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Sauvé de la mort par Maître Li

31 décembre 2017 |   Écrit par un pratiquant du Nord-est de la Chine

(Minghui.org) J'ai 54 ans. J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en janvier 1998. Quelques jours après avoir appris la pratique, ma maladie chronique du foie et ma hernie discale lombaire ont été complètement guéries.

Dans la nuit du 15 mai 2011, je me pressais de rentrer chez moi quand le pneu arrière de ma moto a éclaté et qu'elle est devenue incontrôlable. Mon corps est entré en collision avec un arbre qui poussait à côté de la route.

Bien que j'ai réussi à rester conscient peu après la collision, l'impact m'a rendu partiellement aveugle et paralysé. Un passant m'a aidé à me lever et m'a proposé de contacter ma famille. J'ai réussi à sortir mon téléphone de la poche et j'ai indiqué le numéro de ma femme avant de perdre conscience. Le passant a réussi à contacter ma femme, qui s'est précipitée sur le lieu de l'accident et m'a emmené à l'hôpital du canton pour des soins d'urgence.

Je me suis fermement tenu à ma conviction que le Maître me sauverait. Bien que je sois à peine conscient, j'ai chuchoté à plusieurs reprises : « Maître sauve-moi... » Les médecins traitants étaient perplexes et ont demandé des éclaircissements à ma famille. Des membres de ma famille lui ont expliqué : « Cet homme pratique le Falun Gong. » Un médecin a répondu : « Il aura besoin de toute la chance qu'il pourra avoir. »

J'ai dû subir une intervention chirurgicale d'urgence en raison de mon hypotension artérielle et de ma faible fréquence respiratoire. Pendant l'opération, j'ai senti mon âme sortir de mon corps avant d'être emmenée par deux êtres à l'emplacement d'un ancien auditorium.

Une grande table se trouvait au milieu de l'auditorium. Derrière la table, il y avait un homme vêtu de la robe des anciens fonctionnaires chinois. Des gardes se tenaient de part et d'autre, tenant diverses armes chinoises. Le fonctionnaire qui se tenait derrière la table m'a demandé : « Quelles bonnes actions avez-vous accomplies au cours de cette vie et quelles vertus avez-vous accumulées ? » J'ai répondu solennellement : « Je n'ai pas de bonnes ou de mauvaises actions et je n'ai accumulé aucune vertu. J'ai simplement cultivé le Fa de Bouddha sous l'égide de Maître Li Hongzhi. »

En entendant ma réponse, le fonctionnaire s'est immédiatement levé et a dit : « Très bien. Dans de telles circonstances, vous êtes toujours en mesure de vous rappeler et de respecter votre Maître. Continuez de garder cela à l'esprit. Votre vie ne relève pas de ma juridiction. Retournez d'où vous venez. » Après cela, il a fait un geste de la main vers moi et j'ai senti une force invisible me repousser. Pendant un instant, j'ai ressenti une sensation de chute avant de reprendre connaissance quand j'ai senti le médecin me tapoter le visage et crier mon nom.

Les médecins ont découvert que l'accident avait rompu ma rate, fracturé à neuf endroits ma cage thoracique gauche, gravement contusionné et lacéré plusieurs de mes organes internes et avait causé une grave hémorragie dans la cavité thoracique ce qui a entraîné la perte d'au moins quatre litres de sang.

Les chirurgiens de l'hôpital ont passé six heures à essayer de me sauver la vie. Finalement, ils ont été contraints d'informer ma famille que tout espoir de survie était très mince. Les médecins ont alors recommandé que je sois transféré dans le plus grand hôpital provincial pour d'autres soins d'urgence, mais ils ont aussi averti : « Il pourrait mourir au cours du transport. »

L'ambulance m'a transporté avec succès à l'hôpital provincial. Cependant, les urgentistes ont d'abord refusé de m'admettre, car ils considéraient mon état comme désespéré. Plus tard, l'hôpital a autorisé à contrecoeur mon admission après qu'un membre de ma famille, qui travaillait à l'hôpital, se soit exprimé en mon nom.

