(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis mars 2009. Ma santé s'est grandement améliorée depuis que j'ai commencé à étudier le Fa et à faire les exercices.

Je toussais beaucoup et j'avais aussi de l'arthrite au cou et des maux d'estomac fréquents, mais ma bonne santé a été rétablie après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa.

Tribulation en raison d'un karma de maladie

J'ai été interférée par de sérieux maux d'estomac en 2012. Mon poids est passé de 59 kg à moins de 50 kg.

Voyant que j'avais perdu autant de poids, mon mari a insisté pour que je me rende à l'hôpital pour un bilan de santé. Ils ont dit que j'avais développé un adénocarcinome duodénal au dernier stade, qui est un cancer de l'intestin grêle, et qu'il était trop tard pour opérer.

Ma famille a essayé de me le cacher parce qu'elle pensait que je serais pétrifiée. Ils ont prétendu que j'avais juste un ulcère à l'estomac et m'ont dit qu'il fallait qu'on m'emmène à Pékin pour un traitement.

J'ai complètement nié le diagnostic dans mon esprit en pensant que c'était une illusion, et que cela n'avait rien à voir avec la maladie. À l'hôpital, j'ai écouté les conférences du Maître. Comme j'étais la seule patiente dans la chambre, je faisais les exercices et émettais la pensée droite.

J'ai ensuite été transférée dans un autre hôpital pour y recevoir des soins. J'ai récité le Fa et les poèmes du Maître.

J'ai dû subir toutes sortes de tests pendant les 20 premiers jours, y compris des échographies, une gastroscopie, des tomodensitomètres et autres. J'émettais la pensée droite avant chaque test pour éliminer tous les êtres pervers et les facteurs qui me persécutaient dans d'autres dimensions.

Les résultats étaient différents à chaque fois, et ont montré que ma santé s'améliorait. Quand le médecin venait me donner des nouvelles, il souriait toujours. Quand je lui ai demandé pourquoi, il a dit : « Je ne comprends pas, je suis perplexe ! » Je savais clairement ce qu'il voulait dire par là.

Je me suis toujours dit : « Tout est illusion. Je m'en remets à mon Maître ! »

Une fois, j'ai senti que j'avais déçu le Maître et je n'ai pas pu retenir mes larmes. Je me suis dit : « Maître, je n'ai pas bien cultivé et pratiqué et la perversité en a profité, mais je ne la reconnais pas. » Je me sentais si pitoyable. Je voulais marcher sur le chemin que le Maître m'avait tracé et accomplir ma mission.

Faire l'expérience du pouvoir de Dafa

J'ai été transférée dans une chambre pour deux personnes que j'ai partagée avec une professeure d'université à la retraite qui avait 80 ans. Je lui ai dit qu'elle ferait l'expérience de choses étonnantes si elle récitait : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Elle n'avait aucune idée qu'elle avait un cancer de l'estomac, même si la majeure partie de son estomac avait été enlevée. Après lui avoir expliqué les faits, elle a vraiment cru en Dafa et m'a demandé d'écrire la phrase que je lui avais dite. Elle a décidé de la réciter sincèrement tous les jours.

Je ne me considérais pas comme une personne gravement malade et je faisais tout ce que je pouvais par moi-même. J'ai profité de chaque occasion pour parler du Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa) à l'hôpital et j'ai aidé 17 personnes à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations de la jeunesse.

Juste avant ma sortie de l'hôpital, le médecin est venu dans notre chambre pour me féliciter en disant : « Les patientes de votre chambre ont tellement de chance, même les résultats des tests de l'enseignante à la retraite montrent que sa tumeur a disparu ! »

En entendant cela, la fille et le mari de la professeure étaient ravis. Elle a attribué sa chance à sa croyance en Dafa. J'ai surmonté ma tribulation en un peu plus d'un mois.

Dans d'autres dimensions, je pouvais sentir une grande guerre entre le bien et la perversité. Si mes pensées avaient été légèrement inadéquates, la perversité serait venue pour prendre ma vie.

Quelques amis qui n'avaient pas encore démissionné du PCC m'ont rendu visite à la maison. Voyant que je m'étais rétablie si vite, ils ont été profondément impressionnés et ont décidé de démissionner du PCC.

Détenue illégalement

J'ai été arrêtée lorsque je me suis rendue chez une pratiquante pour étudier le Fa. J'en ai profité pour parler du Falun Gong aux policiers.

Je leur ai parlé de Dafa, et de la façon dont il est pratiqué librement dans plus de 100 pays, et persécuté uniquement en Chine. Je leur ai aussi dit que, malgré la persécution brutale, je n'abandonnerais pas ma croyance.

J'ai dit à un jeune gardien qui m'avait battue : « Tu nous as battues, nous sommes de bonnes personnes, mais nous ne te haïssons pas parce que nous savons que tu as été trompé. J'espère que tu apprendras la vérité pour ne plus commettre de crimes contre les pratiquants. C'est uniquement pour ton bénéfice, et j'espère que tu es capable de distinguer le bien du mal. »

La police a mis ma maison à sac cette nuit-là. Ils ont pris mes deux ordinateurs, une imprimante, une plastifieuse, un disque dur amovible, une clé USB, des documents de clarification de la vérité et des DVD de Shen Yun.

