(Minghui.org) À cause de la propagation du coronavirus, notre ville a été mise en quarantaine le 26 janvier. Toutes les routes étaient bloquées et surveillées. Même si le Nouvel An chinois est la période la plus effervescente de l'année, les rues étaient désertes.

Je me sentais triste, mais je me suis souvenu ce que le Maître a dit :

« J’ai dit qu’un pratiquant n’a pas d’ennemi, que vous ne pouvez que sauver les êtres humains » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à la ville de Chicago », Enseignement de Fa dans les conférences VII)

Ma fille, qui est aussi pratiquante, a suggéré que j'aille au supermarché et que je clarifie la vérité sur le Falun Dafa. Chaque fois avant de sortir, j'émets la pensée droite très fort pour nier les arrangements des forces anciennes et pour éliminer complètement les entités négatives qui persécutent les gens et qui les empêchent d'apprendre la vérité.

Le 28 janvier, je suis allée au supermarché. C'est un endroit si spacieux, mais il y avait seulement quelques clients. Lorsque j'ai mis un carton de lait dans mon panier d'achats, j'ai dit à la jeune vendeuse du magasin que porter un masque facial n'était vraiment pas confortable. Elle a dit : « Le coronavirus se répand, nous n'avons pas le choix ! » Je me suis rapprochée et j'ai dit : « Plusieurs disent “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, et démissionnent du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Ils se sentent bénis et en sécurité. » Comme je lui parlais, je lui ai donné un petit souvenir.

Elle l'a pris et a dit : « Je ne suis qu'une personne ordinaire. » J'ai soudain réalisé qu'elle était une pratiquante de Falun Dafa. J'ai souri et j'ai dit : « Ne soyons pas ordinaires. » J'ai pensé qu'elle était très humble.

Une semaine plus tard, en lisant le Fa avec ma famille, ma fille a lu :

« Quand une personne supérieure entend parler du Tao, elle le pratique avec diligence ; quand une personne moyenne entend parler du Tao, tantôt elle le pratique, tantôt non. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

J'ai pensé à ce que la pratiquante avait dit au supermarché. Était-elle humble, ou était-ce vraiment son état de cultivation ? J'ai senti que je devais aller de nouveau la voir.

Lorsque je suis allée au supermarché, la pratiquante m'a vue et s'est exclamée : « J'ai pensé à toi hier. Maintenant tu es ici ! » Lorsque je me suis rapprochée, elle a dit : « Je n'ai pas lu l'Hebdomadaire Minghui depuis longtemps. Peux-tu m'en trouver un exemplaire ? » J'ai dit : « Oui. Je vais t'en apporter chaque fois qu'un nouveau sera publié. » Je lui ai donné les exemplaires de l'Hebdomadaire Minghui que j'avais et quelques autres souvenirs.

Lorsque je suis retournée chez moi, j'ai téléchargé et imprimé deux exemplaires de l'Hebdomadaire Minghui précédent. Je lui ai aussi donné d'autres dépliants et magazines de Dafa.

Se souvenir d'aider nos compagnons de cultivation

Il y a trois ans, j'ai rencontré une compagne de cultivation de mon âge. Elle m'a saluée chaleureusement et a demandé si j’interagissais avec d'autres pratiquants, si je lisais l'Hebdomadaire Minghui et si je participais aux études locales du Fa. Lorsque j'ai dit oui à toutes ses questions, elle s'est sentie rassurée. Maintenant, lorsque je me compare à elle, je me sens honteuse. Après avoir pratiqué pendant tant d'années, je ne pense toujours pas aux autres ! Grâce à l'arrangement du Maître, j'ai pu aider la pratiquante au supermarché.

J'ai apporté les documents à la pratiquante le jour suivant et j'ai dit : « Je viendrai chaque semaine. Si tu as besoin de quoi que ce soit, fais-le-moi savoir. »

Le matin du 18 février, je suis allée au supermarché et je lui ai donné d'autres documents de Dafa. Elle était si contente. Elle a dit tranquillement : « Ces documents sont si bons. Je suis très paresseuse, mais je dois rapidement les distribuer. Veille à m'en donner plus. Je vais les distribuer ce soir après le travail. »

En route vers la maison, mon cœur ne pouvait se calmer. Pendant plusieurs années, je ne pouvais faire face à ma paresse et je ne voulais pas la reconnaître. Mon cœur de rechercher le confort me faisait rater l'émission de la pensée droite à minuit. Je trouvais toujours des excuses pour ma paresse. La compagne de cultivation a ouvertement admis : « Je suis très paresseuse ! » Cela m'a profondément affectée.

Il semblait que je l'aidais, mais c'est plutôt cette jeune pratiquante qui m'a aidée. Elle est comme un miroir qui reflète mes attachements. J'ai encore beaucoup à apprendre. Je dois chérir notre relation et bien faire les trois choses.

Traduit de l'anglais