(Minghui.org) Chen Weijun, une étudiante universitaire à Yilan au Taïwan, souffrait d'urticaire depuis qu'elle était en sixième année. Par moments, les démangeaisons commençaient comme s'il y avait des milliers de fourmis qui lui marchaient sur la peau, et elle ne pouvait rien y faire. Ceci lui causait beaucoup de douleur.

Par rapport à un autre problème qu'elle avait, cependant, l'urticaire n'était qu'une petite affaire. Ce problème lui causait une vraie terreur, lui faisant penser à mettre fin à sa vie.

Heureusement, les deux problèmes appartiennent actuellement au passé, depuis qu'elle a suivi son père dans la pratique du Falun Dafa. « Ceci est vraiment magnifique », a-t-elle dit, « ma gratitude envers Maître Li et le Falun Dafa dépasse toute description. »

Après que Chen Weijun a entendu parler du Falun Dafa grâce à son père et qu'elle a commencé à le pratiquer, les problèmes qu'elle avait depuis des années ont disparu.

Un cauchemar persistant

Cela a commencé quand elle était en deuxième année au lycée. Des images ont commencé à apparaître devant Weijun chaque jour. Ceci l'incommodait et son rythme cardiaque augmentait, mais elle ne pouvait pas déterminer d'où venaient ces images, même quand elle y réfléchissait très fort. Néanmoins, sa vue, son ouïe et tous ses sens lui disaient que les images étaient vraies. Elle n'avait aucune idée de ce qu'elles représentaient et elle était donc angoissée.

Parfois, en faisant ses devoirs, soudainement, elle sentait les personnages des images se déplacer. Ceci lui a fait penser qu'ils étaient peut-être des fantômes. Parfois, quand elle marchait dans la rue, elle avait la sensation que la rue en béton s'était effondrée, ce qui la terrifiait. « Chaque fois que cela se passait, mon esprit n'était pas clair. Les gens autour de moi me disaient ensuite que parfois je criais ou tapais des pieds involontairement en raison de la terreur. »

Une famille désespérée

Weijun se sentait démunie et avait peur, elle ne savait pas quand ni comment sa vie pourrait s'améliorer. « Je me sentais seule et je n'avais pas d'amis », se rappelle-t-elle, « je n'osais pas en parler aux autres, car ils pouvaient ne pas comprendre. En réalité, je n'osais pas rester avec les autres, parce que la panique les horrifierait aussi. » Toutefois, la panique se produisait six ou sept fois chaque jour, rendant sa vie effrayante chaque jour, car elle s'inquiétait que cela pourrait revenir à tout moment. « Dix-sept ans est l'âge d'or pour les autres adolescents. Pourquoi suis-je tellement particulière et dois-je souffrir ainsi ? » a-t-elle demandé à un conseiller à l'école. Le conseiller a fait un effort pour la consoler, mais il ne savait pas comment l'aider.

Une situation similaire est arrivée chez elle et chacun était inquiet. « Grand-mère était en pleurs à cause de moi. Mon frère ainé m'a dit d'arrêter d'être triste. Ma mère a continué à chercher un remède sans succès, pendant que mon père adorable ne pouvait que crier : ''Ne t'en fais pas - tu ne vas pas mourir !'' » se rappelle-t-elle. Ce n'était pas de la mort que Weijun avait peur, a-t-elle dit avec un sourire forcé : « J'ai même pensé que si je mourais, toute cette douleur prendrait fin. Donc, chaque jour, je comptais combien d'étages il y avait dans les bâtiments, me demandant de quel étage il serait mieux de sauter afin de pouvoir mourir instantanément au lieu de vivre avec des séquelles. »

Un autre examen à l'hôpital en début 2016 a montré qu'elle avait un nerf en surplus au cœur. Le médecin a dit : « Nous pouvons t'ouvrir et l'arranger. » Pendant que Weijun attendait l'intervention avec espoir, le médecin a annulé l'opération en disant : « Si nous faisons cela, vous pourriez mourir. » Les schémas de l'électrocardiogramme et de l'électroencéphalographie montrent qu'elle souffre d'épilepsie grave. Les médecins ont prescrit des médicaments et ils ont aidé un peu, mais les incidents de panique arrivaient encore de temps en temps.

