Le fonctionnaire du village local protège les pratiquants de Falun Gong

(Minghui.org) J’ai été autrefois une mère dévastée par la perte soudaine de son jeune fils, mais le Falun Gong m’a sauvée du désespoir et m’a donné l’espoir. Les mots ne peuvent pas exprimer mes remerciements à Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Gong, je ne peux pas exprimer combien je suis chanceuse.

Les gens de mon village ont été étonnés de voir comme le Falun Gong m’a transformée en une nouvelle personne. Même après le début de la persécution du Falun Gong, le directeur de la sécurité dans mon village a toujours fait de son mieux pour me protéger.

Souffrir de la perte de mon fils et d'une mauvaise santé

J’ai deux filles et un fils. Mon fils s’est noyé de façon tragique quand il était âgé de neuf ans. Mon mari n'a pas pu l'accepter et il a subi une dépression nerveuse qui l’a affecté pendant des années.

Mon fils me manquait, je m'inquiétais pour mon mari et je devais cultiver la terre, alors ma santé a décliné en quelques années. Mon revenu annuel ne pouvait pas couvrir les frais médicaux de mon mari et moi.

Je suis allée chez mon frère en août 1997 et j'ai obtenu des médicaments à crédit, car je n’avais pas l’argent pour payer immédiatement. Mon frère a dit : « Ton mari et toi êtes tout le temps malades. Je suggère que vous pratiquiez le Falun Gong. »

Pratiquer le Falun Gong

J’ai souffert de nombreuses maladies après avoir perdu mon fils. J’ai eu des maux de tête, des problèmes d’estomac et de foie et de l’arthrite. Mais toutes mes maladies ont disparu après deux mois de pratique du Falun Gong. Mon mari a même guéri de sa sévère dépression.

J’avais un mauvais caractère et je ne m’entendais pas bien avec la famille de mon mari et mes voisins. Après avoir pratiqué le Falun Gong, j’ai commencé à faire les choses selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance dans ma vie quotidienne. Mes voisins ont dit que j’avais changé en une autre personne.

Le directeur de la sécurité prend l’initiative de me protéger

Juste au moment où j’appréciais les bienfaits de ma pratique, l’ancien dictateur Jiang Zemin a lancé la persécution du Falun Gong en juillet 1999. Tous les médias contrôlés par l’État ont alors commencé leur propagande sans arrêt pour calomnier et attaquer le Falun Gong.

Un jour, le chef de la sécurité dans notre village est venu chez moi et a dit : « Quand j’ai eu une réunion dans notre bureau provincial, je leur ai dit que vous aviez cessé de pratiquer le Falun Gong. » Je savais qu’il avait dit cela pour nous protéger, car il savait que je ne renoncerais jamais à la pratique.

Je lui ai ensuite demandé : « Pourquoi ne nous avez-vous pas signalés aux autorités locales ? »

« Les gens qui pratiquent le Falun Gong sont tous de bonnes personnes », a-t-il répondu. « Quand les chefs de notre village vont chez les gens pour collecter la taxe agricole, nous sommes insultés et n’osons même pas entrer dans leur maison. Mais vous avez toujours payé le montant intégral, jamais un sou de moins », a-t-il ajouté.

Traduit de l’anglais au Canada