(Minghui.org) Bonjour, vénérable Maître et compagnons de cultivation.

J’ai 25 ans. L’une des choses qui pèsent lourd sur moi, alors que j’écris ce partage, est de savoir que je n’ai pas été diligente sur mon chemin de cultivation, que je n’ai pas fait de l’étude du Fa une priorité, et que je n’ai pas fait bon usage de mon temps. Cependant, rédiger ce partage est pour moi encore une opportunité de révéler mes attachements et d’avancer dans ma cultivation. J’espère pouvoir faire mieux à partir de maintenant et je remercie le Maître pour cette opportunité qu’il me donne.

Obtenir le Fa

J’ai rencontré Dafa alors que j’étais en dernière année à l’école secondaire. Je pensais à rentrer à l’université, et même si j’avais déjà choisi ma carrière, je n’étais pas au clair concernant mon futur. Je ressentais beaucoup d’angoisse et de peur, je n’étais pas satisfaite de la vie elle-même. Je ne trouvais pas ma place dans le grand groupe d’élèves. J’avais un groupe d’amis plus petit avec qui j’essayais de faire des choses, comme aller danser et boire, mais j’avais l’impression que ces choses étaient pour la plupart stupides et superficielles. Les choses que les personnes ordinaires faisaient me semblaient souvent absurdes, et je me demandais quel était le sens de la vie. Je croyais que rien ne pourrait combler le vide que je ressentais dans mon cœur jusqu’à ce que je rencontre Dafa. J’ai enfin pu comprendre le sens de la vie.

J’étais insatisfaite de la vie, à moitié dépressive, arrogante et envieuse à cette époque. J’ai consulté un médecin de médecine chinoise argentin en qui j’avais confiance, et qui traitait mes douleurs. Il m’a donné un dépliant et m’a recommandé de pratiquer Dafa.

Avant de pratiquer Dafa, je me considérais comme une athée. Je sentais qu’il n’y avait aucune réponse à trouver dans les religions. J’ai décidé que rien n’existait. Ainsi, je ne comprenais pas le but d’une telle vie, car rien n’avait de sens. À l’école secondaire, il y avait de nombreux professeurs qui m’ont présenté des idées communistes. Comme je ne trouvais pas de réponses dans les religions, et que j’avais une vue assez pessimiste de la vie, j’étais attirée par cette idée qu’il existait un « monde meilleur » pour lequel se battre.

Maintenant, je comprends que les mentalités athées et communistes sont de grands obstacles pour que les gens obtiennent le Fa et soient sauvés. C’est la façon du démon de détruire les gens. Et moi, en tant que personne ordinaire, j’étais dominée par ces idées. Cependant, j’ai eu assez de chance pour trouver Dafa et connaître la vérité.

Lorsque je suis entrée dans Dafa, je ne cultivais pas réellement. Les premiers mois, je faisais juste les exercices. Je me suis ainsi remise de nombreux problèmes physiques comme des maux d’estomac, des maux de dos ou l’insomnie. Je pensais que je faisais bien.

Je me suis rendu compte qu’il y avait aussi un livre appelé Zhuan Falun, mais je n’étais pas vraiment intéressée à le lire. J’avais beaucoup de choses à faire avec la faculté, mes amis, le théâtre, etc. J’avais le livre Zhuan Falun, mais chaque fois que je le prenais, je me sentais somnolente et après avoir lu quelques paragraphes, je m’endormais. Il y avait une force qui m’empêchait de le lire. Cette situation a duré plusieurs mois, jusqu’à ce qu’un jour je me dise que je devais finir le Zhuan Falun.

Lorsque j’ai eu fini de lire le livre en entier une première fois, je me suis mise à pleurer. J’étais vraiment bouleversée et j’ai eu l’impression qu’un cadenas dans ma tête s’était ouvert. Alors, je me suis dit à moi-même : « Je souhaite vraiment en savoir plus », j’ai donc commencé à lire le Zhuan Falun une deuxième fois. Alors que les vacances débutaient, j’ai aussi commencé à lire des conférences de Dafa. J’avais l’impression que toute ma vie était chamboulée. Tout ce sur quoi j’avais basé ma vie est tombé dans le néant. Je sentais mon « ancien monde » s’écrouler. Je savais que j’avais obtenu l’ultime vérité, le Fa de l’Univers.

