Parler aux gens chaque jour

Je sors pour parler aux gens tous les matins, 365 jours par an. Je n'ai manqué aucune journée même s'il y avait de la pluie, du vent ou si c'était un jour de congé. Si je ne peux pas y aller le matin, alors je sors l'après-midi. En général, je peux aider environ 30 personnes à démissionner du Parti chaque jour. Si je manque une journée, alors le lendemain je continue à parler aux gens jusqu'à ce que j'aie aidé 60 personnes à démissionner.

J'ai assisté à une conférence de partage d'expériences un matin, je suis donc sorti l'après-midi. À une autre occasion, j'ai participé à un événement de la localité qui commençait à 9 h. Alors je suis sorti plus tôt et j'ai pu atteindre mon but.

Je sens vraiment que clarifier les faits est ma responsabilité et je me sens mal à l'aise quand je n'y vais pas.

Se concentrer sur le salut des gens

J'essaie de garder mes pensées aussi pures et claires que possible. Je ne regarde pas la télévision, je ne bavarde pas avec mes enfants de choses banales. Je me lève à 3 h 50 et je fais les exercices, j'émets la pensée droite (FZN) à 6 h. Ensuite je prends le petit-déjeuner, j'étudie une ou deux leçons du Zhuan Falun et ensuite, je lis d'autres enseignements. À 10 h, je sors pour parler aux gens et en général, j'arrive chez moi vers 15 h. Alors j'étudie une ou deux leçons du Zhuan Falun avant le dîner. Plus tard, j'étudie d'autres enseignements et j'écoute la Radio Minghui.

J'aide aussi pour d'autres projets, comme sortir pour distribuer des dépliants et des DVD, coller des autocollants, aider les autres pratiquants à assembler les livres et rendre visite aux pratiquants qui subissent des tribulations.

Mon esprit est maintenant concentré sur le salut des gens et rien d'autre. Je trouve que ma capacité à clarifier les faits est beaucoup plus puissante quand mon cœur reste pur et clair.

Le Maître a dit :

« Si, par exemple, vous jetez dans l’eau une bouteille pleine de saletés et bien fermée par un bouchon, elle coulera au fond ; si vous videz ces saletés, plus vous en videz, plus elle remontera vers la surface ; quand vous l’aurez complètement vidée, elle flottera entièrement. » (Zhuan Falun)

Le Maître nous a aussi dit :

« L’homme est juste comme un récipient, qui est tout comme ce dont il est rempli. » (« Se fondre à la loi », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Je comprends que nous ne devrions pas nous exposer à des choses négatives. Si nos pensées peuvent s'assimiler au Fa, alors les résultats de notre clarification des faits seront bons.

Un matin, j'étais assis sur un banc à une place et j'attendais. Sous peu, des gens se sont assis à mes deux côtés. J'ai d'abord parlé à l'homme à ma gauche et je l'ai aidé à démissionner du Parti. Ensuite, j'ai parlé à l'homme à ma droite et il a démissionné. Quand ils sont partis, deux autres personnes sont venues s'asseoir à côté de moi. J'ai continué à rester assis sur le banc et à parler aux gens. En moins d'une heure, j'avais aidé 20 personnes à démissionner du Parti. J'ai réalisé que le Maître avait envoyé ces gens vers moi.

Quand notre intention est pure, clarifier les faits se fait facilement. Un jour, quand j'ai aidé 29 personnes à démissionner, j'ai regardé la liste et j'ai remarqué qu'ils étaient tous membre de la Ligue de la Jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers. Je me suis dit : « Il n'y avait pas de membres du PCC. Ce serait bien si je pouvais aider un membre du Parti à démissionner du PCC. »

Lorsque je suis monté dans le bus ce jour-là, un homme était assis à côté de moi. Nous avons commencé à parler et il a dit qu'il avait 75 ans. Je lui ai demandé s'il était membre du PCC et il a dit qu'il avait été membre pendant de nombreuses années. Je l'ai donc aussi aidé à démissionner. C'était comme si tout allait selon mon souhait.

