(Minghui.org) J'ai été arrêté en juillet 2018 et emmené dans un centre de détention après avoir été signalé par quelqu'un au motif que je parlais aux gens de la persécution continuelle du Falun Dafa perpétrée par le régime communiste chinois depuis 1999.

Pendant que j'étais en détention, je me suis toujours rappelé de garder une pensée droite et d'agir avec droiture. J'ai agi envers tous les agents de police et les détenus avec compassion et leur ai expliqué pourquoi la persécution est injustifiée et qu'elle n'avait pas de base légale.

Trente jours plus tard, on m'a libéré sous caution et la police n'est plus jamais revenue me harceler.

Fin mai 2019, l'agent en charge de mon dossier m'a dit d'aller au poste de police local pour répondre à quelques questions simples. Il a dit : « Vous avez été libéré sous caution il y a presque un an maintenant. Selon notre procédure, nous pouvons soit rejeter votre cas soit le soumettre au parquet. »

J'ai pensé : « Je ne peux pas les autoriser à soumettre mon cas au parquet et je n'approuverai jamais les arrangements des forces anciennes. »

J'ai réalisé aussi que je devrais expliquer davantage les faits à la police et aux autres départements affiliés. Un autre pratiquant m'a encouragé à le faire.

Je suis allé deux fois au poste de police et j'ai parlé aux deux chefs de la police. Tous les deux ont accepté mes lettres dans lesquelles j'expliquais comment j'ai bénéficié de la pratique du Falun Dafa et comment je vis selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

J'ai aussi écrit que le Falun Dafa a été présenté et est célébré dans plus de 80 pays et que beaucoup d'auteurs de la persécution sont poursuivis pour ce qu'ils ont fait. J'ai exhorté la police à ne pas participer à la persécution car « on récolte ce qu'on sème ».

Les chefs de la police m'ont dit que les décisions concernant la détention et la caution étaient du ressort du département de police et qu'il n'était pas facile de trouver ces agents responsables ou de leur parler directement.

Je n'ai pas abandonné. La troisième fois que je suis allé au poste de police, j'ai demandé à un agent de m'aider à distribuer mes lettres à ses collègues du département.

Il a regardé mes deux enveloppes épaisses et les a prises. J'y avais inséré des informations sur comment la persécution violait la loi.

En lisant mes lettres, les agents ont été surpris d'apprendre qu'en Chine, pratiquer le Falun Dafa est totalement légal. Les agents les ont gardées pour référence ultérieure.

J'ai continué à informer les gens et je suis resté diligent dans mon étude du Fa et l'émission de la pensée droite.

En août, l'agent responsable de mon dossier a appelé et m'a demandé de venir le voir. Il m'a tendu un document et a dit : « Votre dossier est clos. Maintenant, vous êtes libre. » Il m'a dit au revoir avec un sourire.

Je savais qu'ils avaient tout à fait compris que le Falun Dafa est bon et que les pratiquants de Falun Dafa sont de bonnes personnes.

Le Maître a dit :

« La pensée droite indestructible envers la vérité de l'univers forme le corps de diamant solide comme le roc des bienveillants disciples de Dafa, qui effraie toute perversité, la lumière de la vérité qu'elle émane fait se désagréger chez toutes les vies les facteurs conduisant à une pensée qui n'est pas droite. Autant de puissance de la pensée droite, autant de force majestueuse. Les disciples de Dafa sont en train de sortir réellement de l'homme ordinaire. » (« Également en deux mots », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Merci, Maître ; merci, compagnons de cultivation ; merci, ma famille et mes amis ; et merci aussi aux agents de police qui m'ont aidé.

Traduit de l'anglais