J’ai commencé mes cours d’anthropologie, ce qui, je pensais, était ce que je voulais faire. J’ai commencé à ressentir de nombreuses contradictions en moi-même, car je savais que j’avais obtenu le Fa. Tout ce que j’étudiais était faux, car c’était la connaissance humaine. C’était entièrement inutile, et même les théories étaient fausses. Je ne savais plus quoi faire.

Le Maître a dit :

« Les célébrités, les savants et les experts des différents domaines de la société humaine, l'homme les trouve très grands, en réalité, ils sont tous très insignifiants, car ils sont des gens ordinaires. Leurs connaissances ne sont que le peu de choses connues de la science moderne de la société des gens ordinaires. Dans l'immense Univers, des plans les plus macroscopiques aux plus microscopiques, la société de l’humanité se trouve juste à l’endroit le plus central, le plus extérieur et le plus superficiel. » (« Ce qu’est la sagesse », Points essentiels pour avancer avec diligence)

J’ai toujours été une personne studieuse et j’allais toujours chercher des réponses dans les livres. Je pensais que les livres étaient un refuge vis-à-vis du monde dans lequel je ne souhaitais pas vivre. Ayant commencé à me sentir déprimée à l’université alors que j’allais en cours, je ne pouvais pas me faire des amis facilement, car je trouvais que leurs sujets de conversations étaient ennuyeux et vides de sens.

Puisque je venais de commencer la pratique, je ne rencontrais pas de pratiquants, je me sentais donc seule et perdue. Je savais que je voulais cultiver, mais il y avait une contradiction entre le monde réel et Dafa – c’était deux choses totalement différentes. Je ne savais pas ce que je devais faire, j’ai donc quitté l’université. À ce moment-là, j’ai ressenti une joie indescriptible.

Se débarrasser des attachements de sentimentalité et de luxure en cultivant

Avant que je ne commence à pratiquer, je comprenais que les gens se mariaient par amour. Maintenant en tant que pratiquante, j’ai compris que la signification est d’un autre niveau.

Lorsque j’ai commencé à pratiquer Dafa, l’une des choses qui m’inquiétaient était la pensée : « Si je ne me marie pas, je serai seule dans ma cultivation. » Cela m’a rendue anxieuse.

La raison pour laquelle je souhaitais me marier était une illusion. C’était le désir caché de trouver le bonheur, un faux sentiment, c’était une substance collante et laide. J’ai vu que cet attachement me faisait perdre mon temps et mon énergie. Je m’écartais de la cultivation et de la pratique. J’étais anxieuse et mon esprit n’était pas clair. Pour quelles raisons souhaitais-je cela ? Cela ne ferait pas de moi une meilleure personne si je me mariais, pas plus qu’une personne plus diligente et heureuse en fin de compte.

Lorsque j’ai compris que le mariage était dû aux affinités prédestinées et au karma, je n’ai plus été angoissée. J’ai senti qu'un énorme poids était retiré de mes épaules.

Le Maître a dit :

« Apprendre le Fa avec attachement n'est pas la cultivation véritable. Mais on peut reconnaître petit à petit au cours du xiulian ses propres attachements fondamentaux, les éliminer et atteindre ainsi le critère d'un pratiquant. Alors qu'est-ce que les attachements fondamentaux ? L'homme a nourri de nombreuses conceptions dans ce monde, de sorte qu’entraîné par celles-ci, il poursuit les choses auxquelles il aspire. Mais l'homme étant venu dans ce monde, c'est la causalité et l'affinité qui déterminent le chemin de la vie humaine et le gain et la perte dans la vie humaine, comment chaque étape de la vie humaine pourrait-elle être déterminée par les conceptions de l'homme ? Ainsi ces dites aspirations et souhaits merveilleux deviennent alors des recherches douloureuses et obstinées dont on ne peut jamais rien obtenir. » (« Aller vers la plénitude parfaite », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

J’ai compris que ce qui était prédestiné était meilleur pour ma cultivation et pratique, et que je devais me focaliser sur le fait de me cultiver moi-même. Maintenant, si j’ai ce genre de pensées, j’essaie de les reconnaître immédiatement et de penser de manière rationnelle. Je me rappelle à moi-même pourquoi je suis venue dans ce monde.

