(Minghui.org) Depuis mai 2015, plus de 200 000 pratiquants de Falun Gong ont exercé leurs droits de déposer une plainte contre Jiang Zemin. Ils accusent l'ancien dictateur chinois d'avoir lancé la persécution du Falun Gong, ce qui a entraîné des dommages irréparables aux pratiquants au cours des seize dernières années.

Beaucoup de non-pratiquants ont exprimé leur soutien pour les poursuites en justice en signant des pétitions préparées par les pratiquants.

Selon les informations compilées par le site Internet Minghui, un total de 2 024 personnes supplémentaires sont nouvellement confirmées avoir signé des pétitions soutenant les poursuites judiciaires contre Jiang Zemin.

Voici leur provenance : 505 personnes à Nanchong, province du Sichuan ; 1 260 à Yishui, province du Shandong ; et 259 dans le canton de Wanzai, province du Jiangxi. Les sympathisants sont notamment des travailleurs d'hôtel, des hommes d'affaires, des gestionnaires de supermarchés et des responsables gouvernementaux retraités et actifs.

Ces poursuites judiciaires et ces pétitions sont déposées ou soumises en ligne à la Cour populaire suprême et au Parquet populaire suprême.

Historique

En 1999, Jiang Zemin, à la tête du Parti communiste chinois, lançait la répression violente du Falun Gong sans tenir compte des autres membres du comité permanent du Politburo.

La persécution a conduit à la mort de nombreux pratiquants de Falun Gong au cours des seize dernières années. Beaucoup plus auraient été torturés en raison de leur croyance et même tués pour leurs organes. Jiang Zemin est directement responsable de la mise en place et du maintien de la persécution brutale.

Sous sa direction personnelle, le Parti communiste chinois a créé un organe de sécurité illégal, le « Bureau 610 », le 10 juin 1999. L'organisation supplante les forces de police et le système judiciaire dans l'exécution de la directive de Jiang concernant le Falun Gong : ruiner leur réputation, couper leurs ressources financières et les détruire physiquement.

La loi chinoise permet aux citoyens d'être plaignants dans les affaires pénales, et de nombreux pratiquants exercent maintenant ce droit de déposer des plaintes pénales contre l'ancien dictateur.

Traduit de l'anglais au Canada