(Minghui.org) Depuis toutes ces années où je parle du Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong), j'ai rencontré de nombreuses personnes venant de la ville natale de Maître Li Hongzhi, qui ont connu personnellement le Maître. Voici quelques petites histoires de mes conversations avec elles et leurs impressions concernant le Maître et Dafa.

« Je ne suis pas seulement de la même ville, j'étais aussi sa voisine »

Une fois, lorsque je suis allée dans un marché pour acheter des provisions, j'ai utilisé des billets de banque avec des messages sur le Falun Dafa écrits dessus. Lorsque la propriétaire du stand a vu les messages, elle a lu les mots à haute voix : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! Le monde a besoin d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance ! »

Alors qu'elle mettait l'argent dans sa poche, elle a dit : « C'est vrai ! Le monde a besoin d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance ! »

Entendant cela, je l'ai félicitée de sa compréhension de Dafa.

Lorsque j'ai utilisé les billets une seconde fois à son stand, elle m'a dit qu'elle savait que je pratiquais le Falun Gong.

« Il semble que vous connaissez déjà le Falun Gong », ai-je dit.

« C'est exact. Savez-vous quelle est ma ville natale ? », a-t-elle demandé.

Alors que j'essayais de deviner, elle a dit fièrement : « Gongzhuling ! »

« C'est la ville natale de Maître Li Hongzhi ! », me suis-je exclamé.

« Je ne suis pas seulement de la même ville, j'étais aussi sa voisine et je vivais dans la même rue », a-t-elle dit, ajoutant qu'elle savait tout en tant qu'ancienne voisine du Maître.

« Vous savez que le Falun Gong est bon ? » ai-je demandé.

« Bien sûr ! Le Falun Dafa est bon ! Le monde entier sait cela », a-t-elle répondu.

J'ai à nouveau demandé si elle savait que ce que les médias ont rapporté était des mensonges et si elle avait démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse, ce qu'elle a confirmé. À partir de ce jour-là, elle m'a saluée chaque fois que j'allais au marché.

J'ai aussi rencontré d'autres personnes qui venaient de Gongzhuling et comme la propriétaire du stand, elles avaient toutes une bonne impression du Falun Gong.

Camarade de collège du Maître

Le mari de ma collègue était un camarade de classe du Maître alors qu'il étudiait au collège no 48 de Changchun. Il est plus tard devenu professeur à l'université quand le Maître a soigné une maladie qu'il avait.

Personne ne connaissait sa relation avec le Maître jusqu'à ce que la persécution du Falun Gong débute et que le PCC rassemble tous les professeurs et étudiants de son école. Le régime chinois voulait que chacun dise quelque chose de mal au sujet du Maître. Cependant, chacun est resté silencieux.

N'ayant pas le choix, le fonctionnaire du PCC a finalement demandé au mari de ma collègue : « Nous avons appris que Maître Li a soigné votre maladie. A-t-elle été guérie ? C'est faux, non ? »

« Ma maladie est maintenant beaucoup mieux après le traitement. Même si elle n'est pas complètement guérie, c'est dû à mes propres problèmes et cela n'a rien à voir avec Maître Li », a-t-il dit.

Incapable d'obtenir ce qu'ils voulaient, les responsables ont commencé à le harceler en téléphonant chez lui. Une fois, sa femme s'est mise en colère et a dit aux autorités de ne plus jamais les appeler.

Elle a dit : « Mon mari n'est pas en bonne santé et vous aurez à porter la responsabilité si quoi que ce soit lui arrive ! Nous ne vous donnerons rien ! Je vous poursuivrai si vous appelez à nouveau ! »

Les responsables n'ont jamais rappelé.

Les autres anciens camarades de classe du Maître étaient inquiets et ont demandé où était le Maître et s'ils pouvaient lui rendre visite.