Le Maître a dit :

« Si vous pouvez retourner à l’origine, la plus amère des souffrances est aussi la plus précieuse ; en cultivant avec le sens de l’éveil dans un monde d’illusion, on souffre beaucoup, et c’est ainsi que le retour sera rapide. Si vous continuez à devenir de plus en plus mauvais, votre vie sera détruite. Ainsi, aux yeux des grands Éveillés, la vie humaine n’est pas faite pour rester un être humain, mais pour retourner à l’origine première, pour retrouver l’authenticité première, pour retourner. » (Troisième Leçon, Zhuan Falun)

En même temps, j’aimais une personne. J’ai lu de nombreux livres, y compris des histoires romantiques, je croyais en l’amour et que l’amour pouvait apporter le bonheur. J’aspirais à ressentir ce sentiment de bonheur d’avoir un partenaire et un amour romantique.

J’ai réalisé que c’était la luxure, et cela m’a fait me sentir mal. J’étais attirée par cette personne, je voulais lui parler, être avec lui, et je fantasmais beaucoup. J’ai passé beaucoup de mon temps à cela, pensant à cette personne, et me demandant s’il m’aimait ou non. C’était un test pour moi. Au début, lorsque je ne cultivais pas, j’étais déjà intéressée par cette personne, mais graduellement, j’ai réalisé que je devais éliminer ce sentiment. Cependant, je ne savais pas comment faire ni si c’était possible de le faire. Puisque je ne savais pas comment cultiver ou comment arrêter de penser à cette personne en ayant de telles pensées, j’ai commencé à mémoriser le Fa.

Plus j’essayais de mémoriser le Fa, plus de mauvaises pensées me venaient à l’esprit, le karma des pensées me faisait penser à de mauvaises choses auxquelles je n’avais jamais songé auparavant. J’ai tenté d’éliminer ces attachements, mais le processus était très difficile. Finalement, j’ai réussi à éliminer cette sentimentalité et cette attraction. J’ai aussi appris le principe du Fa à propos de la luxure, ce qui m’a grandement aidé lorsque je le lisais. Je sentais que c’était une indication du Maître. J’ai réalisé que si je ne pouvais pas éliminer le désir, l’attraction et la luxure, il me serait impossible de m’élever. Le Maître m’a rappelé de nombreuses fois que c’était un test, et que de nombreux, nombreux pratiquants avaient arrêté de cultiver pour n’avoir pas pu passer ce test.

Le Maître a dit :

« Si vous avez échoué une première fois, il faut sérieusement en tirer les leçons, car le démon vous harcèlera tant que vous ne saurez pas bien garder votre Xinxing et que vous n’aurez pas abandonné cet attachement. C’est une grande épreuve qu’il faut surmonter coûte que coûte si vous voulez attendre le Tao et réussir votre cultivation. » (Chapitre III, Falun Gong)

L’extrait du Fa ci-dessus a eu un grand impact sur moi, car j’ai compris qu’un pratiquant devait avoir beaucoup de détermination pour éliminer cet attachement.

J’ai découvert qu’en cultivant dans Dafa, tous les attachements peuvent être éliminés.

Le Maître a dit :

« Alors maintenant vous savez plus clairement pourquoi je vous demande souvent de lire beaucoup le livre ! Le Fa peut briser tous les attachements, le Fa peut briser toutes les perversités, le Fa peut briser tous les mensonges, le Fa peut affermir la pensée droite. » (« Éliminer les interférences », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

J’ai réalisé que le désir et l’attraction pour une personne peuvent être éliminés, car ce sont des substances. Lorsqu’une personne n’a plus ces substances, elle se sentira plus claire, sereine et rationnelle. Ces choses peuvent nous contrôler, et c’est pourquoi il est important de cultiver la conscience principale.

