(Minghui.org) Je suis un fermier de 88 ans qui a commencé à cultiver le Falun Dafa au début de l'année 1998. Je souffrais de gastro-entérite, d’hépatite et d’hémorroïdes pendant de nombreuses années à cause des mauvaises conditions de vie et du travail physique.

Le 31 mars 1998, alors que je traversais la ville à pied, j’ai vu un magasin rempli de gens qui regardaient la télévision. Par curiosité, je suis entré pour voir ce qui s’y passait. On m’a dit qu’ils regardaient une vidéo de Maître Li Hongzhi enseignant la méthode de cultivation appelée Falun Dafa, quelque chose qui n’arrive qu’une fois en des milliers d’années. Cela a immédiatement éveillé mon intérêt et j’avais hâte de recevoir les livres Zhuan Falun et Falun Gong : la grande voie de l’accomplissement.

Une fois rentré chez moi, tous les jours, j’ai assidûment lu les livres. Par tous les temps, je suis aussi régulièrement allé à l’étude collective du Fa dans ma ville. Trois autres personnes de mon village ont également commencé à pratiquer après que je leur en ai parlé.

L’harmonie règne dans la cellule de détention

Plus de 50 pratiquants de notre ville participaient à l’étude collective du Fa. En mars 2001, une personne trompée par la propagande du Parti communiste chinois (PCC) nous a signalés aux autorités locales. La police a arrêté neuf d’entre nous. J’ai quitté mon domicile et je me suis retrouvé dans la misère pour éviter d’être arrêté. Pour finir, j’ai été suivi et arrêté.

C'était le soir quand on m’a emmené à la division de la sécurité intérieure. Après avoir placé mes vêtements et mon sac sur mes épaules, un policier m’a fait accroupir. Avec le temps, c’est devenu très douloureux et j’ai beaucoup transpiré.

Il m’a interrogé et a voulu savoir le nom du pratiquant qui livrait les dépliants de Falun Dafa. Je lui ai dit que je ne savais pas. Furieux, il m’a giflé à plusieurs reprises des deux côtés du visage. J’ai quand même refusé de coopérer. Il s’est alors mis tellement en colère qu’il m’a donné un coup de poing dans les côtes très fort. La douleur m’a fait perdre connaissance. Après avoir terminé l’interrogatoire, vers 3 heures du matin, ils m’ont transféré au centre de détention.

On m’a mis dans une cellule avec un autre pratiquant de longue date. Nous avons utilisé les paquets de cigarettes que les prisonniers jetaient pour faire des petits livrets dans lesquels nous écrivions des textes de Dafa que nous avions mémorisés. Il a écrit Hong Yin pour moi et j’ai écrit Points essentiels pour avancer avec diligence pour lui. Nous avons utilisé tout notre temps libre pour lire et réciter le Fa. Nous faisions également les exercices chaque matin et chaque soir.

Les gardes voyaient ce que nous faisions, mais ils nous ignoraient. J’ai suggéré au pratiquant de cacher les articles dans ses vêtements et de trouver un moyen de les faire parvenir à sa femme qui était également détenue dans le même centre de détention. De cette façon, nous pourrions tous étudier le Fa et nous améliorer. De plus, j’ai aidé d’autres pratiquants à envoyer des lettres expliquant la vérité sur le Falun Dafa aux membres locaux du système judiciaire du PCC en utilisant le système de courrier du centre de détention.

L’autre pratiquant a rapidement été transféré hors du centre de détention. Je me suis dit que je devais valider le Fa et aider à sauver les êtres même si j’étais seul. D’abord, j’ai parlé du Falun Dafa avec les prisonniers, qui étaient touchés et favorables à ma cause. De plus, j’ai brisé la règle qui veut que les nouveaux détenus soient battus et maltraités par les plus anciens.

L’environnement dans la cellule de détention s’est grandement amélioré. De nombreux détenus étaient gentils les uns avec les autres. Après ma libération, certains détenus m’ont apporté des cadeaux et d’autres m’ont envoyé des vêtements pour me remercier de les avoir aidés. Beaucoup de détenus de longue date qui avaient de bonnes relations avec les gardiens ont été envoyés dans ma cellule.

Parmi les détenus, il y avait des toxicomanes, des trafiquants de drogue et des meurtriers. Ils ne s’entendaient pas entre eux et finissaient souvent par se battre. Chaque fois que je voyais une bagarre, j’intervenais toujours pour l’arrêter sans penser à ma sécurité personnelle. Je les persuadais calmement et avec raison et j’utilisais les principes de Dafa pour les éveiller. En fin de compte, bon nombre des détenus les plus jeunes ont abandonné leurs rancœurs et sont devenus des amis. Toute la cellule est devenue paisible et harmonieuse.

