Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Transformer les mauvaises choses en bonnes choses

6 février 2020 |   Écrit par une pratiquante de Falun Gong dans la province du Hunan, Chine

(Minghui.org) Lorsque des pratiquants en Chine ont été arrêtés alors qu'ils distribuaient des informations sur le Falun Gong, beaucoup d'entre eux ont profité de l'occasion pour clarifier les faits sur le Falun Gong à la police, transformant une mauvaise chose en une bonne chose. En voici deux exemples.

Je suis sortie du poste de police avec la pensée droite

Un homme âgé m'a attrapée alors que je distribuais des informations sur le Falun Gong en août 2019. Je lui ai dit : « Vous serez béni si vous lisez ces informations et découvrez la vérité sur le Falun Gong. J'essaie d'être une bonne personne selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Me laisserez-vous partir ? »

Il a refusé. Un passant est intervenu et a dit : « Vous avez le choix de le lire ou non. Pourquoi la dérangez-vous ? Elle n'a rien fait de mal. Laissez-la partir. » Il ne voulait toujours pas bouger et a commencé à appeler la police. Je me suis dit : « Vous ne pourrez pas passer l'appel. »

En effet, il a essayé trois fois et personne n'a répondu. En colère, il a tenté de me pousser. J'ai dit : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-tolérance est bon » en réponse. Je savais que le Maître me protégeait et qu'il ne pourrait pas me faire de mal.

Il a cessé de me pousser et a appelé le directeur du comité de quartier, qui a à son tour appelé la police.

J'ai continué à émettre la pensée droite pour éliminer le mal derrière lui. J'ai dit : « Il est très important que vous lisiez ce que je distribue. Je fais cela pour votre bien. »

Quelques personnes du comité de quartier sont arrivées peu après. L'un d'entre eux a pris une copie des documents à lire. Alors qu'il lisait l'information sur les caractères gravés dans la pierre depuis environ 200 millions d'années, qui disaient « Le Parti communiste chinois sera éliminé », je lui ai dit que c'était un indice du Ciel. Il n'a rien dit.

Deux agents de police sont venus et m'ont emmenée au poste. J'ai continué à émettre la pensée droite sur le chemin. Ils m'ont demandé mon nom et mon adresse et où j'avais obtenu les documents. Je ne leur ai pas répondu et j'ai décidé de ne pas coopérer. Ils ont souri et m'ont dit : « Nous vous libérerons si vous nous dites votre nom ; sinon, nous vous emmènerons au poste. »

Je n'ai pas répondu et j'ai continué à émettre la pensée droite. Puis j'ai commencé à leur parler du Falun Gong et de la persécution. Ils ont écouté en silence.

L'un d'entre eux a soudain demandé : « Que voulez-vous dire quand vous parlez du De (vertu) ? » J'ai dit : « Quand on fait de bonnes actions, on accumule du De. Ceux qui ont du De (vertu) en abondance sont récompensés par une grande fortune et un statut élevé. La police est censée arrêter les mauvaises personnes au lieu des bonnes personnes comme les pratiquants de Falun Gong. Vous et vos enfants serez bénis si vous me laissez partir. C'est une loi céleste que le bien est récompensé tandis que le mal est puni. »

Au poste, j'ai commencé à réciter le Fa et je me suis rappelé : « Maître Li est celui qui détermine mon destin - personne d'autre. Je ne devrais pas être dans un poste de police. Je dois rentrer chez moi. » J'ai continué à émettre la pensée droite pour détruire les facteurs maléfiques derrière la police.

Ils m'ont redemandé mon nom et j'ai toujours refusé de répondre. Ils m'ont dit : « Si vous ne nous dites pas votre nom, comment pouvons-nous vous laisser rentrer chez vous ? » Je lui ai répondu : « Vous n'avez pas à me libérer. Je sortirai d'ici moi-même. » Je savais que le Maître était à mes côtés et veillait sur moi. Je n'avais aucune crainte.

Peu de temps après, un des agents de police est parti régler une autre affaire tandis que l'autre est allé dans une autre pièce pour discuter avec ses collègues. Comme il n'y avait personne d'autre dans la salle d'interrogatoire, j'ai quitté le poste.

La police avait pris mon sac à main avec mon argent et ma carte de transport dedans, alors j'ai dû marcher jusqu'à 21 heures ce soir-là pour rentrer chez moi. Mon mari pratiquant émettait la pensée droite quand j'ai franchi la porte. Nous avons tous deux remercié le Maître pour sa protection et pour m'avoir ramenée à la maison saine et sauve.

J'ai alors cherché à l'intérieur des failles dans ma cultivation. J'ai découvert que j'étais souvent endormie lorsque j'émettais la pensée droite et prenais le bus pour aller raconter aux gens les faits concernant Dafa. De plus, j'étais très attachée à mes enfants et à la compétitivité, ce qui a contribué à la faille dans ma cultivation.

Je suis reconnaissante au Maître de m'avoir aidée à résoudre les problèmes de ma cultivation. Dans le temps qui me reste pour la rectification de Fa, je vais me débarrasser de tous mes attachements et suivrai le Maître pour revenir à la maison.

Aider les policiers à démissionner du PCC pendant mon interrogatoire

J'ai été arrêtée et emmenée au poste de police local pour avoir distribué des informations sur le Falun Gong en janvier 2016. Quand ils m'ont emmenée dans une pièce avec des caméras de surveillance, j'ai dit : « Je n'irai pas dans cette pièce. » Ils m'ont ensuite emmenée dans une autre pièce et j'ai refusé d'y entrer parce qu'il y avait aussi des caméras. Ils ont dû éteindre toutes les caméras, y compris celle qui se trouvait sur l'épaule d'un agent de police, avant que j'accepte d'entrer dans la pièce.

Ils m'ont ensuite dit de m'asseoir sur la chaise qui était destinée à la personne interrogée. J'ai dit : « Je n'ai enfreint aucune loi. Je ne vais pas m'asseoir là. » Je me suis alors assise sur une autre chaise.

Lorsqu'un agent m'a demandé pourquoi je distribuais des brochures, j'ai répondu : « Pour sauver les gens. » Ils m'ont demandé qui m'avait dit de le faire et j'ai répondu : « Je voulais le faire moi-même. »

J'ai continué à émettre la pensée droite. Un des trois agents est parti, et j'ai commencé à parler à un agent du Falun Gong et de la démission du PCC pour sa propre sécurité. Il a finalement accepté d'en démissionner.

Des agents de police sont venus et sont partis. Ils m'ont parlé les uns après les autres. Je leur ai tous expliqué la vérité et cinq d'entre eux ont accepté de démissionner du PCC. Mon arrestation s'est avérée être une bonne chose.

Finalement, ils m'ont demandé de signer un bout de papier, mais j'ai refusé. Un agent m'a dit : « Oubliez ça, nous vous laisserons partir. »

Après environ treize heures, je suis sortie du poste de police.

Traduit de l'anglais