(Minghui.org) Je suis un paysan traditionnel et je pratique le Falun Dafa depuis 21 ans. « Grand disciple de Dafa », c'est ainsi que ceux de mon village m'appellent. Ils me respectent et m'admirent parce que lorsque j'étais gravement malade et mourant, Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, m'a donné une nouvelle vie. Les gens de mon entourage sont d'accord pour dire que « Falun Gong est bon ».

Dafa a complètement guéri mes maladies

On dit que pour un homme, la quarantaine est le meilleur âge pour commencer une carrière. Mais à cet âge, je devais me coucher toute la journée à cause de mes maladies. On considère aussi qu'un homme est la colonne vertébrale de sa famille. Ma vie quotidienne était déjà difficile, mais maintenant que je m'effondrais, on peut imaginer ce qu'était devenue ma vie de famille.

Bien que j'étais très malade, je n'avais pas peur de la mort et j'ai décidé de ne pas aller voir de médecins. Mes frères m'ont supplié : « S'il te plaît, va voir un médecin. Même s'il te dit que tu es incurable et qu'il n'y a aucun traitement pour toi, nous lèverons le pied et nous ne dépenserons plus d'argent. »

Ils m'ont persuadé d'aller à l'hôpital. On m'a diagnostiqué une tuberculose et une maladie cardiaque, les deux à un stade très grave. Nous avons entendu que le gouvernement remboursait ceux qui allaient au local du contrôle de tuberculose pour traitement, alors je suis allé là-bas. Le médecin a dit que j'avais une lésion permanente des poumons et que l'affection était incurable. J'ai rapporté des médicaments à la maison et j'ai attendu la mort.

À ce moment-là, je pouvais à peine marcher et pour aller du portail à la porte d'entrée je devais faire des pauses, après quoi je devais me coucher. En regardant mes enfants adolescents, je me suis senti amer. Les autres villageois disaient : « Cet homme est fichu. »

Juste au moment où j'étais au bord de l'extinction, j'ai vu un rayon de lumière. En 1998, le Falun Dafa s'est propagé dans ma ville natale. Ma troisième sœur cadette était une des personnes qui avaient commencé à pratiquer Dafa.

Elle m'a dit : « Frère, tu es vraiment malade. S'il te plaît, lis ce livre, Zhuan Falun. Il est très bien. »

J'ai dit : « Je ne peux même pas m'asseoir. Comment puis-je lire un livre ? Je ne peux pas. »

Elle a dit qu'elle voulait aller à la maison et me donner les enregistrements des conférences de Dafa. Le lendemain, elle m'a donné les enregistrements. Je ne pouvais pas m'asseoir, alors j'ai écouté allongé. J'ai senti quelque chose comme une main entrer dans ma poitrine et m'agripper. J'avais de la peine à respirer à cause de la sensation d'agrippement, donc j'ai dû m'asseoir. À ce moment-là, ma sœur lavait des vêtements à l'extérieur de la pièce.

Je lui ai dit : « Il y a quelque chose qui ne va pas. J'ai senti une main m'agripper les poumons. »

« C'est une bonne chose et le Maître prend soin de toi », a-t-elle dit. « Cette pratique peut guérir la maladie, donc il vaut mieux que tu continues à écouter les conférences. »

Plus j'écoutais, mieux je me sentais. En écoutant la septième conférence, où le Maître parle des effets nocifs du tabagisme et de l'alcoolisme, j'ai eu l'impression qu'il parlait de moi. J'avais trois mauvaises habitudes : fumer, boire de l'alcool et jouer à des jeux d'argent, ce qui m'avait donné un certain renom dans mon village. Sans alcool pour accompagner chaque repas, je n'arrivais pas à tenir mon bol de riz. Je devais boire chaque jour un litre d'alcool.

Après avoir écouté toutes les neuf conférences, j'en suis venu à comprendre comment les êtres humains devraient être : les gens sont ici pour retourner à leur origine et à leur vrai soi, avoir de la considération pour les autres partout et se conduire selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. C'est une personne au plus haut niveau.

Dafa a chassé le brouillard de mon esprit pour me permettre de voir la lumière de mon obscurité. J'avais de l'espoir en mon avenir.

J'étais déterminé à apprendre Dafa et je n'avais aucun doute que je le ferai. Je me suis empressé d'acheter le livre de Dafa et j'ai commencé à apprendre les exercices. Chez moi, il y avait des médicaments partout et tous ceux qui entraient pouvaient les voir. Cependant, après avoir étudié Dafa, j'ai jeté des médicaments, donné le reste et j'ai commencé à pratiquer officiellement Dafa.

