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Mon mari se remet de ses maladies d'une façon remarquable

28 avril 2019 |   Écrit par une pratiquante du Liaoning, Chine

(Minghui.org) Pendant des années, mon mari s'est adonné aux plaisirs de la table, de la boisson et du jeu. Nous avions beaucoup de conflits et nous nous querellions presque tous les jours. À cause de l'atmosphère tendue à la maison, j'étais constamment malade et tout près de l'effondrement mental. Épuisée, je pensais divorcer.

À mon point le plus bas, quelqu'un m'a présenté le Falun Gong (aussi connu sous le nom de Falun Dafa) et j'ai commencé à pratiquer. En suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, j'ai pu pardonner à mon mari. Notre mariage brisé a été sauvé.

Mon mari ne pratiquait pas, mais il était d'un grand soutien. Il m'a même aidée spécifiquement à remplir ma plainte légale contre l'ancien chef du Parti communiste chinois (PCC) qui a lancé la persécution du Falun Gong.

Même si notre maison était vieille et petite (moins de 65 mètres carrés), de nombreux pratiquants venaient nous rendre visite. Mon mari les accueillait et préparait de la nourriture pour tout le monde. Les gens qui ne nous connaissaient pas pensaient que mon mari était un pratiquant.

En 2002, la police a arrêté ma sœur et moi, et nous a envoyées dans un centre de détention. À cette époque-là, mon mari travaillait à Pékin. Quand il a entendu dire que j'avais été arrêtée, il s'est dépêché de rentrer à la maison et a eu une crise cardiaque. Il a été hospitalisé et son état s'est amélioré.

Après avoir eu son congé de l'hôpital, mon mari est allé voir les fonctionnaires responsables et il leur a demandé de me libérer. À ce moment-là, ma sœur et moi faisions une grève de la faim depuis plusieurs mois pour protester contre la persécution.

Ma sœur et moi étions au seuil de la mort. Mon mari, mon plus jeune frère et d'autres membres de ma famille se sont rendus au Bureau 610 pour tenter de nous faire libérer. Mon mari a rendu visite au chef du canton qui était chargé de la persécution du Falun Gong. Ma sœur et moi avons finalement été libérées du centre de détention.

Peu de temps après être retournée chez moi, j'ai récupéré de mon épreuve et je suis revenue à la normale. J'ai commencé à sortir pour sensibiliser les gens à la persécution du PCC à l'égard du Falun Gong. Mon mari avait peur que je ne sois à nouveau arrêtée. Il a dit : « Tu es connue de la police et du personnel de la sécurité. Je ne suis pas leur cible. C'est mieux que ce soit moi qui distribue les documents. » Il se levait à 3 h du matin et sortait pour distribuer les documents. Il l'a fait pendant de nombreuses années.

Un jour en 2011, mon mari est tombé malade et ses propos étaient embrouillés. Il a été emmené à l'hôpital, où le médecin a dit qu'il avait un accident vasculaire cérébral. L'hémorragie était si grave qu'il n'était plus possible de pratiquer une intervention chirurgicale. Seul un traitement de soutien a été proposé. Mon mari est devenu incohérent.

Je lui ai fait écouter un enregistrement d'une conférence de Maître Li Hongzhi enseignant le Falun Dafa. Dix jours plus tard, un tomodensitogramme a montré que son hémorragie cérébrale s'était réduite à la taille d'un ongle. Vingt jours plus tard, un scanner a montré que son hémorragie cérébrale avait complètement disparu.

Mon mari s'est complètement rétabli sans aucune complication. Même le médecin a dit que c'était un miracle. Mon mari a su que le Maître et Dafa l'avaient encore sauvé.

Immédiatement après avoir récupéré, mon mari a commencé à pratiquer le Falun Gong.

Traduit de l'anglais au Canada