Une fois, ma collègue m'a demandé : « Où est ton Maître ? »

Je lui ai dit qu'elle pourrait voir le Maître chaque jour si elle brisait le pare-feu Internet. Quand je lui ai donné le logiciel anti-censure, elle a dit avec enthousiasme : « Je me sens bien maintenant. Je vais aller voir le Maître en ligne. »

« Votre Maître était un invité régulier chez moi »

J'ai rencontré une femme chez une camarade de classe quand la persécution a commencé. La femme a commencé à me dire ce qu'elle savait après avoir appris que je pratiquais le Falun Gong.

« J'ai connu ton Maître. Il était dans la même troupe d'art militaire que mon frère cadet. Ils avaient une bonne relation », a-t-elle dit.

Elle a poursuivi : « Ton Maître était un invité régulier chez moi. Non, il ne doit pas être appelé un invité. Il était comme un membre de la famille. Par exemple, lorsque personne n'était à la maison, ton Maître venait pour s'occuper de la maison pour nous. Il savait même travailler le bois ; certains de nos meubles ont été faits par ton Maître ! »

« Tout le monde savait que ton Maître est une bonne personne qui est bonne envers chacun. Mon frère est resté en contact avec ton Maître après leur départ de l'armée. Quand les gens ont entendu que le gouvernement voulait l'arrêter, nous nous sommes tous sentis amers. Tout le monde a refusé de dire quoi que ce soit de mal à son sujet lorsque les médias sont venus chercher. »

Un jeune cireur de chaussures

Je n'ai jamais fait polir mes chaussures par un professionnel. Un jour, j'y suis allée pour la première fois et j'ai commencé à parler du Falun Gong à la personne cirant mes chaussures.

« Je reviens tout juste de trois ans d'un camp de travaux forcés de Pékin », a-t-il dit.

J'ai été surprise et j'ai demandé pourquoi.

L'un de ses collègues est intervenu : « Falun Gong ! Il est un proche de Maître Li ! »

Mon cireur m'a dit qu'il avait été emmené dans un camp de travail pour être allé à Pékin faire appel pour le Falun Gong. Il a ajouté qu'il était de Gongzhuling et est un cousin éloigné de Maître Li. Il est venu à Changchun pour travailler après avoir été libéré du camp de travail.

« Avez-vous beaucoup souffert dans le camp ? », ai-je demandé.

« N'en parlez pas. Cet endroit est si démoniaque ! », a-t-il répondu, ajoutant qu'il en avait aussi parlé à tous ses collègues de travail.

« Je sais que le Falun Gong a été piégé et est persécuté »

Un après-midi d'hiver, j'ai acheté du riz d'un vendeur de rue et j'ai demandé s'il connaissait le Falun Gong.

Après s'être assuré qu'il n'y avait personne autour, il m'a dit : « Je connais très bien cela. Je sais que le Falun Gong a été piégé et est persécuté. »

Il m'a dit qu'il avait déjà travaillé dans la même compagnie céréalière et oléicole que le Maître et avait souvent rencontré le Maître là-bas. Il a dit que le Maître était quelqu'un de bien qui n'a jamais été calculateur avec quiconque, ajoutant que personne dans l'entreprise ne croyait ce que les médias du PCC disaient.

J'ai aussi rencontré une employée retraitée d'une société céréalière et oléicole qui avait mis en place un centre de tutorat à son domicile. Quand j'ai envoyé un élève à son centre pour étudier une langue étrangère, elle m'a dit qu'elle avait déjà pratiqué le Falun Gong.

« Je sais que le Falun Gong est bon », a-t-elle dit, « Maître Li Hongzhi n'a rien fait de mal et nous savons cela, car nous étions collègues autrefois ! Mais j'ai arrêté de pratiquer après que la persécution a commencé, car j'avais peur des tactiques du PCC. »

Il faisait déjà noir quand elle a fini de me dire comment l'école que sa famille avait fondée avait été fermée par le PCC. Avant mon départ, elle m'a tenu la main et a dit : « Lorsque je récupérerai l'école de ma famille, montons une école ensemble et laissons tous les élèves lire le Zhuan Falun et pratiquer le Falun Gong ! »

Traduit de l'anglais au Canada