Après plus de 20 jours, marcher ne m'essoufflait plus. Deux mois plus tard, mes maladies étaient complètement guéries. Les gens de mon village se demandaient comment une maladie aussi grave pouvait être soignée sans médicaments.

S'efforcer d'être un véritable pratiquant

Le Falun Dafa exige que les pratiquants prennent Authenticité-Bienveillance-Tolérance comme critère. C'est une école de cultivation et pratique de l'école de Bouddha dans laquelle on doit élever réellement son niveau moral ; c'est seulement ainsi qu'on peut obtenir l'effet de guérison des maladies et rester en bonne santé. En d'autres termes, le Maître allait purifier notre corps pour enlever les maladies.

Après avoir pratiqué Dafa, j'ai eu une meilleure vision des choses et suis devenu plus positif. Je vivais comme une personne complètement différente. Je ne jouais plus et j'ai abandonné mon addiction à la cigarette et à la boisson. J'ai écouté le Maître et me suis comporté partout où j'allais comme une bonne personne, en accord avec les exigences du Maître. Après avoir recouvré la santé, je n'ai pas seulement fait les travaux des champs, mais j'ai aussi aidé ma femme au ménage.

La cultivation consiste à croire au Maître et au Fa et se considérer comme un pratiquant quand nous rencontrons des épreuves. Un printemps, après avoir commencé à pratiquer Dafa, je ratissais la rizière en préparation pour planter des graines quand je me suis coupé le pied accidentellement avec le râteau.

Mon plus jeune frère m'aidait. « Ton pied saigne à travers ta botte », a-t-il dit. « Les champs sont pleins d'eau sale et d'engrais. Ne laisse pas la coupure s'infecter. Tu as meilleur temps d'arrêter de travailler et de rentrer chez toi.

« Ça va », ai-je dit. « Je suis déjà un pratiquant, alors rien de mal ne pourra se passer. »

De retour chez moi, quand j'ai enlevé mes bottes, j'ai vu que ma chaussette était imbibée de sang et collait à mon pied. Je n'arrivais pas à l'enlever. Je n'ai pu l'enlever qu'une fois que mon frère m'a aidé à mouiller mon pied. J'avais mal aux poumons, mais je n'ai pas pensé que j'avais une maladie. Je savais qu'un pratiquant devait rembourser le karma.

Le lendemain soir, j'ai fait un rêve. Le Maître est venu me voir, habillé dans une blouse blanche de médecin et portant un chapeau et un masque de chirurgien. Il a fait le tour de mon lit, a montré mes poumons du doigt et a dit : « Cette partie guérira en peu de jours. Ton pied ira bien d'ici demain. » Puis il est parti.

Le lendemain, mon pied était tout à fait guéri et quelques jours après, je n'avais plus mal aux poumons.

Un jour, j'allais très mal. Je ne pouvais pas m'allonger car j'avais de la peine à respirer. Je devais m'appuyer sur quelque chose quand j'étais assis. Je ne pouvais pas fermer les yeux sans avoir l'impression de m'évanouir. J'étais assis jour et nuit et j'expectorais des bouchées de flegme jaune. Certains villageois ont dit : « Cette fois il est perdu. Il va mourir. »

Je me suis dit que j'étais venu dans ce monde pour valider Dafa et que mon corps était dans les mains du Maître. Pendant ce temps, j'ai demandé au Maître de m'aider à surmonter cette épreuve, de me donner de la force et d'éliminer les éléments pervers qui attaquaient mon corps.

Avec la protection du Maître, j'ai recouvré ma santé et je suis retourné travailler aux champs.

Les villageois qui m'ont vu on dit : « Tu es de nouveau en bonne santé. Tu es génial. » En fait, ils n'étaient pas en train de dire que j'étais bon ; ils disaient que Dafa est bon.

Résister à la persécution, persister dans la cultivation

Pratiquer le Falun Dafa m'a ramené à la vie. Je suis devenu célèbre dans mon village, mais j'ai aussi été visé par la persécution. Dès qu'on approchait d'une date politique sensible, la police locale voulait « visiter » mon domicile pour me contrôler.

