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Ma famille est bénie par la grâce sans limites du Maître

7 février 2019 |   Écrit par une disciple de Falun Dafa de la province du Heilongjiang, Chine

(Minghui.org) J'ai 49 ans et j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa (aussi connu sous le nom de Falun Gong) en 2005. En fait, ma sœur m'avait donné un exemplaire du livre Zhuan Falun beaucoup plus tôt, en mai 1999, mais je n'avais pas fini de le lire parce que j'étais trop occupée avec mon bébé. Quand la persécution a commencé en juillet 1999, j'ai caché le livre et j'ai pensé : « Un jour, je reviendrai et j'apprendrai Dafa. »

Mon mari et moi avons tous les deux été licenciés en 2005. Nous avons eu beaucoup de mal à retrouver un emploi et nous évacuions notre frustration l'un sur l'autre quand nous rentrions à la maison. Nos vies étaient misérables et nous avons failli divorcer.

Pendant cette période, ma sœur proclamait : « Le Falun Dafa est un Fa de Bouddha. Dafa est l'échelle pour monter au Ciel que Maître Li Hongzhi a donné aux pratiquants. C'est maintenant ou jamais ! » Je me suis enfin réveillée. Elle m'a amené les conférences du Maître et m'a aussi enseigné les cinq exercices.

J'ai été capable de rester assise pendant une demi-heure la première fois que j'ai médité. Un jour, le Maître a ajusté mon corps : je vomissais constamment et j'avais la diarrhée. Mais je suis quand même allée travailler et j'allais parfaitement bien durant mon quart de travail.

J'avais des problèmes d'estomac et des vertiges depuis l'enfance. Ces problèmes ont tous disparu quand j'ai commencé à pratiquer les exercices du Falun Dafa. Mon corps avait été purifié et rien au monde ne pouvait me rendre plus heureuse que d'avoir trouvé le Falun Dafa.

Au début, mon mari essayait tout ce qu'il pouvait pour me faire arrêter de pratiquer Dafa à cause de sa peur de la persécution. Comme je savais qu'il n'y avait rien de mal dans Authenticité-Bienveillance-Tolérance, j'ai renforcé ma volonté et refusé d'abandonner.

Incapable de faire les exercices dans notre chambre, je les faisais dans un couloir étroit. Un jour, mon mari et moi avons eu de la fièvre. Je n'ai pas pris de médicament, car je savais que j'éliminais du karma. Il n'en a pas pris non plus.

Le jour suivant, j'étais complètement rétablie, mais ses symptômes se sont aggravés et il a dû aller à l'hôpital pour recevoir une injection. Depuis, il n'interfère plus avec ma pratique.

Avant, mon mari faisait toutes les courses, les lessives, le nettoyage et la cuisine. Peu importe l'heure à laquelle il arrivait à la maison, je restais assise à attendre que le dîner soit prêt.

Après être devenue une pratiquante, je me comportais selon les critères de Dafa. Petit à petit, j'ai appris à faire les travaux ménagers et progressivement, j'en ai pris la charge. Il était très impressionné et faisait l'éloge de ma cuisine. Ma belle-mère aussi a dit qu'elle ne s'était pas rendu compte que j'étais si compétente.

Mon mari a progressivement formé des pensées positives envers Dafa. Parfois quand j'étais occupée avec les tâches ménagères, il me rappelait qu'il était l'heure d'émettre la pensée droite. Il ne me reprochait plus d'aller étudier le Fa en groupe et parfois il me demandait des documents d'explication sur Dafa pour les lire.

Je lui ai donné une amulette sur lequel il était écrit : « Falun Dafa est bon ! » Il l'a accrochée dans sa voiture sans hésitation. Un jour, il m'a confié : « S'il y a une prochaine vie, je souhaite refaire partie de ta famille. »

Je travaillais consciencieusement comme vendeuse dans un centre commercial. Je pouvais vendre des articles que les autres avaient beaucoup de mal à vendre.

Une fois, ma chef m'a demandé de venir pour faire l'inventaire. J'étais en retard et elle était très agacée. Elle m'a lancé : « Comment peux-tu arriver en retard alors que tu es responsable ? » J'ai été blessée et j'ai dit : « Je démissionne. » Plus tard, elle est venue s'excuser et m'a répété de rester, alors je suis restée.

Dorénavant, en tant que pratiquante, je m'efforce d'être gentille avec les gens et je regarde à l'intérieur quand un conflit survient. Une fois, un collègue du service des expéditions m'a parlé très grossièrement. J'étais sur le choc et je me suis demandé ce que j'avais fait de mal pour qu'il se comporte de cette façon. Pourtant, je n'ai pas répondu et je suis restée extrêmement calme, même s'il y avait beaucoup de spectateurs.

Un jour, un homme d'une cinquantaine d'années traînait autour de mon comptoir. Dès qu'il est parti, je me suis rendu compte qu'un article manquait. Il était trop tard pour se lancer à sa poursuite, sans compter que je ne pouvais pas laisser le kiosque sans surveillance. Alors j'ai payé l'article manquant.

Ma collègue m'a dit : « Tu es tellement stupide ! Pourquoi ne crées-tu pas une fausse ligne dans les comptes ? Personne n'y verra rien. » J'ai secoué la tête. En tant que pratiquante de Dafa, je dois être honnête !

J'affichais toujours les meilleures performances de vente et les clients m'appréciaient beaucoup. J'ai fait ce même travail pendant treize ans jusqu'à ce que mon patron ne ferme l'entreprise en 2016. Tous mes collègues m'admiraient pour avoir fait ce travail pendant si longtemps.

Ma fille venait étudier le Fa en groupe avec moi par intermittence depuis qu'elle était petite. Mais elle était trop jeune pour persévérer. Un jour en 2015, elle a soudainement éclaté en sanglots et a pleuré de tout son cœur. Elle m'a dit combien elle regrettait de ne pas avoir chéri Dafa et d'avoir perdu tant d'années de cultivation et pratique.

Dès lors, elle s'est établie un horaire pour étudier le Fa régulièrement. Elle n'a pas ralenti même quand elle préparait l'examen d'entrée à l'université en 2016. Le jour de l'examen, elle était calme. À l'annonce des résultats, elle a vu qu'elle avait été admise à l'université de ses rêves et avait obtenu la spécialisation qu'elle désirait.

Baignée dans la grâce sans limites du Maître, toute ma famille est bénie et heureuse !

Traduit de l'anglais en France