(Minghui.org) L’ancienne pratique du Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa, a été chaleureusement accueillie au festival de « la Vie en plein air » qui a eu lieu à Creve Coeur Lake Memorial Park à St. Louis, Missouri, le 11 juin 2016.
Le festival vise à encourager les gens à essayer diverses activités de plein air et à être proche de la nature. Les activités comprenaient l’escalade, le surf à pagaie [stand up paddle], le cyclisme, le jardinage et bien d’autres activités pour tous les âges.
Les pratiquants de Falun Gong du Missouri ont participé à cet événement régional, ils ont présenté la pratique et sensibilisé au sujet de la persécution en Chine.
Beaucoup de gens se sont arrêtés au stand des pratiquants pour apprendre les exercices et prendre les documents d’information.
Certains visiteurs ont commenté que simplement regarder la démonstration des exercices les a fait sentir plus détendus.
Tiré vers le Falun Gong
Un jeune homme nommé Bill s'est dirigé vers le stand du Falun Gong. Il a dit aux pratiquants qu’il avait exploré différentes façons de chercher la vérité de la vie. Il a dit qu’il s'est senti particulièrement à l’aise dès qu’il a approché le stand.
Bill a dit qu’il s'intéressait beaucoup à la méditation, au qigong et à la cultivation de l’école de Bouddha. Sa conversation avec un pratiquant au stand lui a donné une meilleure compréhension des questions qui l'avaient longtemps intrigué. Il était content d’apprendre qu’il existe un site de pratique près de sa maison et a exprimé le désir d'aller apprendre la pratique.
Bill a été choqué par la brutalité de la persécution en Chine, en particulier les crimes des prélèvements forcés d’organes. Il ne pouvait pas comprendre comment une telle pratique pacifique pouvait subir une persécution aussi brutale.
Un message d’espoir
Une femme a écouté un pratiquant lui présentant le Falun Gong et a dit : « Si tout le monde pratiquait le Falun Gong, le monde irait beaucoup mieux ! »
Elle a ajouté que même si le Falun Gong est réprimé en Chine, la justice prévaudra en fin de compte. Peu importe comment le régime persécute la pratique, « la contrainte ne peut pas changer le cœur des gens », a-t-elle dit.