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Un jeune pratiquant devient inébranlable grâce à l'étude du Fa

18 janvier 2019 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa de la province du Hebei, Chine

(Minghui.org) Il y a quatre ans, ma mère a été enlevée par la police en raison de sa croyance dans le Falun Dafa et elle est finalement rentrée à la maison. Elle a été surprise de voir à quel point j'avais grandi et a été encore plus surprise que je pratique encore. Malgré les innombrables défis, ma mère est restée inébranlable dans sa croyance dans le Falun Dafa. Je suis si reconnaissant d'avoir enfin une autre pratiquante avec qui partager mes expériences !

Échapper deux fois à la mort

Ma mère a commencé à pratiquer en 1998. Je suis né en 2000. Elle m'emmenait toujours quand elle allait distribuer des documents clarifiant la vérité. Sur le chemin du retour, elle récitait Hong Yin du Maître, et j'ai appris les versets en l'écoutant.

Quand j'ai commencé l'école primaire, j'étais dépendant de l'ordinateur et j'étais souvent réticent à étudier le Fa ou à faire les exercices malgré les rappels de ma mère.

Bien que je ne me souvienne pas beaucoup de mon enfance, je savais que le Maître veillait toujours sur moi et me protégeait. Deux expériences sont encore fraîches dans ma mémoire.

Quand j'avais 7 ou 8 ans, mon frère aîné m'a emmené jouer dehors. Il m'a donné de la gomme à mâcher de la taille d'un ongle. Je l'ai mis dans ma bouche et, avant de pouvoir la mâcher, elle a glissé dans ma gorge et est restée coincée. Je n'arrivais pas à respirer ni à la déloger.

Je me suis soudain souvenu des paroles de ma mère : « Si tu es en danger, dis Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon, et le Maître te protégera. » C'est exactement ce que j'ai fait. Quand j'étais sur le point de m'évanouir de suffocation, le morceau de gomme à mâcher a glissé de ma gorge. C'était mon premier test de vie ou de mort.

Un autre test a eu lieu il y a deux ans. Il y a une route à côté de mon école et, comme il y a peu de circulation, ce n'est pas très dangereux. Ce jour-là, j'ai traversé la route à pied, la tête baissée, en direction du bus scolaire. Soudain, j'ai senti une tape sur les épaules et, au moment où je levais les yeux, un gigantesque camion est passé devant moi. J'ai regardé autour de moi, mais j'étais seul. J'ai réalisé que le Maître m'avait sauvé en me prévenant du danger. J'étais extrêmement reconnaissant.

Quatre ans de paresse

Quand j'étais en sixième année, des policiers ont fait irruption dans notre maison et ont fouillé l'endroit comme s'ils étaient des voleurs. C'était le jour le plus effrayant de ma vie. Ils nous ont emmenés, ma mère et moi, au poste de police. Mon père n'est pas un pratiquant. Il a divorcé de ma mère et a fondé une nouvelle famille. La police l'a appelé pour venir me chercher. J'ai donc perdu mon environnement de cultivation et pratique.

Ma mère étant partie, plus personne ne me rappelait de pratiquer. Je me balançais comme un cerf-volant sans fil, et j'ai succombé aux influences corrompues de la société d'aujourd'hui. Mes camarades de classe juraient et fumaient, se battaient et complotaient les uns contre les autres, jouaient à des jeux vidéo et séchaient les cours. Quand je suis allé au collège, ça a empiré.

Pourtant, je n'ai jamais pensé à abandonner Dafa. Bien que j'aie joué et lu des fictions sur Internet, j'ai tout de même essayé de maintenir ma routine d'étude du Fa. Un pratiquant m'a donné les écrits récents du Maître et un logiciel pour briser la censure d'Internet. J'ai pu accéder à Minghui.org, lire les dernières conférences du Maître et entrer en contact avec des pratiquants du monde entier ! À ce moment-là, je savais que le Maître prenait encore soin de moi. Je suis devenu plus déterminé à cultiver et pratiquer et, à partir de ce moment, je n'ai plus sauté une seule journée d'étude du Fa.

Avec l'aide du Maître, j'ai réussi à garder les pieds sur terre malgré mon environnement, et j'ai cultivé et pratiqué avec diligence pendant quatre ans sans pouvoir parler à d'autres pratiquants.

Étudier le Fa diligemment

Mes années de lycée étaient pleines de leçons et les temps libres étaient rares. Je devais me lever à 5 h 30 tous les jours pour étudier avant les cours et je finissais d'étudier seulement vers 21 h 30. Au début, je n'étudiais qu'une partie d'une leçon du Zhuan Falun avant de déclarer que j'avais fini pour la journée.

Durant ces journées, j'ai souvent pensé à réduire mon temps d'étude du Fa. Je me suis rendu compte que ces pensées essayaient de m'empêcher de m'élever, alors j'ai augmenté mon temps d'étude du Fa d'une leçon partielle à deux ou trois leçons par jour.

J'étudiais le Fa à l'heure du déjeuner et du coucher. Bientôt, le besoin de manger et de dormir m'empêchait d'étudier le Fa, et j'ai commencé à leur donner la priorité sur l'étude du Fa.

