Une guérison rapide grâce à Dafa

(Minghui.org) J’ai 62 ans. Mon mari est décédé quand j'étais d'âge mûr. Pour subvenir à mes besoins, j'ai fait beaucoup de petits boulots, comme vendre des fruits et collecter les ordures. Je suis une femme forte à tous points de vue : je fais ce que j'ai à faire sans pleurer ni me plaindre. J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998 et je n'ai eu aucune maladie depuis.

En 2004, alors que je traversais une intersection à pied en poussant ma bicyclette, une voiture m’a heurtée. J'ai volé dans les airs avec mon vélo et j'ai perdu connaissance.

J'ai atterri sur le côté droit et ce côté de mon visage a été terriblement meurtri et enflé. Ma tête était couverte de sang et de terre. On m'a dit que j'avais l'air grotesque, mais je n'ai eu aucune autre blessure, aucune autre douleur.

Le conducteur de la voiture et beaucoup d'autres personnes se sont rassemblés autour de moi. Quand j'ai repris connaissance, le conducteur voulait que j'aille à l'hôpital. J'ai secoué la tête, comme pour dire non. Un des témoins réparait les vélos au marché et il a dit au conducteur que j'étais une pratiquante de Falun Dafa et que je ne lui demanderais rien. Le conducteur lui a donné 50 yuans pour réparer mon vélo. Puis il a discrètement glissé 500 yuans dans ma poche et il est parti. Bon nombre des témoins ont dit que c'était un accident grave et que je ne survivrais pas, même à l'hôpital.

Je me suis évanouie à nouveau et quand je me suis réveillée, tout le monde était parti sauf un homme qui conduisait un vélo-taxi trois roues qui s'est arrêté pour voir s'il pouvait me ramener à la maison. Il m'a fallu un peu de temps pour me souvenir de mon adresse.

À cause de la persécution du Falun Dafa en Chine, ma fille et moi avons dû déménager fréquemment. Quand je suis arrivée à la maison, elle tenait son fils d'un an dans les bras. Elle a été si stupéfaite qu'elle m'a fixée du regard sans pouvoir dire un mot. Mes voisins sont arrivés en trombe. Ils étaient aussi tous sous le choc, mais ils ont aidé le chauffeur du vélo-taxi à m'amener à mon lit. Ils ont remercié le chauffeur et ma fille l'a payé.

Pensant que j'allais mourir, mes voisins voulaient que j'aille à l'hôpital. Je savais qu'en tant que pratiquante de Falun Dafa, mon Maître m'aiderait. Je répétais sans cesse : « Falun Dafa est bon. » J'ai fermement cru dans le Maître.

Mes voisins sont partis. Ma fille était si effrayée qu'elle avait peur de me regarder. Elle et le bébé se sont couchés avec moi. Chaque fois que je me réveillais, je répétais : « Falun Dafa est bon. »

Au cours des sept jours suivants, mon cerveau a été guéri. Il y avait d'innombrables Falun qui tournaient sur ma tête, certains tournaient vers la gauche, d'autres vers la droite. Certains tournaient dans les deux sens. J'ai senti que ma tête allait vraiment bien et j'ai commencé à devenir plus consciente.

Mes deux yeux se sont finalement ouverts le troisième jour. Ma fille s'est calmée et mes voisins ne parlaient plus de m'amener à l'hôpital. Puis le chauffeur du vélo-taxi est venu me rendre visite et me demander comment j'allais. Je lui ai dit que j'allais beaucoup mieux. Il a dit que c'était incroyable, parce que j'avais laissé une grosse bosse sur la voiture. Il voulait savoir si j'allais poursuivre le chauffeur en justice, parce qu'il se souvenait de son numéro de plaque d'immatriculation.

Je lui ai dit : « Merci, mais non. Je suis une pratiquante de Falun Dafa. Je m'efforce d'être une bonne personne, alors mon Maître veille sur moi. Je n'ai pas besoin de l'argent du conducteur. Je vais aller mieux dans quelques jours. »

Je lui ai montré les 500 yuans que le conducteur de la voiture m'avait donnés. « C'est l'argent que le conducteur a glissé dans ma poche. Si j'avais été consciente, je ne l'aurais pas accepté. »

« Vous êtes sûre de ne pas vouloir porter plainte ? », a-t-il demandé avec étonnement. Je lui ai assuré que je ne poursuivrais pas le conducteur et il est parti.

Le huitième jour, j'ai pu me lever et marcher, mon visage était moins tuméfié et je n'avais plus que quelques bleus. Ma tête avait repris sa forme normale.

J'ai été complètement guérie en vingt jours. Je suis allée au marché pour voir si mon vélo avait été réparé. Le réparateur a dit que la bicyclette était irréparable. Si je n'avais pas pratiqué le Falun Dafa, moi aussi, j'aurais été « irréparable ».

De nos jours, les critères moraux sont si bas. La plupart des gens valorisent le profit avant l'éthique. Dans ce genre de situation, la plupart des gens vont intenter une poursuite en justice. Combien de gens ne voudraient pas d'argent ? Même pour des incidents mineurs, les gens trouvent des moyens d'obtenir de l'argent. Dafa nous enseigne à être une bonne personne. Quoi que nous fassions, nous pensons d'abord aux autres. Depuis le début des temps jusqu'à maintenant, où pouvons-nous trouver une pratique aussi remarquable ? Elle est totalement gratuite et sans obligation. Elle vous donne un corps sain et un esprit sain.

Le Falun Dafa est en train de se répandre à travers le monde, sauvant tous ceux qui sont prédestinés. À toutes les bonnes personnes sur terre : rappelez-vous que « Falun Dafa est bon ». Mon souhait est que vous ayez une vie heureuse et saine.

Traduit de l'anglais au Canada