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Ma famille est heureuse et bénie par le Falun Dafa

23 janvier 2019 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Heilongjiang, Chine

(Minghui.org) Avant que je ne commence à pratiquer le Falun Dafa en 1998, j'avais mauvais caractère et je m'énervais souvent. J'étais jeune mariée et je me disputais constamment avec ma belle-mère. Depuis l'enfance, j'étais faible et chétive. Ma santé a commencé à se détériorer cette année-là et ma mère est venue me voir. Elle m'a amené un exemplaire du livre Zhuan Falun. Elle m'a dit qu'une amie le lui avait donné, mais qu'elle n'avait pas le temps de le lire.

Dès que j'ai commencé à lire le Zhuan Falun, je ne voulais plus le poser. J'ai soudainement compris beaucoup de choses auxquelles je ne trouvais pas de réponses. J'ai senti que mon cœur s'était ouvert. Après avoir commencé la cultivation, ma vie a changé pour le mieux.

Je suis une enseignante privée, j'enseigne l'anglais. Mon premier élève habitait dans mon quartier. Après lui avoir donné plusieurs cours, ses notes se sont considérablement améliorées. Les gens se sont passé le mot et rapidement, beaucoup de mes voisins m'ont envoyé leurs enfants. C'est comme cela que j'ai commencé à donner des cours.

Parce que je pratique le Falun Dafa, je prends sincèrement soin des mes élèves. Quand un nouvel élève arrivait, je pouvais immédiatement dire pourquoi il avait de mauvais résultats à l'école et je trouvais des moyens pour l'aider. Les enfants auxquels j'enseignais n'ont pas seulement considérablement amélioré leurs notes, ils sont aussi devenus moins grincheux chez eux, ce qui rendait leurs parents heureux. Je sais que cela se produit parce que je pratique le Falun Dafa, les enfants en bénéficient aussi.

J'avais de plus en plus d'élèves. Je les faisais seulement payer cinquante dollars alors que d'autres font payer deux cents dollars seulement pour enseigner les symboles phonétiques. Je ne demandais pas beaucoup pour les cours car je savais que leurs parents ne gagnaient pas beaucoup d'argent. Bien que ma situation financière n'était pas au mieux, le Falun Dafa m'enseignait de toujours considérer les autres. Alors je prenais en compte les situations de mes élèves.

Mon mari protège les livres de Dafa

En 1999 et 2000, je me suis rendue trois fois à Pékin pour clarifier la vérité et j'ai été arrêtée. Mon mari supportait une pression considérable, pourtant il venait toujours me voir au centre de détention et au camp de travail. Les gens du Bureau 610 lui ont dit qu'il ferait mieux de demander le divorce, mais il a dit : « Je ne veux pas divorcer simplement à cause de sa croyance, particulièrement maintenant, alors qu'elle souffre. » Les policiers lui ont demandé qu'il leur remette mes livres de Dafa. Il avait emmené mes livres chez un proche et alors il a dit : « Nous n'avons aucun livre. »

Après avoir été remise en liberté en 2001, j'ai ramené mes livres de Dafa à la maison. Je les lisais tous les jours et je les laissais simplement sur la table. Mon mari les rangeait toujours pour moi. Il disait : « Nous devons protéger les livres de Dafa. » J'étais vraiment touchée par sa prévenance.

Quand nous sommes allés voir mon oncle, il était stupéfait en voyant les cheveux noirs de mon mari et a demandé : « Tu t'es teint les cheveux ? » S'il n'avait pas posé la question, je n'aurais pas remarqué. Je pense qu'il a été béni parce qu'il a protégé les livres de Dafa.

Nos souhaits deviennent réalité

Au début, quand on nous a demandé d'émettre la pensée droite, c'était difficile pour moi de participer à celle de 6 h parce que c'était l'heure du petit déjeuner et que tout le monde se préparait pour la journée. Un jour mon mari a dit qu'il voulait changer de travail, et que si son souhait devenait réalité, il se chargerait du petit déjeuner pour que je puisse émettre la pensée droite. Peu de temps après qu'il a dit cela, il a trouvé un autre travail.