Pendant que les médecins essayaient de me brancher à un respirateur plus performant, mon cœur s'est soudainement arrêté et mon âme s'est envolée hors de mon corps. J'ai vu le médecin traitant faire des compressions thoraciques sur mon corps avant de réaliser soudainement que je ne pouvais pas passer trop de temps loin de mon corps physique, sinon ma mort deviendrait permanente. Je savais que je ne pouvais pas encore partir, car je n'avais pas accompli mon voeu d'aider le Maître à rectifier le Fa et sauver les êtres. Avec cette pensée, je suis retourné dans mon corps physique et me suis réveillé à la sensation d'une personne me giflant le visage en m'appelant par mon nom. J'ai réussi à bouger légèrement la main pour signaler ma reprise de conscience.

Un des médecins traitants m' a dit plus tard : « Vos pupilles étaient floues, votre respiration et votre fréquence cardiaque s'étaient complètement arrêtées. On se préparait à sortir votre cadavre du bloc opératoire quand vous avez soudainement repris vie. C'était vraiment incroyable. Vous devriez chérir ce cadeau inattendu ! »

J'ai passé les six jours suivants dans un état de conscience partielle et je n'ai repris pleinement connaissance que l'après-midi du sixième jour. Pendant tout ce temps, ma femme et mes compagnons de cultivation ont continué d'émettre la pensée droite.

J'ai passé un examen médical au cours de mon huitième jour aux soins intensifs. Au milieu de l'examen, j'ai ressenti soudainement un sentiment accablant de douleur et un fort essoufflement. Ma femme m'a doucement rappelé de garder la pensée droite. J'ai demandé l'aide du Maître, récitant silencieusement Lunyu et des poèmes de Hong Yin. L'examen s'est terminé avec succès et les médecins ont déclaré que l'état de mes reins, de mon cœur, de mon foie et de mes poumons s'était grandement amélioré.

J'ai été transféré dans un service hospitalier ordinaire après douze jours en soins intensifs. Chaque jour, ma femme passait des enregistrements des conférences du Maître. Entre-temps, je mémoriserais le Fa.

Au début, mon rétablissement a progressé rapidement. Cependant, ma mentalité à me faire valoir a refait surface et je me suis forcé à me lever trop tôt. À la suite d'un surmenage, ma plaie chirurgicale s'est rouverte et s'est infectée. J'ai eu une forte fièvre et j'ai oublié de m'en tenir aux critères d'un pratiquant de Dafa. Ma fierté et mon attachement à la compétition ont refait surface et je me suis disputé avec ma femme au sujet d'une affaire mineure. Ma vie risquait d'être réclamée par les forces anciennes, mais je refusais de reconnaître mes fautes.

Alors que j'étais dans un état de semi-conscience, le Maître miséricordieux a ouvert mes mémoires scellées. J'ai vu de nombreuses scènes, montrant ma relation prédestinée avec le Maître et les arrangements nuisibles faits pour moi par les forces anciennes. Je me suis réveillé en larmes après chaque scène, souffrant d'un profond sentiment de culpabilité. Bien que j'ai atteint le statut de pratiquant de Dafa, j'avais été impitoyablement laxiste dans ma pratique et cultivation.

Mon expérience m'a conforté dans ma détermination à renforcer ma pensée droite, ma recherche intérieure et mon travail de mémorisation du Fa.

Dès que ma fièvre a disparu, j'ai demandé à sortir de l'hôpital. Mes médecins n'étaient toutefois pas d'accord, car le tube de drainage inséré dans la plèvre entourant mes poumons indiquait que mon corps produisait encore de grandes quantités de sécrétions.

En entendant leur verdict, j'ai intensifié mes efforts dans l'émission de la pensée droite afin d'éliminer l'interférence maléfique des autres dimensions. J'ai ensuite renouvelé mes demandes pour sortir de l'hôpital. Cet après-midi là, les médecins ont fait un scanner et découvert que le liquide pleural avait disparu. Ils ont enlevé le drain thoracique et se sont préparés à me renvoyer chez moi.

