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Des medias britanniques et australiens couvrent les atrocités de prélèvements forcés d’organes en Chine

14 juillet 2016

(Minghui.org) Suite à la récente publication d’un rapport d’enquête mis à jour à propos des prélèvements forcés d’organes sur des prisonniers d’opinion en Chine, de plus en plus de médias de la société occidentale couvrent les atrocités commises par le régime communiste. Le journal britannique The Independent a publié le 28 juin un article sur les prélèvements massifs d’organes sur des pratiquants de Falun Gong. Un autre reportage approfondi a été publié le même jour sur News.com.au.

Un panneau d'information des pratiquants de Falun Gong devant le consulat chinois à Vancouver, Canada.

The Independent : « La Chine tue des millions d'innocentes personnes qui méditent pour leurs organes, indique le reportage - Les experts estiment qu’entre 60 000 et 100 000 prisonniers d'opinion sont exécutés chaque année »

« Le gouvernement chinois continue à prélever illégalement des organes sur des millions de ses prisonniers innocents tout en disant avoir mis fin à cette pratique il y a deux ans, déclare une enquête s'étendant sur dix ans.

« Les experts estiment qu’entre 60 000 et 100 000 prisonniers d'opinion sont exécutés annuellement et que leur cœur, foie et autres organes sont prélevés pour être utilisés pour des greffes.

« Au total, approximativement 1,5 millions de personnes ont eu leurs d’organes prélevés dans 712 centres de greffes de foie et de reins à travers la Chine depuis 2000, plus de 300 000 d’entre eux ayant eu lieu dans des centres non-réglementés.

« Le reportage déclarait également que de nombreux chirurgiens ne comptent simplement plus la quantité de greffes qu’on leur demande d’effectuer quotidiennement, certains ayant effectué pas moins de six prélèvements de reins en une seule journée.

« Les découvertes ont été publiées dans une version mise à jour de l’étude de 2007 ''Prélèvements meurtriers : rapport révisé sur les allégations de prélèvements d’organes sur des pratiquants de Falun Gong en Chine''.

« Le Falun Gong est une forme unique de pratique de méditation présentée en 1992 et que le gouvernement chinois s’efforce d’éradiquer depuis des décennies.

« On pense depuis longtemps que les pratiquants de Falun Gong sont exécutés ''sur demande'' par le gouvernement chinois pour compenser le manque de donneurs d’organes dans le pays.

« Le rapport est le résultat des recherches de l’ancien secrétaire d’État canadien David Kilgour, de l’avocat des droits de l’homme David Matas et du journaliste Ethan Gutmann qui l’ont écrit pour révéler les abus médicaux largement répandus dans ce pays asiatique.

« Le gouvernement chinois a officiellement établi que 10 000 greffes d’organes ont eu lieu chaque année dans le pays, mais le trio pense que ce chiffre est de loin inférieur à la quantité réelle.

« ''Nous pouvons facilement dépasser le chiffre officiel chinois en regardant simplement les deux ou trois plus grands hôpitaux'', a déclaré M. Matas.

« ''Cette divergence accrue nous amène à conclure qu’il y a eu un massacre largement plus important de pratiquants de Falun Gong pour leurs organes que nous ne l’avions estimé au départ.

« ''La conclusion ultime est que le Parti communiste chinois a engagé l’État dans l’assassinat de masse d’innocents.''

« Les pratiquants de Falun Gong ont été soumis sans consentement à des tests médicaux avant que leurs résultats ne soient entrés dans une base de données de sources d’organes vivants, de sorte que des compatibilités rapides puissent être établies, affirment les auteurs. » […]

News.com.au « Prélèvements meurtriers : Des milliers de personnes assassinées pour leurs organes, révèle un nouveau rapport »

« Le gouvernement chinois continue à perpétrer des assassinats de masse de personnes innocentes dans le but d’obtenir leurs organes pour des greffes, révèle un nouveau rapport accablant.

« Le rapport - de l’ancienne personnalité politique canadienne David Kilgour, de l’avocat des droits de l’homme David Matas et du journaliste Ethan Gutmann - montre que dix fois plus de greffes d’organes sont exécutées en Chine que ne l'admettent les chiffres officiels.

« ''Le Parti communiste affirme que le nombre total de greffes légales est d’environ 10 000 par an. Mais nous pouvons aisément dépasser les chiffres officiels en regardant simplement les deux ou trois plus grands hôpitaux'', a dit M. Matas dans une déclaration.

« Le rapport estime que de 60 000 à 100 000 organes sont transplantés chaque année dans les hôpitaux chinois.

« Selon le rapport, les dizaines de milliers de greffes d’organes non-rapportées par le gouvernement proviennent de prisonniers d’opinion exécutés, incarcérés pour leurs convictions religieuses ou politiques.

« ''Cette divergence accrue nous amène à conclure qu’il existe un massacre bien plus important de pratiquants de Falun Gong pour leurs organes que nous ne l’avions originellement estimé'', peut-on y lire.

« La conclusion ultime est que le Parti communiste chinois a impliqué l’État dans des assassinats de masse d’innocents, principalement des pratiquants de Falun Gong, un ensemble d’exercices à base spirituelle, mais aussi des Ouïghours, des Tibétains et des chrétiens des églises souterraines, dans le but d’obtenir des organes pour les greffes.

« Les auteurs affirment que les pratiquants de Falun Gong détenus ont été forcés à subir des tests médicaux avant que leurs résultats ne soient entrés dans une base de données d’organes vivants, afin de pouvoir établir des compatibilités d'organes rapides.

« M. Gutmann a déclaré que les prélèvements d’organes en Chine remontent à presque vingt ans en arrière, lorsque le Falun Gong - un mouvement spirituel basé sur les traditions chinoises - a pris de l’ampleur.

« ''Le Parti communiste chinois, alarmé par la croissance du mouvement (Falun Gong) et craignant pour sa propre suprématie idéologique, a interdit le mouvement en 1999'', a dit M. Gutmann.

« ''Les pratiquants de Falun Gong ont été arrêtés par centaines de milliers et on leur a demandé de se rétracter. S’ils ne le faisaient pas, ils étaient torturés. S’ils ne se rétractaient toujours pas, ils disparaissaient. Des allégations ont surgi en 2006 selon lesquelles les disparus étaient assassinés pour leurs organes, qui étaient vendus pour des sommes importantes principalement à des touristes de greffes étrangers. Il est généralement accepté que la Chine tue des prisonniers pour leurs organes.'' » […]

Traduit de l'anglais en Europe

http://www.minghui.org/mh/articles/2016/7/2/330807.html

http://www.minghui.org/mh/articles/2016/7/2/-