« Dois-je vivre ainsi pour le reste de ma vie ? », a-t-elle demandé. Mais personne ne pouvait lui donner de réponse.

La lumière au bout du tunnel

Photo prise quand le père de Weijun a commencé à pratiquer le Falun Dafa. Weijun n'était pas encore pratiquante, elle souffrait souvent d'attaques de panique et pesait moins de 45 kilos.

Après un an de pratique du Falun Dafa, Weijun a obtenu son diplôme du lycée, et était heureuse et en bonne santé.

Un jour en mai 2016, Weijun ne se sentait pas bien et a de nouveau été hospitalisée. Le médecin lui a dit de rester plus longtemps parce que son épilepsie était très atypique. « Pendant ces journées passées à l'hôpital, mon père qui avait commencé à pratiquer le Falun Dafa m'a donné un livre de couleur dorée, le Zhuan Falun, et a dit : ''Essaie ceci, c'est ton unique espoir'' », se rappelle-t-elle.

Influencée par la science moderne qu'elle avait étudiée, Weijun n'était pas convaincue que le Falun Dafa pourrait résoudre ses problèmes et elle pensait toujours que les médicaments étaient la solution. Puis, en pensant au fait que dépendre de médicaments pour le reste de sa vie pourrait être tout un casse-tête, elle a jugé que lire le livre ne causerait aucun préjudice. « J'ai donc commencé à lire le livre et il m'a ouvert un monde tout nouveau », a-t-elle dit.

Après être retournée chez elle, elle a continué à lire le livre et a fait les cinq exercices avec son père. « Peu de temps plus tard, j'ai senti que ma situation s'améliorait. Un jour, pendant que je faisais la méditation assise, j'ai vraiment senti la rotation du Falun dans mon cerveau », a-t-elle dit. Par exaltation et par joie, elle a décidé d'arrêter de prendre des médicaments. Elle n'en a pas parlé à son père jusqu'à ce que, quelques jours plus tard, son état se soit bien amélioré. Son père était content de voir son avancement et il l'a encouragée à continuer à pratiquer le Falun Dafa.

Miracle et gratitude

Deux mois ont passé et la panique n'est plus revenue. Au contraire, Weijun était devenue plus ouverte d'esprit et plus joyeuse. Surprise par ses changements, sa mère lui a demandé ce qu'elle avait fait. Weijun lui a dit qu'elle avait arrêté de prendre des médicaments. Ceci a fait peur à sa mère : « Comment peux-tu faire cela ? » Mais elle et les autres membres de la famille ne pouvaient nier que l'état de santé de Weijun s'était amélioré.

Comme Weijun n'est pas retournée à l'hôpital pour un rendez-vous qui avait été fixé préalablement, le médecin a téléphoné à sa mère pour lui rappeler l'imagerie par résonance magnétique (RMI). La famille a expliqué au médecin ce qui s'était passé. Weijun a dit que Maître Li et le Falun Dafa lui avaient donné une deuxième vie et qu'elle voudrait aller plus tard chez le médecin afin de lui expliquer en détail ce qui s'était passé.

Récemment, Weijun a prêté un exemplaire du Zhuan Falun à une compagne de classe. « Ma copine de classe avait des problèmes de santé et je ne voulais pas la voir souffrir », a-t-elle dit. Pensant aux années de souffrance qu'elle avait endurées, Weijun a dit qu'elle a vraiment eu de la chance. « Rien ne pouvait mettre fin à mon cauchemar, à l'exception du Falun Dafa. En plus, le Falun Dafa m'a donné une vie de lumière et d'espoir. »

« Je suis très reconnaissante envers Maître Li pour tout cela », a-t-elle continué, « et j'espère que davantage de gens pourront être bénis comme moi. »

Une photo de Weijun et son père prise au moment de la Conférence de partage d'expériences du Falun Dafa 2017 à Taïwan

Traduit de l'anglais en Belgique