Cultiver au travail

J’ai changé pour un nouveau programme universitaire, je pensais qu’il était court et pourrait m’être utile pour faire des choses pour Dafa. J’ai aussi commencé à travailler dans un restaurant où tous les employés étaient des pratiquants. Au début, je n’étais pas au courant que c’était un projet, je n’étais pas là pour cette raison. Je souhaitais seulement avoir un travail, et je savais que ce restaurant était dirigé par des pratiquants, ce qui était utile, mais je n’étais pas au clair sur son but et son importance. Je participais seulement par intérêt personnel. J’étais une nouvelle pratiquante, j’avais mes doutes et mes peurs, j’étais encore une personne vraiment ordinaire avec mes propres idées, et je n’avais pas vraiment commencé à cultiver de manière sérieuse. Je recherchais encore les choses des gens ordinaires.

J’étais différente, comme je n’aimais pas parler aux gens, je ne faisais pas confiance aux pratiquants, une partie de moi ne voulait pas être là. Je me rappelle avoir pleuré parce que ma patronne me critiquait parce que j’étais lente. Je suis descendue à la cuisine pour pleurer, car je ne voulais pas être vue.

Je me rappelle une fois où je devais apporter une assiette à une table. C’était une assiette carrée et lourde, j’ai entendu ma patronne se plaindre que j’étais trop lente. Lorsque je suis revenue, elle était en colère et m’a dit d’aller laver les assiettes. Elle m’a dit que je ne faisais pas mon maximum. Je n’ai rien dit et j’ai pleuré en lavant les assiettes.

J’ai commencé à me demander pourquoi je n’étais pas plus rapide. J’ai réalisé que l’orgueil était la raison pour laquelle j’étais lente. Je n’appréciais manifestement pas que quelqu’un me critique ou me dise ce que je devais faire, ou comment je devais le faire. Je ressentais aussi de l’envie et pensais que j’étais traitée injustement parce que j’étais dans une position subordonnée.

De plus, j’avais l’impression d’être la cible d’une certaine discrimination, car je pensais bien faire. J’ai réalisé que c’était à cause de l’orgueil que je ne voulais pas changer. Je trouvais des excuses, mais derrière cela, il y avait de l’arrogance de ma part. Ce n’est pas que je ne pouvais pas faire mes tâches plus rapidement et mieux, c’est qu’inconsciemment mon orgueil se mettait en travers du chemin. Lorsque j’ai réalisé cela, je me suis élevée et j’ai pu m’acquitter de mes tâches plus rapidement et de manière plus efficace. Je n’ai plus été réprimandée.

En regardant en arrière, je me rends compte maintenant que j’avais une attitude arrogante. Je pensais que ma patronne avait tort de se mettre en colère parce qu’elle ne supportait pas les erreurs des autres. Je pensais même que j’étais meilleure qu’elle, car je pensais que je n’étais pas comme elle.

En étudiant le Fa, j’ai réalisé que j’avais de nombreux attachements et que j’étais même encore pire que ma patronne. J’ai pu voir en travaillant au restaurant que moi aussi j’étais en colère, que je ne traitais pas bien les autres et que je n’étais pas tolérante.

Je me suis dit que je devais éliminer mon envie et ma peur, et que je devais être capable de voir le bon côté des autres. Lorsque j’ai pu commencer à voir le côté positif de ma patronne, les choses ont rapidement commencé à changer. Je me souviens d’un jour où elle était au restaurant en train d’aider les gens, et j’ai pu voir sa compassion – elle était là pour Dafa. J’ai été surprise. Je pouvais voir qu’elle pensait vraiment aux clients et plus encore.

J’ai pu aussi constater que j’étais envieuse d’elle. J’ai commencé à me mettre à sa place et j’ai réalisé qu’elle devait endurer énormément de pression. Ce n’était pas simple pour elle d’être en charge d’un projet et d’être la « chef » d’autres pratiquants. C’était difficile d’être dans cette position, et c’était facile pour moi de juste la critiquer. J’ai réalisé que les choses qu’elle m’avait dites étaient vraies et qu’elle avait raison. Ainsi, si je me sentais mal, c’était à cause de mon orgueil.

