(Minghui.org) Dans notre groupe d'étude du Fa, il y a plusieurs jeunes pratiquants qui ne se réunissent pas souvent en raison de leur cursus scolaire. Nous les réunissions souvent durant les vacances d'été et d'hiver de manière à ce qu'ils puissent étudier le Fa et échanger ensemble.

Malgré leur jeunesse, nous pourrions apprendre des histoires de cultivation personnelle et de validation du Fa de nombre d’entre eux. J'aimerais en partager quelques-unes.

1. Une fille très timide s'oppose à la diffamation devant sa classe

Tong est née en 2002. Ses parents ont été persécutés pour leur pratique du Falun Gong et elle a beaucoup souffert depuis son enfance. Mais toutes ces tribulations n’ont pas semblé la marquer, mais plutôt ancrer profondément la divinité et la grandeur de Dafa dans son cœur.

La persécution a sérieusement grévé le budget de la famille de Tong. Elle porte souvent la même chemise pendant plusieurs jours sans en changer. Les filles autour d'elle ont souvent de nouveaux vêtements et les sujets de discussion tournent souvent autour des vêtements de marque et de la mode. Néanmoins, Tong ne s'est jamais sentie inférieure.

Une bonne amie de Tong lui a un jour demandé : « Pourquoi portes-tu souvent la même chemise ? »

Elle a répondu : « Tant que ma chemise est propre, je ne ressens pas le besoin d’en changer souvent. »

Lorsqu'elle a raconté l’incident à sa mère, celle-ci lui a demandé si elle se sentait mal. Elle a répondu : « Bouddha Sakyamuni était un prince et il a abandonné toute sa richesse et son statut pour devenir un moine et souffrir. Ce que je vis aujourd'hui n'est rien comparé à cela. »

Un jour au collège, un de ses professeurs a décidé d’aborder le sujet des « sectes ». Le cœur de Tong s’est mis à battre la chamade en pensant que le professeur aller diffamer le Falun Dafa.

Comme elle s’y attendait, c’est ce que son professeur a fait.

Tong s’est aussitôt levée et a interrompu son professeur. « Ça n’a rien à voir avec ce que vous dîtes. » En articulant avec difficulté chaque mot, Tong a parlé de sa compréhension et de l'auto-immolation sur la Place Tiananmen. Son visage était empourpré durant toute la discussion.

Elle a dit : « Je n’ai pas eu le temps de réfléchir. Cela m’a fait mal dès que j'ai entendu les mots qui diffamaient Dafa. » Elle aurait voulu expliquer les choses de façon plus approfondie, mais elle a senti que certains élèves étaient touchés par ce qu'elle a dit.

2. Nous ne devrions pas faire partie de la propagande

Xin a 16 ans et il est devenu pratiquant en 2015. Ses deux parents sont pratiquants. Il suit diligemment les principes du Fa, au point que nombre de pratiquants confirmés étaient impressionnés.

Le travail scolaire est astreignant mais Xin a toujours eu de bons résultats. S’il avait du temps libre, il venait nous rejoindre pour l’étude du Fa. Il perd rarement son temps à jouer aux jeux vidéo ou à naviguer sur Internet comme les autres enfants.

Lorsque des conflits surgissent entre lui et ses camarades de classe, il se conduit sur la base du Fa :

« Un pratiquant doit parvenir à ne pas rendre les coups quand on le frappe. » (Zhuan Falun)

Peu après que Xin soit devenu pratiquant, une dispute a éclaté entre lui et un de ses camarades. Ce dernier a dit quelque chose de très blessant et Xin était sur le point de riposter.

Tout à coup, son esprit s’est vidé et les mots du Maître sont apparus :

« Quand nous rencontrons ces problèmes, nous ne devons pas nous livrer aux rivalités et aux disputes comme les autres. S’il agit ainsi et que vous agissez de même, n’êtes-vous pas aussi une personne ordinaire ? » (Zhuan Falun)

Xin s’est calmé et s’est excusé. Ils sont vite redevenus amis.