En 2007, mon fils a commencé a étudier à l'université dans une autre région. Mon mari a loué une maison là-bas et m'a demandé d'y aller et de m'occuper de notre fils. Plus tard, je me suis rendu compte qu'il ne voulait pas que je me fasse arrêter, car la police venait régulièrement chez nous pour me surveiller.

Je suis restée avec notre fils pendant cinq ans. Afin d’économiser de l'argent, mon mari dormait sur un canapé à son lieu de travail. Il devait supporter le bruit du train. Chaque week-end, il venait nous voir. Rapidement, il a changé de travail parce qu'il ne voulait pas travailler de nuit. Peu de temps après, il a de nouveau changé d'emploi. Il recevait le même salaire mais il avait plus de temps libre et ne travaillait pas les week-ends.

Avant qu'il ne trouve son emploi actuel, le propriétaire avait dit qu'un des ouvriers devaient avoir cinquante dollars déduit de son salaire mensuel. Puisque mon mari ne se défend habituellement pas, il a été choisi. Mon mari voulait argumenter avec son chef, mais je lui ai dit que s'il suivait le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, il en bénéficierait. Je lui ai aussi dit que l'argent qui nous appartient ne pourra pas être pris. Mon mari a suivi mon conseil et n'a rien dit.

Un an plus tard, le chef de mon mari lui a demandé : « Tu ne me détestes pas ? » Mon mari savait de quoi il parlait et lui a répondu : « Je regarde le problème d'un point de vue plus élevé. J'ai compris que tu ne faisais que ton travail. Si tu ne déduisais pas cet argent de mon salaire, de qui le déduirais-tu ? C'est seulement cinquante dollars. » Le chef était impressionné et a arrêté de lui déduire cette somme.

En 2016, mon mari a encore changé de travail et il avait deux emplois. Pour l'un, il travaillait dans la vente et pour l'autre, il travaillait aux chemins de fer. Je disais : « Tant que tu fais les choses avec droiture, tu auras de bonnes choses. » Il ne gagnait pas moins d'argent qu'avant.

Quand mon mari à commencé à vendre des fertilisants, il louait des voitures à des pratiquants et embauchait seulement des pratiquants pour travailler dans son magasin. Il disait : « Je ne fais confiance qu'aux pratiquants de Falun Dafa. C'est génial d'être avec eux. » Il clarifiait aussi la vérité quand il en avait l'opportunité.

Mon fils défend Dafa

Mon fils avait seulement six ans quand j'ai commencé à pratiquer. D'habitude, il écoutait en jouant quand je lisais le Fa. Quand la persécution du Falun Dafa a été lancée en 1999, j'ai décidé d'aller à Pékin et il m'a offert son argent de poche. Plus tard, quand j'étais détenue illégalement, il a dit qu'il pleurait en silence la nuit, parce qu'il ne voulait pas que son père ou sa grand-mère sache qu'il avait peur et que je lui manquais.

Quand son professeur a répété la propagande du Parti communiste sur les auto-immolations et a calomnié Dafa, il a clarifié la vérité à sa classe. Il leur a dit que les auto-immolations avaient été orchestrées et a expliqué les détails. Le professeur n'avait rien a dire.

Lorsque mon fils est entré au collège, sa professeure voulait qu'il s'inscrive à la Ligue de la Jeunesse communiste. Il a refusé et a dit : « Ma mère s'y opposera. » Quand la professeure m'a appelée, je lui ai dit que je n'approuvais pas. Plus tard, je suis allée chez cette enseignante pour lui clarifier la vérité. J'ai rencontré ses parents, je leur ai clarifié la vérité et je les ai aidés à démissionner du Parti communiste.

Quand mon fils est entré au lycée, son professeur voulait récolter les redevances pour la Ligue de la Jeunesse communiste. Mon fils a dit que comme il n'était pas inscrit, il ne payerait pas. Le professeur a dit : « Je t'inscris maintenant. » Mon fils a dit : « Mais je ne veux pas m'inscrire. »

Aujourd'hui, mon fils travaille dans la vente pour une entreprise de fertilisants qui lui fournit une voiture qui vaut plus de cinquante mille dollars. Beaucoup de gens nous envient. Merci Maître pour avoir béni ma famille !

Traduit de l'anglais en France