En tout, j’ai arrêté huit bagarres ce qui réduisait le stress des gardiens et a également été un bon exemple pour les autres cellules. Tout le centre de détention était impressionné. À la fin de l’année, le centre de détention m’a félicité par radiodiffusion, et j’ai été récompensé par des cadeaux. Cela a démontré la nature gentille et compatissante des pratiquants de Dafa, et a révélé les mensonges du PCC qui diabolisent cette pratique.

Dans un centre de détention, il n’y a généralement pas de salle de douche. Les détenus utilisent de l’eau froide pour se laver, et tous les jours, il n’y a qu’une quantité limitée d’eau chaude. Le Maître nous a appris à penser aux autres tout le temps et à être une bonne personne où que nous soyons. Je pensais que les conditions étaient difficiles et j’ai rédigé une proposition suggérant d’installer une salle de douche. Le centre de détention l’a approuvée et facturait cinq yuans aux détenus chaque fois qu’ils utilisaient les douches. Les détenus ont apprécié ce que j’avais fait pour eux.

Il y a quelques mois, j’ai rencontré la personne qui m’avait dénoncé aux autorités. Il s’est senti coupable et m’a dit qu’il l’avait fait sous la pression. Je l’ai pris à la légère. Bien que j’aie été régulièrement torturé et que j’aie beaucoup souffert en prison, je ne lui en ai pas voulu.

Toute la famille a bénéficié de Dafa

Depuis que j’ai été libéré, je suis en très bonne santé. Pendant ces vingt dernières années, je n’ai ni été malade ni pris de médicaments.

Un jour, je suis allé dans un canton voisin pour distribuer des dépliants. J’ai commencé au dernier étage d’un immeuble et je suis descendu. Quand je suis arrivé au rez-de-chaussée, la porte était fermée à clé et je ne pouvais plus sortir. J’espérais que quelqu’un viendrait et ouvrirait la porte, mais j’ai alors réalisé que je devais demander de l’aide au Maître. Quand j’ai poussé la porte, elle s’est ouverte comme par magie.

À deux reprises, j’ai été percuté par une moto. Des personnes inquiètes à proximité ont arrêté le conducteur et lui ont demandé de m’emmener à l’hôpital. Réalisant que j’étais un pratiquant et que je ne devrais pas causer de problèmes aux autres, je l’ai laissé partir. Miraculeusement, je n’ai pas du tout été blessé.

Une fois, je suis tombé d’un camion de melons et je me suis blessé sur le côté, au dos et aux fesses. C’était si douloureux que je ne pouvais plus respirer. Pendant les trois premiers jours, je ne pouvais que rester au lit. Plus tard, j’ai enduré de fortes douleurs, mais j’ai continué à faire le travail de Dafa. Je me suis rapidement et complètement rétabli sans aucun traitement. Je savais que notre Maître compatissant m’avait aidé à éliminer une grande quantité de karma. La douleur que j’ai ressentie était donc insignifiante comparée à la quantité de karma que j’avais éliminée.

Un soir de 2001, ma femme, qui n’est pas pratiquante, a soudainement présenté une mauvaise éruption cutanée. Le médecin du village l’a traitée trois fois, mais n’a pas réussi à la guérir. Il a suggéré de l’emmener à l’hôpital du canton le jour suivant. J’ai réalisé que seuls le Maître et le Fa pouvaient la sauver. J’ai donc écrit « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » sur un morceau de papier et je lui ai demandé de réciter ces paroles. Ses symptômes ont disparu en une semaine.

Mon fils aîné, qui vivait dans la ville de Gongzhuling, province du Jilin, nous a rendu visite avant le Nouvel An chinois de 2016, et je lui ai parlé du Falun Dafa. Il a été très heureux d’accepter l’exemplaire du Zhuan Falun que je lui ai donné. Le deuxième jour du Nouvel An chinois, il est arrivé en ville en conduisant une vieille moto et il est tombé d’un talus escarpé. Étonnamment ni lui ni la moto n’ont été endommagés. Plusieurs piétons ont été témoins de ce miracle.

Mon fils cadet a compris la bonté du Falun Dafa. Il a accepté le pendentif de Dafa que je lui ai donné et l’a porté sur lui pendant trois ans. À la fin du mois de février de l’année dernière, il conduisait une moto jusqu’au centre du canton et elle s’est renversée lorsqu’il a fait une embardée pour éviter un piéton. Il s’est fracturé le pied droit et a été hospitalisé pendant trois jours. En deux mois, il s’est complètement rétabli sans aucun effet secondaire. Il est allé au Xinjiang et a pu faire des travaux lourds sans aucun problème. Un non-pratiquant aurait pu devenir invalide après une blessure aussi grave.

Je cultive Dafa depuis vingt ans et je n’ai jamais eu aucun doute sur le Maître ni sur le Fa. Je suivrai toujours les enseignements de Maître Li, je me cultiverai avec diligence et je remplirai ma responsabilité divine de l’aider à rectifier le Fa. Merci, Maître, pour votre salut miséricordieux.

Traduit de l’anglais