(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996. Chaque jour au cours de ces dix-huit dernières années, je suis sortie pour clarifier les faits. Je n'ai pas été découragée par le soleil brûlant, le froid glacial, le vent violent ou la pluie intense.

Bien que j'aie été arrêtée trois fois, de 2015 à 2017, grâce à ma pensée droite, associée à ma croyance en le Maître et Dafa, j'ai réussi à nier les arrangements des forces anciennes.

Sous la bienveillante protection du Maître, j'ai été relâchée chaque fois le jour même de mon arrestation. De plus, je n'avais pas peur du tout. Le lendemain même, je sortais à nouveau clarifier les faits, comme si rien ne s'était passé.

J'ai aidé huit personnes à démissionner du PCC

En janvier 2015, j'ai clarifié les faits à un homme que j'avais rencontré alors que je marchais en direction du supermarché local.

Dès qu'il s'est rendu compte que j'étais une pratiquante de Falun Dafa, il m'a attrapée la main de force et a appelé la police. J'ai eu beau essayer de toutes mes forces, je n'ai pas pu pas me libérer de sa prise.

Quand les policiers sont arrivés, ils m'ont emmenée au poste de police et m'ont enfermée dans une petite cellule. Un homme m'a interrogée à plusieurs reprises, mais j'ai refusé de coopérer avec lui. Je pensais : « Mon Maître est avec moi, je n'ai pas peur. Je viens pour valider Dafa et sauver les êtres. »

J'ai alors commencé à parler à tous ceux que je rencontrais des bénéfices pour la santé de la pratique de Dafa, ainsi que de la façon dont ma moralité s'était considérablement améliorée.

J'ai aussi aidé un employé du Bureau 610 et un jeune agent de police à démissionner du Parti communiste chinois (PCC).

J'ai été transférée vers midi dans une grande pièce avec plusieurs autres détenus. Quelques agents de police gardaient la porte.

J'ai demandé au Maître de renforcer ma pensée droite, puis j'ai commencé à raconter à tout le monde la bonté de Dafa.

Un garde m'a crié d'arrêter de parler, mais je ne l'ai pas écouté.

Je lui ai dit : « Je suis enseignante. Laissez-moi vous raconter une histoire. » J'ai alors commencé à parler des choses miraculeuses qui m'étaient arrivées après que j'ai commencé la pratique du Falun Dafa.

Je leur ai également parlé des valeurs traditionnelles et comment le bien et le mal avaient leurs justes récompenses.

J'ai ensuite aidé un jeune homme à côté de moi à démissionner de la Ligue de la Jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers.

La police avait attaché une femme âgée à une chaise de fer. Quand j'ai vu combien elle était contrariée, j'ai dit : « S'il vous plaît, ne pleurez pas. Permettez-moi de vous raconter une histoire. » Pour finir, je l'ai aidée à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Dans l'après-midi, elle paraissait très heureuse et a même commencé à chanter une chanson.

Quelques policiers m'ont demandé ce que je voulais manger pour le déjeuner. J'ai répondu : « J'attendrai de rentrer chez moi pour manger. »

J'ai ensuite exploité toutes les occasions disponibles pour clarifier les faits à ces personnes. Une nouvelle recrue du Bureau 610 a écouté attentivement ce que j'avais à dire, puis a démissionné du Parti.

Peu de temps après, un homme est entré dans la pièce en tenant un formulaire, qu'il m'a demandé de signer. Au lieu de le signer, j'ai continué à parler aux gens de l'importance de démissionner du PCC. J'ai également aidé deux policiers à démissionner du Parti, alors qu'ils m'accompagnaient aux toilettes.

Ce soir-là, un agent de police m'a dit que je pouvais rentrer à la maison. Il a ensuite désigné deux policiers et a déclaré : « Ils n'ont pas encore démissionner du PCC. Aidez-les. »

Après avoir obtenu leur accord, j'ai donné à chacun d'eux un pseudonyme, puis je les ai aidés à démissionner du Parti.

Avant de quitter le centre de détention, j'avais aidé huit personnes à démissionner du PCC. Sous la protection du Maître, je suis rentrée chez moi en toute sécurité.

Clarifier sans cesse les faits

En janvier 2016, deux policiers m'ont brusquement abordée, alors que je faisais les courses, et m'ont demandé mon nom. Quand je le leur ai donné, ils ont déclaré : « Venez avec nous au poste de police. » J'ai refusé de les suivre, alors ils ont dû me mettre de force dans le véhicule qui attendait.

Quand nous sommes arrivés au poste de police, j'ai été immédiatement emmenée dans le sous-sol du bâtiment. J'ai supposé, vu l'orientation de leur interrogatoire, que quelqu'un m'avait signalée.

J'ai alors demandé l'aide du Maître, j'ai regardé à l'intérieur et continuellement émis la pensée droite.

J'ai aidé toutes les personnes que je rencontrais à comprendre la bonté de Dafa et les effets bénéfiques qu'il avait sur la santé.