C’était difficile parce que je ne partageais pas mes compréhensions avec d’autres pratiquants, car je n’avais pas confiance. J’étais plus ou moins nouvelle et je n’étudiais pas beaucoup le Fa non plus. Je savais seulement que je souhaitais cultiver et que je devais endurer. J’ai commencé à me rendre compte que je devais regarder à l’intérieur, trouver ce que je devais abandonner et ne plus me focaliser sur ce qui était juste ou faux en surface.

J’ai pu voir ma peur d’être critiquée. Le Maître a dit qu’un pratiquant doit être capable d’accepter la critique, que sinon il n’était pas un pratiquant. Je ressens encore que je dois m’élever sur mon chemin de cultivation. Je suis devenue plus diligente dans mon étude du Fa. Je me rappelle que ma patronne m’a demandé si j’étudiais davantage, car je faisais les choses beaucoup mieux. Elle a été heureuse lorsque j’ai répondu oui !

J’ai pu voir de nombreux attachements, comme me défendre moi-même, répondre lorsque l’on me réprimandait, ne pas tolérer les erreurs des autres, croire que j’étais meilleure que les autres, m’énerver facilement, être de mauvaise humeur, l’égoïsme, la paresse et le manque de responsabilité.

Cependant, ayant reçu des critiques, j’ai été capable de m’élever et de travailler plus rapidement. J’ai aussi réalisé l’importance de la lucidité et de la clarté mentale lorsque je travaillais au restaurant et que cela est directement lié à l’étude du Fa et à la cultivation. Lorsque je n’étudie pas bien le Fa, je ne fais pas bien et je me sens somnolente.

Au début, je ne voulais pas parler aux clients ni leur donner des documents sur le Falun Dafa, ou faire certaines choses. Si je n’avais pas reçu toutes ces critiques, je n’aurais pas pu m’élever et je n’aurais pas changé, et je n’en serais pas là aujourd’hui.

Abandonner l’égoïsme

Dans mon environnement de travail, j’ai aussi appris l’importance d’être prévenante envers les autres. En regardant les autres pratiquants, j’ai pu voir mon égoïsme. En voyant combien ils me traitaient bien et comment ils m’aidaient, j’ai pu voir leur compassion, tout ce qu’ils font pour les autres, leurs sacrifices au travail. J’ai pu voir que je n’étais pas comme cela.

J’ai commencé à réaliser que le travail que nous faisons est pour les autres personnes. Nous nous cultivons pour aider le Maître, ce qui est le point le plus important. C’est ce que j’ai appris en travaillant au restaurant.

Le Maître a dit :

« Je veux encore vous dire, en fait votre nature du passé était fondée sur la base de l’ego et de l’égoïsme. Désormais, quoi que vous fassiez vous devez penser d’abord aux autres, arriver en vous cultivant à l’éveil complet sans égoïsme ni ego, autrui d’abord et soi ensuite, ainsi dès maintenant, quoi que vous fassiez ou disiez, vous devez penser aux autres, et même penser aux générations futures ! Et aussi à l’invariabilité éternelle du Dafa ! » (« La nature de Bouddha sans écoulement », Points essentiels pour avancer avec diligence)

De nombreuses fois nous mélangeons l’égoïsme et les désirs personnels à nos actions pour valider Dafa. Cela inclut des attachements liés à la renommée et à la réputation. J’ai réalisé cela lorsque je travaillais avec les clients. J’ai toujours pensé que j’étais timide, mais derrière se cachaient la peur et l’insécurité. En m’évaluant selon les enseignements du Fa, j’ai constaté que cela est lié à l’attachement à la renommée – être aimée et reconnue. Maintenant, je peux m’entendre très bien avec les clients et leur expliquer les faits sur le Falun Dafa de façon plus efficace et naturelle.

(Présenté à la Conférence de Fa d’Argentine, 2019)

Traduit de l'anglais