Le Maître nous a dit :

« Si un homme veut accomplir quelque chose et faire quelque chose, tu dois te servir de tes mains et de tes pieds, tu dois accomplir un travail physique pour le réaliser. Un bouddha non. Un bouddha n’a qu’à penser, la pensée suffit. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa à San Francisco », Enseignement du Fa aux Conférences de Fa aux États-Unis)

Quand je lis cela, je réalise que le Maître nous a poussés à avoir ce potentiel. Aussi longtemps que nous restons dans le Fa, nous sommes capables de faire les choses efficacement.

Quand je ne pense qu'au salut des gens, je n'ai aucune pensée négative. Par exemple, je ne pense pas : « Et si je lui parle mais qu'il ne démissionne pas, alors que faire ? Que faire s'il m'injurie ? Que faire s'il me dénonce ? » Je me concentre uniquement sur le salut des gens.

Un jour, quand un pratiquant essayait de parler avec un propriétaire de magasin, le propriétaire l'a chassé dehors. Le pratiquant m'a demandé de l'approcher. Après que nous avons parlé ensemble, le propriétaire du magasin a volontiers démissionné du PCC.

Le Maître a dit :

« Je dis souvent que si quelqu’un peut ne prendre que le profit d’autrui comme objectif, et ne garder aucun but personnel ni aucune compréhension personnelle, ses paroles pourront faire pleurer ses interlocuteurs. » (« Lucidité », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Quand nous clarifions la vérité, nous devons être compatissant. Nous devons également comprendre l'autre personne et attacher de l'importance au sujet principal. Ainsi, nous pouvons les aider à démissionner du PCC en très peu de temps. Cela devient plus facile et maintenant les gens sont davantage disposés à écouter. Chaque jour, je peux aider 35 à 50 personnes à démissionner. J'ai même en un seul jour convaincu jusqu'à 152 personnes.

Un jour, j'ai été renversé par une moto alors que je marchais dans la rue. Mon corps s'est envolé en l'air, mais je suis doucement retombé par terre comme si rien ne s'était passé. Le motocycliste était terrifié et demandait sans cesse si je voulais aller à l'hôpital.

J'ai dit : « Je vais bien. Je suis un pratiquant de Falun Dafa. Vous pouvez partir. » Il ne voulait pas partir, alors je l'ai aidé à démissionner du PCC.

Utiliser notre sagesse

Le Maître a dit :

« Utiliser la raison pour valider le Fa, utiliser la sagesse pour clarifier la vérité, utiliser la compassion pour que le Fa soit immensément répandu et pour apporter le salut aux gens de ce monde, cela est justement pour un éveillé établir sa vertu majestueuse. » (« Rationalité », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Nous devons d'abord saluer les gens avant de clarifier les faits. Par exemple, quand je veux aider quelqu'un, je le salue chaleureusement, je lui demande comment il va et je demande comment va sa famille. Ensuite, je lui pose des questions sur son travail et nous bavardons à propos de combien il est difficile de gagner sa vie actuellement. Je lui parle ensuite de combien la société est corrompue actuellement et a dévié et pourquoi c'est ainsi. S'il est d'accord, je lui dis que des millions de Chinois sont en train de prendre leur distance en démissionnant du PCC.

Quand je clarifie les faits dans les hôpitaux, je dis : « De nos jours, il est tellement difficile de voir des médecins ! Les médecins ne vous consacrent que quelques minutes, mais vous devez les attendre pendant des heures. Les dépenses médicales sont énormes. On doit vraiment gagner beaucoup pour pouvoir venir ici ! Mais regardez ces fonctionnaires du gouvernement : les hôpitaux envoient les médecins à leur domicile et ils leur donnent les meilleurs médicaments. Les gens comme tout le monde reçoivent-ils un traitement pareil ? Pas du tout. Il n'y a qu'un seul moyen pour rester en sécurité sans dépenser de l'argent, et c'est de démissionner du PCC. »

Encourager les nouveaux pratiquants

Parfois, d'autres pratiquants me demandent de venir avec moi quand je parle aux gens de démissionner du Parti. Je suis très content de pouvoir les aider parce que je pense que c'est mieux quand davantage de gens clarifient la vérité et ainsi plus de gens peuvent être sauvés.

