(Minghui.org) Même si je ne pratique pas moi-même le Falun Dafa, également connu sous le nom de Falun Gong, j'ai toujours cru et fortement ressenti que le « Falun Dafa est bon ! »

Dafa a sauvé ma famille de la rupture

Ma femme et moi nous sommes rencontrés par l'intermédiaire d'une entremetteuse pendant la Révolution culturelle. À cause des luttes entre les gens de milieux différents, les conflits entre nous ne cessaient jamais. Nous nous disputions toujours, et ne pouvions être d'accord sur rien. Nous avons commencé à nous mépriser l'un l'autre et à nous insulter.

Après avoir eu des enfants, je ne voulais pas en prendre la responsabilité et je me suis porté volontaire pour être transféré et travailler à l'extérieur de la ville. J'avais un travail facile et je ne lui ai jamais demandé la manière dont elle prenait soin de nos deux enfants et de notre maison, en plus d'occuper un emploi. Quand j'étais à la maison pendant mon congé, tout ce que je faisais était de me soûler et de créer des problèmes.

Pendant des dizaines d'années, j'ai été égoïste et déraisonnable. Ma femme m'en voulait et était toujours épuisée et contrariée. Elle aurait divorcé sans les enfants. Sa santé s'est détériorée et elle a tenté de se suicider plusieurs fois. Je pouvais presque voir la fin de cette famille.

Elle a commencé à pratiquer le Falun Dafa au cours de l'hiver 1996. Quelques jours après le début de la pratique, les maladies chroniques qui la tourmentaient depuis des dizaines d'années ont disparu. Son apparence et son état mental ont changé radicalement. Elle avait de nouveau l'air jeune.

Elle nous traitait bien, moi ainsi que tous les membres de ma famille, et elle n'a jamais dit que je lui faisais du mal. Elle était douce, gentille et prévenante et n'était plus une bombe à retardement avec un air sérieux. Les enfants ont commencé à avoir le sourire aux lèvres.

Le Falun Dafa est si puissant ! Il l'a changée et a transformé ma maison en un endroit paisible et chaleureux. J'étais si content que j'ai obtenu de bons résultats dans ma carrière et, comme j'avais un diplôme universitaire, j'ai reçu une promotion.

Abandonner les notions humaines

Ma famille était très pauvre quand j'étais enfant, et donc l'argent était probablement plus important pour moi que la vie. Je pouvais perdre le sommeil pour quelques sous. Après m'être marié, je contrôlais le salaire de ma femme et elle devait avoir ma permission pour acheter quoi que ce soit. Nous nous disputions toujours au sujet de l'argent.

Après avoir appris le Falun Dafa, elle ne souciait plus de l'argent. J'étais totalement incrédule et je me demandais si elle avait perdu la raison. Quand elle lisait les livres du Falun Dafa à voix haute, je l'écoutais. Je sentais que les enseignements étaient excellents et je me disais que « je pourrais le faire ».

J'ai essayé d'abandonner mon attachement à l'argent. J'ai arrêté de négocier et j'ai résisté à l'envie de ramasser des matières recyclables dans les rues pour les revendre.

Mes principales dépendances étaient le tabagisme et la consommation excessive d'alcool. Comme ma femme n'avait plus mauvais caractère, j'ai commencé à me demander si je pouvais arrêter de fumer. J'étais très jeune quand j'ai commencé et je ne pouvais tout simplement pas arrêter. Ma dépendance s'était aggravée avec les années. Je doutais de pouvoir y arriver.

J'ai écrit les mots du Maître sur ma paume :

« C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

Quand les choses sont devenues très difficiles, j'ai regardé les mots dans ma main. Étonnamment, j'ai arrêté de fumer en quelques jours après quarante ans ! Je n'aurais pas pu faire ainsi sans l'aide du Maître et du Falun Dafa.

Peu à peu, la douleur de mon estomac et ma toux ont disparu. Le Maître, le fondateur de Dafa, a purifié mon corps même si je n'étais pas un pratiquant !

Une fois, je nettoyais les toilettes et j'ai accidentellement éclaboussé de l'acide sulfurique concentré dans mes yeux. La douleur était atroce. J'ai supplié le Maître de m'aider et la douleur a immédiatement cessé. J'ai aspergé abondamment mes yeux d'eau et ils étaient comme neufs.

La chance arrive en soutenant le Falun Dafa

J'ai pris ma retraite tôt en 1999, et je voulais cesser de boire avant de devenir officiellement un pratiquant de Falun Dafa. Malheureusement, la persécution a été lancée par le Parti communiste chinois (PCC). J'ai abandonné l'idée devant la répression sanglante. Ma femme a refusé d'abandonner le Falun Dafa.