Une fois, la police de mon canton est venue me harceler chez moi. Un agent a dit : « Notre canton a interdit la pratique du Falun Dafa, alors tu ne peux pas continuer à pratiquer. »

« Dafa enseigne aux gens à cultiver leur esprit et à être de bonnes personnes selon Authenticité-Bienveillance-Tolérance », ai-je dit. « Qu'y a-t-il de mal avec ça ? Qu'est-ce qui ne va pas ? Je dois pratiquer même si vous dites que non. »

Un agent a dit qu'ils ne me permettraient pas de pratiquer. Un agent a dit : « Mais, je suis juste venu ici pour te contrôler. »

Ce jour-là, beaucoup d'autres villageois se sont rassemblés lorsqu'ils ont vu la police arriver. Ils voulaient démontrer un point aux agents concernant ma pratique du Falun Dafa.

Une personne a dit : « Dans le passé, il devait être alité et ne faisait rien d'autre. Sa famille n'avait pas d'argent pour traiter ses maladies. S'il n'avait pas pratiqué Dafa, il serait décédé depuis longtemps. C'est Dafa qui l'a sauvé.

Un autre a dit : « Oui, le Falun Dafa l'a sauvé. »

N'ayant pas de réponse, la police est partie.

Répandre la bonté de Dafa dans mon village

Depuis que le Maître m'a sauvé la vie, j'ai eu à cœur de raconter des histoires sur la bonté de Dafa.

Un jour, j'ai entendu que M. Zhou, qui vivait dans le village de Laoshantou, est tombé gravement malade suite à un cancer des os. Il était alité, attendant de mourir comme je l'avais été. J'ai senti que je devais me dépêcher de lui parler de Dafa.

Quand je suis arrivé chez lui, j'ai vu son fils debout à côté de son lit. M. Zhou avait une grosse excroissance à la cuisse droite. Il ne pouvait pas se lever. Il avait déjà demandé à son fils de préparer ses obsèques.

Son fils n'a pas trouvé de cercueil à acheter, à la place, il a acheté une grande armoire à son voisin. Comme M. Zhou était grand et ne tenait pas dans l'armoire, son fils a ouvert un côté et l'a agrandie.

Je savais que c'était l'occasion de lui parler de Dafa. « J'étais comme toi avant », ai-je dit. « J'étais si malade que je ne pouvais pas m'asseoir et je ne pouvais que m'étendre sur mon lit. Maître Li m'a sauvé quand je suis devenu pratiquant. Le Maître est venu pour sauver les gens ; tant que tu peux croire, le Maître prendra soin de toi. »

Le lendemain, comme il était intéressé, je lui ai apporté un livre de Dafa et lui en ai parlé davantage. Je lui ai aussi demandé de démissionner des organisations du Parti communiste chinois (PCC) auxquelles il avait adhéré.

Je lui ai aussi dit de réciter « Falun Dafa est bon » avec un cœur authentique.

Une fois que je suis parti, il a commencé à réciter la phrase sincèrement, et après avoir dit les paroles pendant quatre ou cinq jours, l'excroissance à l'extrémité de sa cuisse a éclaté, du pus a suinté et un liquide sanguinolent a rempli la moitié d'une bassine. La grosseur a vite disparu.

Avant cela, comme la grosseur était aussi importante, il ne pouvait même pas enlever son pantalon. En moins de dix jours, il a pu marcher. Son cancer des os a guéri sans médicaments ni opérations.

Plus de dix ans plus tard, M. Zhou, autrefois connu comme « l'homme mort », travaille encore dans les champs, heureux et en bonne santé. C'est un miracle que la médecine ne peut expliquer.

Là où j'allais, les gens de mon village disaient : « Le grand disciple de Dafa vient. » Même le chef du village disait ainsi après m'avoir vu. Même pendant les pires périodes de la persécution, quels que soient les agents, les villageois me donnaient sans crainte le titre de « grand disciple de Dafa ».

Sous la forte pression de la persécution des disciples de Dafa par le PCC, peu importe quelle était la propagande diffamatoire, il était impossible d'ébranler la pensée droite émise profondément par les villageois parce qu'ils voyaient que la puissance de Dafa m'avait guéri et sauvait les autres.

Depuis que j'ai recouvré la santé et la sagesse en pratiquant Dafa, je n'ai pas eu besoin de médicaments. Le Maître m'a accordé la santé et j'ai utilisé mon corps sain pour montrer la bonté de Dafa. Mes voisins sont mes témoins.

Ma vie a été renouvelée par le Maître et mes expériences personnelles sont plus que suffisantes pour témoigner à quel point il est grand. Pour honorer l'anniversaire du Maître, ce pratiquant envoie ses félicitations et exprime sa gratitude au Maître pour son salut miséricordieux.

Traduit de l'anglais en Suisse