Lorsque le spécialiste de la gorge est arrivé pour refermer mon incision de trachéotomie, mes proches ont profité de l'occasion pour demander si je pouvais retrouver la voix. Le spécialiste a répondu : « C'est peu probable. » Ma femme m'a suggéré d'essayer de lire le Fa à haute voix pendant mes séances d'étude. Un après-midi, lors du troisième jour, pendant que je lisais Zhuan Falun, le téléphone a sonné. Automatiquement, j'ai décroché le téléphone et salué l'appelant. L'appelant a été surpris : « Vous êtes capable de parler ? » J'ai répondu : « C'est grâce à mon Maître. » Ma voix s'est vite rétablie et est redevenue normale.

À un moment donné, pendant ma convalescence, mon estomac a commencé à gonfler et je n'ai plus pu manger, boire ou même excréter pendant cinq jours. Poussé au bord du gouffre, je n'ai pas pu maintenir mon état de cultivation et pratique et j'ai même eu des pensées suicidaires. Ma femme et un autre pratiquant ont essayé de m'offrir du soutien en lisant le Fa à mon chevet, en émettant la pensée droite et en m'offrant des conseils. Cependant, j'étais tellement torturé par la douleur que je ne pouvais pas regarder à l'intérieur. J'ai grossièrement rejeté leurs conseils et essayé d'expulser le compagnon de cultivation de chez moi. Heureusement, le pratiquant savait que j'étais sous le contrôle des forces anciennes et il a refusé d'abandonner. Il a sacrifié un certain nombre de jours et de nuits pour m'accompagner dans l'étude du Fa et pour émettre la pensée droite.

Avec ses encouragements déterminés, j'ai réussi à reprendre mon état de cultivation et pratique, chercher à l'intérieur et corriger mes faiblesses. Bien que j'ai réussi à surmonter cette tribulation difficile, ma condition physique s'est détériorée et mon poids a chuté à 36 kg. Chaque mouvement et chaque pas sont devenus épuisants.

À cette époque, j'ai vécu un rêve où une voix me disait : « Abandonne et reprends la vie d'une personne ordinaire. Tu ne peux pas gagner ce combat. » J'ai immédiatement réfuté : « Je suis la pratique enseignée par Maître Li. Le Maître nous a enseigné à adhérer au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Les pratiquants n'ont pas d'ennemi et nous ne sommes pas impliqués dans une bataille avec qui que ce soit. »

J'ai continué à chercher à l'intérieur, à étudier le Fa avec ma femme et à émettre la pensée droite. Ma santé a commencé à s'améliorer, mais un peu de gonflement résiduel est resté dans ma poitrine et mon abdomen. Un soir, j'ai rêvé que je me disputais avec quelqu'un d'autre à propos de mes propres intérêts. Au milieu de notre dispute, une voix de miséricorde résonnait d'en haut : « Tu aimes toujours argumenter ! » Les mots m'ont frappé profondément et je me suis réveillé en pleurant des larmes de regret. Cet incident m'a incité à me soumettre à un examen inconditionnel. J'ai découvert de nombreuses fautes, y compris l'égoïsme, l'orgueil, la jalousie, la combativité, la colère et la haine.

Mes attachements ont stimulé mes efforts dans l'étude du Fa et l'émission de la pensée droite pour éliminer les facteurs maléfiques et l'interférence. Ma santé a commencé à s'améliorer et la douleur a diminué. Un matin, en pratiquant la série des cinq exercices, j'ai vu une gourde vert-jaune descendre du ciel. La gourde s'est arrêtée près de mon bras gauche et s'est préparée à entrer dans mon corps. Inconsciemment, j'ai réalisé que la gourde était un mauvais objet et j'ai émis la pensée droite. La gourde s'est instantanément fendue, libérant le sang sale et le pus qu'elle contenait.

À partir de ce jour, j'ai pu manger et boire normalement. Le gonflement de ma poitrine et de mon abdomen s'est résorbé et je me suis complètement rétabli. J'ai pu aider à la récolte d'automne dans nos champs familiaux et j'ai occupé un emploi temporaire pendant les mois d'hiver. Ma force est revenue et je peux facilement soulever plus de 135 Kg ou marcher sur une longue distance sans effort.

De cette tribulation, j'ai appris à prendre au sérieux la pratique et cultivation et à chérir ma chance d'être devenu un pratiquant de Dafa. Les mots ne peuvent pas décrire la gratitude que j'ai envers le Maître.

Traduit de l'anglais au Canada