Craignant de tout perdre, je m'inquiétais pour l'avenir de mes enfants et la sécurité de ma femme. Je buvais excessivement et me disputais avec ma femme. J'ai blasphémé et dit beaucoup de choses irrespectueuses envers le Maître et le Falun Dafa. Ma santé a commencé à se détériorer. Ma femme parlait fréquemment de la raison pour laquelle la persécution était mauvaise. J'ai finalement compris que c'était une bonne pratique. J'étais déterminé à soutenir ma femme.

Elle a été arrêtée deux fois et détenue après s'être rendue à Pékin pour demander le droit de pratiquer le Falun Dafa. Je lui ai montré mon soutien. Quand elle s'est cachée, les autorités ont retenu son salaire pendant six mois. Je lui ai rendu visite et l'ai encouragée quand elle était incarcérée.

Les autorités sont venues m'arrêter une nuit alors que j'étais saoul. Il sont partis, sachant que j'avais bu et que les pratiquants ne boivent pas. Quelques jours plus tard, il m'ont emmené au poste de police, voulant savoir où était ma femme. Je leur ai créé beaucoup d'ennuis et j'ai été libéré quelques heures plus tard sans leur avoir rien dit.

Une autre fois, ils m'ont conduit à travers la ville me demandant de pointer où ma femme était. J'étais saoul, j'ai dit des bêtises, je me suis endormi et j'ai failli vomir dans la voiture. Ils m'ont ramené chez moi et ne m'ont plus jamais dérangé.

Ma femme est finalement revenue à la maison. Pour lui permettre d'étudier davantage les enseignements et clarifier la vérité au sujet de Dafa, j'ai assumé les tâches ménagères. Quand elle avait besoin d'argent pour fabriquer des documents de Dafa, je ne l'ai jamais questionnée. Quand elle était trop fatiguée et ne se levait pas à minuit pour émettre la pensée droite, je restais éveillée juste pour pouvoir la réveiller. Cela a duré quelques années et elle a finalement réalisé qu'elle devait le faire toute seule.

Grâce à mon soutien envers le Falun Dafa, la chance a tourné. Ma pension était beaucoup plus élevée que mes collègues avec une expérience semblable. Ma santé s'est améliorée et mes enfants se sont mariés et ont obtenu des emplois stables.

Le Maître sauve ma vie

Un matin, j'étais en route pour aller voir ma mère à l'hôpital et une voiture m'a heurté alors que je traversais la rue. J'ai été projeté dans les airs et je suis tombé sur le toit avant de tomber au sol. Les gens se sont regroupés et ont commencé à condamner la jeune conductrice. Elle était terrifiée et tremblait alors qu'elle demandait si je voulais aller à l'hôpital, les mots du Maître me sont venus à l'esprit : « le bien ou le mal surgit d'une seule pensée. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

Je savais qu'elle conduisait trop vite, car elle ne voulait pas être en retard au travail, et qu'elle ne voulait pas me heurter. Lentement, je me suis levé et j'ai étiré mes jambes. Je lui ai dit : « Je vais bien et je ne vous extorquerai pas d'argent. »

Entendant ce que j'ai dit, les témoins m'ont dit : « Vous ne pouvez pas simplement la laisser partir. Vous avez eu peur, ce qui n'est pas bon pour votre cœur. Vous êtes mentalement traumatisé. Demandez-lui une compensation. Elle vous a frappé et ce n'est que justice de la faire payer. »

J'ai refusé de prendre l'argent de la conductrice. Les gens lui ont dit qu'elle était vraiment chanceuse. Elle pleurait tout en me remerciant à plusieurs reprises.

À plusieurs reprises, j'ai voulu lui dire, à elle ainsi qu'à chacune des personnes présentes, que j'étais une bonne personne, car je suivais les principes du Falun Dafa. Je n'ai pas été blessé par le grave accident, car le Maître m'a protégé. Cependant, une grande peur m'a empêché de parler et d'expliquer les faits en public. Le Maître m'a plus tard donné une autre chance de le faire, mais j'ai encore échoué.

J'ai de nouveau rencontré la conductrice à l'hôpital où ma mère était. Elle m'a de nouveau remerciée et m'a dit qu'elle travaillait là. Elle m'a dit que je pouvais lui demander de l'aide si j'avais besoin de quoi que ce soit. J'étais encore trop effrayé pour clarifier la vérité. Je regrette profondément de ne pas avoir pu lui parler de Dafa. J'ai écrit cet article pour compenser ma négligence. Je veux que tout le monde sache : « Falun Dafa est bon ! »

Traduit de l'anglais