Au début, ils écoutent et regardent simplement. Ils émettent la pensée droite et aident souvent à noter les noms. Certains sont d'abord anxieux, mais je les encourage. Je leur dis : « Il n'est pas nécessaire que tu parles. Tu peux simplement écouter. » En général, ils deviennent plus courageux après quelque temps et maintenant, nombreux sont ceux qui peuvent clarifier les faits tout seuls.

Un jour, quand j'ai accompagné un jeune pratiquant clarifier les faits, il a remarqué qu'un policier en civil nous suivait. Comme j'étais en train de parler avec quelqu'un, le pratiquant avait marché vers l'autre côté de la rue et m'observait. Il a vu l'agent en civil marcher vers moi, mais qu'il n'arrivait pas à me saisir le bras. L'agent a fait trois aller-retour, mais il n'arrivait pas à me toucher. Il a abandonné et est parti. J'ai réalisé que le Maître me protégeait parce que je n'avais pas peur ; je me sentais compatissant et vertueux.

Nous devons essayer de sauver tout le monde

Le Maître a dit :

« Si un pratiquant, dans n'importe quel genre de circonstance, peut abandonner l'idée de la vie et de la mort, la perversité en aura assurément peur ; si tous les élèves peuvent y parvenir, la perversité s'anéantira d'elle-même. Vous connaissez déjà le principe du Fa d'inter-engendrement et d'inter-inhibition, sans la peur, les facteurs qui vous font peur n'existeraient plus. Il ne s'agit pas de se contraindre à agir, mais on atteint cela parce qu'on lâche vraiment prise avec le cœur tranquille. » (« Éliminer le dernier attachement », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Je n'ai pas peur et je parle avec chaque personne que je rencontre.

Voici quelques expériences supplémentaires que j'ai eues en parlant aux gens :

Un jour, j'étais en face d'un poste de police et j'ai vu trois agents de police. Deux rapportaient au troisième, donc je supposais que le troisième devait être leur chef. Quand ils ont eu fini de parler, je suis allé vers le chef et je l'ai aidé à démissionner du PCC. Il m'a dit d'être vigilant et qu'il était le responsable des questions du Falun Gong.

Alors que j'étais en train de clarifier les faits à une dame dans un marché aux puces, quelques agents de police se sont tout à coup précipités là. La dame a eu peur et s'est immédiatement éloignée. Je n'avais pas peur et j'ai commencé à expliquer les faits de la persécution à un agent. Il a été d'accord de démissionner du PCC. Ensuite, je suis sorti et j'ai vu que plusieurs agents de police avaient encerclé tout le marché, comme s'ils cherchaient quelqu'un. J'ai passé juste derrière eux.

Un jour, alors que je clarifiais la vérité, le vent a soufflé mon chapeau. Je suis allé le ramasser, mais le vent l'a de nouveau soufflé et il est tombé au milieu d'un groupe de quatre personnes, un couple d'un certain âge et un jeune couple. J'ai réalisé que le Maître voulait que je leur parle. J'ai donc aidé les quatre personnes à démissionner du PCC.

Coopérer avec les compagnons de cultivation

En plus de clarifier la vérité, j'aide aussi les autres pratiquants pour quoi que ce soit dont ils aient besoin. Une fois, un pratiquant m'a donné une grande quantité de documents. Il a dit qu'il n'avait pas le temps de s'en occuper, alors je les ai pris sans rien dire et je les ai distribués jusqu'à ce qu'il fasse presque totalement noir dehors. Une autre fois, on m'a donné un sac d'autocollants et on m'a dit que le pratiquant qui les collait habituellement n'était pas venu. Alors je les ai collés tout le long du chemin pour rentrer chez moi.

Je pense qu'en tant que pratiquants, nous devons remplir nos responsabilités et coopérer inconditionnellement avec les compagnons de cultivation.

Le Maître a dit :

« Ses affaires sont vos affaires, vos affaires sont ses affaires. »

(« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Washington D.C. », Enseignement du Fa dans les conférences II)

Merci Maître ! Merci, compagnons de cultivation !

(Quatorzième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais en Belgique