Xin lisait souvent des documents de clarification de la vérité et en savait beaucoup sur le Parti communiste chinois (PCC). Lorsqu’il était en classe de 5ème, son école a organisé un concours de chant pour faire l’éloge du PCC. Non seulement cela, mais Xin a été choisi pour être le chanteur principal de sa classe. Il était profondément réticent et s’inquiétait. Il a fréquemment émis la pensée droite pendant cette période.

Un jour, une réflexion s’est amorcée parmi les chanteurs principaux sur le fait que la chanson choisie était démodée. Saisissant l’opportunité Xin a proposé : « Chantons quelque chose d’autre qu’une chanson qui loue le Parti »

Ils sont allés trouver le professeur et, à sa grande surprise, ce dernier a accepté. Xin en a conclu : « Notre pensée doit être droite concernant ces choses-là. Nous ne devons pas devenir les porte-paroles du PCC. »

3. Refuser fermement de rejoindre la Ligue de la jeunesse communiste

Les parents de Dongfang sont tous les deux pratiquants. Il cultive depuis qu’il est tout jeune et il est à présent étudiant universitaire. Il s’assied toujours en position du lotus en tenant le livre dans ses deux mains lorsqu’il étudie le Fa.

Lorsqu’il était au collège, son professeur a demandé à toute la classe de rejoindre la Ligue de la jeunesse communiste. Dongfang a dit à son professeur qu’il ne voulait pas. Le professeur lui a expliqué que c’était un règlement de l’école.

Dongfang n’a pas cédé. « Je devrais avoir le choix de la rejoindre ou pas », a-t-il dit. « Je ne veux pas. »

Son professeur s’est impatienté. « Ce n’est pas toi qui décide. Tout le monde l'a rejoint. Va t’en maintenant. »

Dongfang n’avait aucune intention de partir. Il a dévisagé son professeur et a articulé clairement : « Je ne veux simplement pas m’y joindre. »

Son professeur était stupéfait par son attitude. Un autre professeur qui se trouvait à côté est venu à son secours et a dit : « Si cet élève ne veut pas la rejoindre, alors qu’il en soit ainsi. Il doit avoir ses raisons. Ne le forçons pas à le faire. »

Dongfang a été le seul élève de sa classe à ne pas être devenu membre de la Ligue.

4. Suivre sa tante

Hui a eu 18 ans cette année, elle est belle et élégante. Dans cette société moralement dégénérée, les étudiants universitaires ne sont plus aussi purs qu’auparavant. Cependant, Hui se comportait selon les critères du Fa et ne se laissait pas emporter par le courant.

La tante de Hui est pratiquante. Depuis qu’elle est petite, Hui a suivi sa tante et a constamment étudié le Fa avec elle. Lorsqu’on lui demandait si la société moderne avait un impact négatif sur elle, elle répondait qu'elle ne pensait pas.

« D'aussi loin que je me souvienne, j’ai étudié Dafa. Les principes du Fa sont profondément ancrés en moi. Aucune tentation de cette société ne m’intéresse. » C’était plus facile à dire qu’à faire. Sans la fondation solide du Fa dans le cœur, il est très difficile pour quiconque d’en faire autant.

Lorsque Hui avait environ cinq ans, sa tante était prête à quitter la maison, mais Hui a couru derrière elle. Alors que la mère de Hui voulait l’arrêter, Hui lui a dit : « Je n’étais pas supposée naître dans votre famille. Je suis ma tante. »

Un grand nombre de jeunes pratiquants sont capables de bien faire et de valider le Fa dans le monde ordinaire grâce à des années d’étude constante du Fa et d’assimilation au Fa.

Il y a aussi de jeunes pratiquants qui ont peu à peu dévié du Fa en grandissant et qui se sont perdus dans ce monde. Beaucoup sont devenus moralement corrompus.

J’espère que les pratiquants chevronnés prêteront plus d’attention aux jeunes pratiquants autour d’eux et qu’ils les encourageront à étudier davantage le Fa et à bien avancer sur leur chemin de cultivation.

Traduit de l'anglais en Europe

Version anglais :

Verision chinoise :