Des policiers nous ont fait passer des examens physiques avant de nous transférer au centre de détention local. Je leur ai parlé du Falun Gong et j'ai aidé trois policiers à démissionner du PCC.

Il y avait 22 détenues dans ma cellule. La plupart étaient soit des toxicomanes, soit des trafiquantes de drogue.

J'avais distribué beaucoup de dépliants avant d'être arrêtée et j'avais aidé beaucoup de gens à démissionner du PCC. Mon fanatisme s'était enflammé, et c'était précisément cet attachement qui m'avait amené cette tribulation.

J'étais ferme dans l'élimination de l'attachement. J'ai demandé l'aide du Maître pour faire connaître rapidement aux détenues la vérité sur Dafa et sortir du centre de détention, car ce n'était pas là où j'étais censée être.

Le lendemain, la gardienne responsable de notre cellule m'a appelée dans son bureau. Elle m'a dit qu'elle s'entendait très bien avec les pratiquantes qui y étaient détenues auparavant, car elle savait qu'elles étaient toutes très gentilles.

Je lui ai raconté comment Dafa m'avait sauvé la vie et, que si je ne faisais pas les exercices, j'aurais probablement une rechute. Quand je lui ai demandé la permission de faire les exercices, elle y a réfléchi et m'a dit que je pouvais les faire pendant la sieste dans la salle de bain, pour éviter d'être vue par les caméras.

J'avais un emploi de haut niveau et, par conséquent, certains gardiens souhaitaient me voir. Les détenus me regardaient aussi avec curiosité. J'ai profité de ces occasions pour leur expliquer les faits. J'ai parlé de la façon dont Dafa a été piégé et calomnié sous le régime de Jiang Zemin, et à quel point on interdisait aux pratiquants d'être de bonnes personnes.

J'ai continué en parlant de la façon dont la perversité du PCC était même allée jusqu'à prélever les organes des pratiquants et les vendre pour faire de l'argent. Je leur ai alors dit qu'ils devraient en profiter pour démissionner du PCC, pour assurer leur sécurité et se sauver de l'élimination lorsque la grande calamité arrivera.

En moins de deux semaines, tout le monde avait démissionné du Parti, sauf une personne qui n'y avait jamais adhéré.

Après avoir terminé les exercices debout à midi un jour, la gardienne en charge de notre cellule et son assistante sont venues me voir et m'ont dit : « Nous avons pu voir ce qu'est une vraie pratiquante de Falun Dafa. Tes mouvements sont si beaux. Une fois sortie d'ici, je te trouverai et j'apprendrai aussi le Falun Dafa. »

Je leur ai conseillé de réciter : « Falun Dafa est merveilleux ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est merveilleux ! », pour qu'elles soient sauvées.

Un soir durant le week-end, l'assistante est venue me voir et m'a invitée à chanter une chanson de Dafa dans notre cellule. J'ai chanté deux chansons : « De Du » et « Falun Holy King ».

D'autres gardiens en service à ce moment-là sont venus vérifier ce qui se passait. Dès que j'ai eu fini, j'ai été applaudie.

J'ai été libérée pour raisons médicales environ 15 jours plus tard. Alors que je partais, la gardienne et son assistante m'ont serrée dans leurs bras et m'ont dit qu'elles se souviendraient toujours de moi. D'autres m'ont dit qu'ils se souviendraient toujours de mes chansons.

Menacée d'une longue condamnation

Après mon départ du centre de détention, j'étais surveillée de près, car j'étais considérée comme une pratiquante « clé » de Dafa. Les autorités m'ont menacée d'une lourde peine pouvant aller de sept à quinze ans d'emprisonnement.

J'avais une idée bien arrêtée dans ma tête : « Je fais la chose la plus juste de l'univers ; je ne laisserai pas la perversité se servir de n'importe quelle excuse pour me persécuter, car je suis une disciple du Maître Bouddha, et je m'en remets à mon Maître pour tout. »

J'ai fait de mon mieux pour bien faire les trois choses. Cependant, les personnes mauvaises me jouaient encore des tours. Ils ont demandé à mon mari de me transmettre un message.

Le message était le suivant : « Si vous pouviez fournir des renseignements sur d'autres pratiquants, ou donner des indices, ou les attirer à comparaître, la police prétendrait qu'ils les ont rencontrés par hasard. »

J'ai dit à mon mari : « Trahir d'autres pratiquants pour me protéger est totalement inacceptable. »

Mon mari m'a dit : « Si tu étais condamnée à quelques années de prison, tu ne survivrais pas. Et je ne peux pas vivre seul. »

Je l'ai réconforté alors en lui disant que le Maître était toujours à mes côtés pour me protéger.

Je sais que ma vie a été prolongée par le Maître pour bien cultiver et pratiquer et être altruiste et désintéressée, toujours penser aux autres et sauver plus d'êtres.

Traduit de l'anglais au Canada