Au lieu de répondre aux questions des enquêteurs, je leur ai parlé du Falun Gong et de la façon dont le PCC persécutait la pratique.

Un jeune policier est venu vers moi portant une pile de formulaires qu'il m'a demandé de remplir. Lorsque j'ai refusé sa requête, il a été surpris, puis il a quitté la pièce.

Dans l'après-midi, un policier m'a remis mes affaires et m'a dit que je pouvais rentrer chez moi. Quand j'ai remarqué que mes documents pour clarifier la vérité étaient toujours dans mon sac, j'ai remis à chacun un exemplaire et je leur ai demandé de le lire.

Plusieurs agents ont proposé de me reconduire chez moi, mais j'ai poliment refusé car j'étais préoccupée par l'idée qu'ils puissent m'emmener ailleurs. Quand ils ont insisté, j'ai décidé d'aller avec eux.

Dès que je suis entrée dans leur voiture, j'ai déclaré : « Bonjour chauffeur. Le fait que nous nous rencontrions me dit que nous avons une affinité prédestinée. Êtes-vous membre du Parti ou de la Ligue de la Jeunesse ? »

Je lui ai rapidement expliqué pourquoi il était important de démissionner du Parti et je l'ai aidé à annuler son adhésion. L'homme à côté de moi a demandé : « Pourquoi parlez-vous à tout le monde comme ça ? » J'ai répondu : « C'est ma mission. »

À l'intersection près de chez moi, j'ai vu mon mari en train de m'attendre avec inquiétude. J'ai donc demandé au conducteur de me déposer là et j'ai dit que j'allais marcher le reste du chemin.

Rentrer à la maison après quelques heures d'arrestation en 2017

Un jour de janvier 2017, un jeune pratiquant a déposé à la maison des documents en lien avec le Falun Dafa. Au moment où j'étais sur le point de les ranger, deux policiers ont frappé à ma porte et m'ont demandé de les accompagner.

Afin de protéger les documents, j'ai décidé d'y aller. Dès que je suis arrivée au poste, j'ai entendu un employé du Bureau 610 dire : « Allez fouiller chez elle et voir ce qu'elle avait là-bas. »

J'ai soudain réalisé que la police surveillait mon téléphone, c'est pour cela qu'ils se sont présentés à ce moment-là.

J'ai rapidement émis la pensée droite pour nier les arrangements des forces anciennes et demander l'aide du Maître. Bien que les policiers aient été trompés par la propagande du PCC sur le Falun Gong, ils méritaient encore une chance d'être sauvés.

D'un ton très calme et gentil, je leur ai dit : « Le Falun Dafa est pratiqué dans plus de cent pays à travers le monde. À Hong Kong et à Taïwan, il est pratiqué librement et ouvertement. Ce n'est qu'en Chine que la pratique est réprimée.

« De nombreux persécuteurs ont reçu une rétribution karmique sévère. Vous devriez faire les choses selon votre conscience. C'est seulement de cette façon que vous pourrez vous assurer un avenir brillant. »

Leur attitude envers moi a rapidement changé. J'ai ensuite aidé deux des policiers à démissionner du PCC. Ils m'ont dit qu'ils me libèreraient à midi.

Quand je suis arrivée chez moi, mon mari m'a dit qu'il avait caché tous les documents en lien avec le Falun Dafa. Au moment où la police était arrivée, ils n'avaient rien pu trouver pour m'incriminer. Cependant, ils avaient confisqué les portraits du Maître et quelques DVD.

Lorsque mon mari était allé au poste de police pour demander ma libération, on lui avait dit que j'allais être libérée très vite.

Quelques jours plus tard, je suis retournée au poste de police et j'ai récupéré les portraits du Maître. Quand ils m'ont demandé de signer un document avant de rendre les portraits, j'ai déclaré  : « Qu'est-ce que vous voulez que je signe ? Vous êtes venus chez moi sans être invités et avez emporté mes biens personnels. » Donc, ils ont dû me rendre les portraits.

Un policier m'a demandé : « Êtes-vous enseignante ? Quel est votre nom de famille ? Dans quelle école avez-vous travaillé avant d'être à la retraite ? » J'ai répondu à ses questions puis je lui ai clarifié la vérité. À la fin, je l'ai aidé à démissionner du PCC.

Chaque fois que j'étais arrêtée, j'avais le Maître et Dafa dans mon cœur. Ainsi, j'étais très calme, honnête, et j'avais une forte pensée droite en clarifiant les faits à tous ceux que je rencontrais.

Je pensais : « Puisque je suis ici, j'utiliserai cette opportunité pour éliminer mon karma et améliorer mon caractère. »

Je sais que le Maître me protège toujours, c'est pourquoi les tribulations auxquelles je suis confrontée ont toutes été rapidement résolues.

Le Maître organise en permanence que les personnes avec une affinité prédestinée me rencontrent.

Traduit de l'anglais en France