Heureusement, j'ai remarqué mon problème : en tant que pratiquant de Dafa, la tâche la plus importante est d'étudier le Fa. Comment puis-je placer d'autres choses en premier ? N'est-ce pas un état d'esprit humain ? Si je n'avais pas le temps de manger au déjeuner, je pouvais manger du pain avant le cours. Après avoir ajusté mon état d'esprit, j'ai remarqué une amélioration immédiate de mon état de cultivation et pratique. J'étais léthargique pendant les cours, même quand je faisais la sieste l'après-midi. Pourtant, lorsque j'ai maintenu mon étude du Fa, même si je passais moins de temps à dormir, je me sentais plus éveillé pendant les cours.

Le Maître a dit :

« C’est parce que vous êtes un pratiquant : une personne sur le chemin de la divinité et hors du contrôle des facteurs des gens ordinaires ou des principes de Loi de bas niveau. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à la ville de Los Angeles »)

Grâce à l'enseignement du Maître, j'ai compris que le besoin humain de dormir n'affecte pas les pratiquants.

J'ai surmonté cet obstacle en changeant mon état d'esprit. Maintenant, à l'heure du déjeuner, je peux étudier une leçon du Zhuan Falun, quelques articles de Points essentiels pour avancer avec diligence, et une section d'Enseignement de Fa dans les conférences ou d'écrits récents. Le soir, j'écoute les enregistrements des conférences du Fa du Maître ou des enregistrements d'articles de partage d'expériences sur les podcasts de la Radio Minghui jusqu'à 22 h 30, quand je vais me coucher. J'étudie deux leçons du Zhuan Falun chaque jour le week-end. De cette façon, je peux étudier tout le Zhuan Falun en une semaine.

Au collège, mes notes ont souffert et je me suis classé au 600e rang de mon école, parce que je n'étudiais pas régulièrement le Fa et que j'étais dépendant des jeux. Plus j'étudiais le Fa diligemment, plus je voyais clairement la perversité des jeux électroniques, alors c'est au lycée que j'ai arrêté de jouer. Mes notes se sont améliorées graduellement et je me suis classé parmi les 5 meilleurs chaque année. Cependant, chaque fois que je commençais à m'attacher à mon classement, mes notes diminuaient. Chaque fois que j'abandonnais l'attachement, mes notes s'amélioraient. Je sais que le Maître s'en sert pour me rappeler que je suis un pratiquant.

Les jeux sur Internet détruisent les gens

Le Maître a dit :

« L’homme est juste comme un récipient, qui est tout comme ce dont il est rempli. » (« Se fondre à la Loi », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Le jeu m'a fait beaucoup de mal. La plupart de mes attachements actuels et de mes comportements inappropriés proviennent de jeux et de fictions sur Internet. Les images interféraient avec ma pensée droite et m'empêchaient de ne faire qu'un avec Dafa. Il y a beaucoup de choses négatives dans les jeux et les fictions sur Internet — ils laissent les joueurs et les lecteurs s'adonner à leur nature démoniaque, et cela détruit leur nature de Bouddha. En jouant, on peut tuer des gens sans conséquence. Plus le jeu est réaliste, plus il devient démoniaque. Les joueurs se prélassent dans la gloire de leurs exploits. Ce qu'ils ne réalisent pas, c'est qu'ils ont abandonné leur conscience principale aux démons. C'est très semblable à l'état d'inconscience d'un toxicomane.

Un jour, la police est venue chez nous pour faire une descente illégale. Poussé par de mauvaises pensées, j'ai couru à la cuisine et j'ai attrapé un hachoir à viande. Sans ma mère, j'aurais pu tuer quelqu'un. Ces pensées négatives de faire du mal aux gens sont en totale opposition avec les principes de Dafa. Si j'avais fait du mal à quelqu'un, j'aurais fait du tort à l'image de Dafa.

Le Maître a dit :

« Tuer n’engendre pas seulement un lourd karma, mais soulève en même temps la question de la compassion. En tant que pratiquants, ne devrions-nous pas avoir un cœur de compassion ? » (Septième Leçon, Zhuan Falun)

Sans aucune compassion, j'ai tué tant de gens dans les jeux auxquels j'ai joué. Comment un pratiquant peut-il faire ça ? Le Maître a purifié mon corps et mon esprit, mais je n'arrêtais pas de les remplir de choses sales. Je ne peux plus jouer à des jeux. La dépendance est vivante — elle savait que j'essayais de m'en débarrasser et elle a tout essayé pour m'attirer. Après avoir réalisé à quel point le jeu était nuisible, j'ai rapidement désintégré la dépendance.

En avant !

Quand Dafa est devenu le centre de ma vie, chaque jour j'avais l'impression d'avoir un but. Je connais la raison de mon existence et l'avenir des peuples du monde.

Beaucoup de jeunes pratiquants ont peut-être vécu des expériences similaires — ils se sont éloignés du chemin de Dafa et se sont empêtrés dans les tentations de la société. Dafa est si précieux : il nous a fallu d'innombrables vies, une attente interminable et des arrangements méticuleux du Maître pour obtenir le Fa. Ne manquez pas cette précieuse occasion ! J'espère utiliser mon expérience pour encourager les anciens pratiquants à revenir à Dafa et à cultiver et pratiquer avec diligence.

Traduit de l'anglais au Canada