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Avec une foi inébranlable dans le Maître, les symptômes de la malaria disparaissent en 12 h

29 janvier 2019 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) L'incident que je veux partager est survenu en 2013. Je venais juste de sortir de prison. Le Parti communiste chinois (PCC) m'avait illégalement condamné pour ma pratique du Falun Dafa. Je suis allé travailler au Nigeria et je pensais diffuser Dafa là-bas.

J'étudiais le Fa et faisais les exercices pendant mon temps libre. Je faisais aussi des brochures en anglais et je les distribuais.

La malaria est très répandue au Nigeria. Tous les Chinois qui vont là-bas prennent avec eux un médicament contre la maladie. Ce médicament est très efficace.

En juin, j'ai développé les symptômes de la malaria. Je ressentais des malaises, des nausées et j'étais faible. J'avais tellement mal que je me tordais de douleur dans mon lit. Mes collègues sont venus me voir et m'ont demandé de prendre le médicament.

Je leur ai dit : « Je suis un pratiquant de Falun Dafa, je n’attrape pas de maladie. S'il vous plait, ne vous inquiétez pas. Ces symptômes ne sont pas réels. C'est une tribulation sur mon chemin de cultivation. Ça va passer, je vous l'assure. »

Ils ont dit à mon patron que je ne voulais pas prendre le médicament. Même lui est venu pour essayer de me persuader de le prendre. Cependant, je lui ai dit que mon Maître a dit qu'un véritable pratiquant ne tombe pas malade, que c'était un test sur mon chemin de cultivation. Mon patron ne pouvait rien faire et il est parti.

J'ai vraiment souffert. Cependant, malgré la douleur, je ne doutais pas du Maître ou de Dafa. J'ai même supplié le Maître de m'aider. J'espérais que la douleur diminue, mais ça n'a pas été le cas. En fait, le moment le plus difficile est aussi le plus crucial. Quand j'ai atteint le point de rupture, dans mon cœur j'ai dit au Maître : « Maître, il n'y a pas de problème si je meurs, mais je ne veux pas que ma mort empêche des êtres d'obtenir le Fa. »

J'ai vraiment abandonné mon attachement à la vie et à la peur de la mort. J'ai donné ma vie au Maître. Je croyais dans le Maître. À environ 19 h, la douleur s'est calmée. Une demi-heure plus tard, j'allais bien. L'intégralité de l'incident avait duré moins de douze heures.

J'ai appelé mon patron pour lui dire que j'allais bien. Il m'a dit qu'il avait déjà planifié que quelqu'un vienne me forcer à prendre le médicament si je n'étais pas rétabli à 20 h.

Après cet incident, je n'ai plus eu de karma de maladie pendant mes quatre années en Afrique.

Je me suis éveillé au fait que, quand nous sommes au milieu d'une tribulation, notre façon de penser est cruciale. Suis-je soucieux de me remettre de la maladie ? Suis-je soucieux que le fait d'être malade empêche les êtres d'obtenir le Fa ? Suis-je soucieux que cela aille un effet négatif sur Dafa ? Être altruiste est crucial pour passer la tribulation.

Je me suis aussi éveillé au fait que, quand nous faisons l'expérience d'un grave karma de maladie ou d'autres tribulations, elles sont causées par nos propres conceptions opiniâtres ou à nos attachements. Cela veut dire que nous devons plus étudier le Fa, cultiver vers l'intérieur, partager honnêtement avec nos compagnons de cultivation, et trouver nos attachements et les dissoudre. La clé est de s'élever.