section où je vis a demandé à mon propriétaire de se débarrasser de moi, les fonctionnaires du village en ont entendu parler. Ils ont dit à cet officier tout ce que j’avais fait pour le village. Il ne m’a plus harcelé ni harcelé mon propriétaire.

Après que les pratiquants de Falun Dafa ont commencé à déposer des plaintes contre Jiang Zemin, l’ancien chef du régime communiste, il est venu chez moi et s’est excusé : « Tu as apporté des bienfaits à cette région. Si je te chasse, les villageois vont protester. Reste ici et aie l’esprit tranquille. Tu n’auras jamais à t’en aller. »

Traduit de l’anglais au Canada