(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Dafa de Sofia en Bulgarie ont organisé des activités sur la petite place Patriarch Evtimii, qui fût le dernier patriarche du Royaume bulgare. La place bouillonne généralement d’animation et dans la soirée du 25 octobre, les pratiquants de Falun Gong y ont éveillé les consciences à propos de la persécution du Falun Gong par le Parti communiste chinois (PCC), notamment les prélèvements forcés d’organes sur des pratiquants encore vivants.

Les gens signent une pétition lors des activités organisées le 24 octobre 2019 à Sofia, pour mettre fin aux prélèvements forcé d’organes du PCC sur des prisonniers d’opinion du Falun Gong.

Les pratiquants ont déployé deux grandes banderoles en Bulgare et en Mandarin, où l’on pouvait lire : « Poursuivre Jiang Zemin en Justice » et « Stop aux prélèvements forcés d’organes sur les pratiquants de Falun Gong Chine ». Un flot continu de gens se sont arrêtés pour discuter avec les pratiquants, et après en avoir appris davantage sur la persécution en Chine, ont condamné la violence du PCC et exprimé leur soutien aux efforts des pratiquants pour en finir avec la persécution.

Un homme d’âge moyen a déclaré : « J’ai étudié la théologie pendant presque quarante ans. Quand j’ai vu votre manifestation, j’ai réalisé que les gens n’ont pas compris ce fait : le Parti communiste est effectivement une religion perverse. Il a commis des crimes contre l’humanité. Leurs crimes ne seront pas oubliés. »

Une femme a dit qu’elle venait juste de prendre sa retraite d’un bureau militaire. Même si elle ne pouvait pas signer la pétition de par sa position, elle a assuré : « Je suis sans le moindre doute de votre côté. Je suis contre le prélèvement forcé d’organes ! »

Un cadre de la bibliothèque nationale a déclaré : « Le PCC a commis des crimes terribles ! Il n'a cessé de mentir, de tromper les gens et de faire des choses terribles dans les coulisses. »

Un couple âgé a été choqué d’apprendre les faits de la persécution et a dit que ces atrocités dépassaient l’entendement. Tous deux ont signé et dit qu’ils espéraient que le prélèvement criminel d’organes puisse être arrêté immédiatement.

Deux femmes ont lu attentivement l’information puis ont discuté avec les pratiquants. Parties après avoir signé, elles sont revenues avec quatre de leurs collègues pour qu’ils signent également.

Traduit de l'anglais