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Reportages des médias sur le virus du Parti communiste chinois

25 mars 2020 |   Écrit par Ying Zi et Shirley, correspondants pour Minghui

(Minghui.org) Alors que la pandémie de coronavirus ravage des pays hors de Chine, le Parti communiste chinois (PCC) renforce sa machine de propagande et répand des rumeurs selon lesquelles l'armée américaine pourrait avoir apporté le virus à Wuhan. De plus en plus de personnes et de médias en viennent à comprendre que la dissimulation des informations et les mensonges continus du PCC concernant le coronavirus sont la cause première de la pandémie mondiale.

Le journal allemand Bild, l’un des plus vendus en Europe, a écrit à propos de la Chine : « L'explosion de l'épidémie de Coronavirus nous montre de la manière la plus douloureuse : le pays du sourire ment en nous souriant. Encore et encore. »

Un article du Washington Post a donné au coronavirus un meilleur nom : « Appelons-le simplement le virus du PCC. C'est plus précis et n'offense que ceux qui le méritent. »

Un article du Wall Street Journal estime que les liens étroits de l'Iran avec la Chine ont peut-être contribué à l'explosion des cas de coronavirus : « La trajectoire exacte du virus n'est pas claire. Mais le partenariat stratégique de l'Iran avec Pékin a créé une constellation de contacts potentiels qui ont aidé à déclencher la maladie, appelée Covid-19. »

Bild : Mensonges du PCC

« Les réalisations les plus réussies de la Chine incluent la porcelaine, le papier et la tromperie », a écrit Bild dans un article du 12 mars, titrant « C'est ainsi que la Chine sourit à la face du monde ».

Selon l'article, le PCC a caché l'épidémie de coronavirus depuis le début et a puni les personnes qui l'ont dénoncée. Le nombre de cas a été sous-déclaré dans le cadre de la censure, laissant les étrangers dans l'ignorance du nombre réel de cas d'infection et de décès.

Et les mensonges continuent à présent, le PCC prétendant que le virus est venu des États-Unis.

L'article de Bild estime que la dépendance de l'Allemagne à l'égard de la Chine l’a amenée à croire aux mensonges du PCC sur le coronavirus et sur bien d'autres choses. Par exemple : « Parce que Volkswagen vend des millions de voitures par an en Chine, le patron de VW ne veut rien savoir des camps de rééducation chinois pour les Ouïghours et les soi-disant fauteurs de troubles. »

« Il n'y a qu'une seule chose qu’on puisse croire s’agissant de la Chine : sur le chemin de la superpuissance, ses mensonges sur le coronavirus n’étaient pas leur dernière tromperie dans le monde. C'est à nous de décider comment nous allons traiter leurs mensonges », déclarait l'article.

Washington Post : le virus du PCC

Le 19 mars, le Washington Post a publié un article de Josh Rogin intitulé « Ne blâmez pas la Chine pour le coronavirus - blâmez le Parti communiste chinois ».

Rogin a exprimé son soutien aux États-Unis pour faire reculer les tentatives du PCC de réécrire l'histoire du coronavirus. « Nous devons tous être précis en blâmant le Parti communiste chinois pour ses actions. C'est le PCC qui a caché l'épidémie de virus pendant des semaines, réduisant au silence les médecins, emprisonnant les journalistes et contrecarrant la science - notamment en fermant le laboratoire de Shanghai qui a rendu publique la première séquence du génome du coronavirus », a-t-il écrit.

Il a cité Christopher Walker, vice-président pour les études et analyses à la Fondation Nationale pour la Démocratie, disant : « Il est essentiel de se rappeler que le peuple chinois n'a pas son mot à dire dans les mesures prises par son gouvernement » et que « dans la brume du traitement autoritaire de l’information et de la désinformation venant à présent de Pékin, nous ne pouvons pas perdre de vue l'échec massif de la gouvernance autoritaire au point d'origine de la pandémie mondiale ».

Pour cette raison, il est important de distinguer le peuple chinois du PCC. « En Australie, la classe politique a débattu des opérations d'influence du PCC pendant plusieurs années. Un rapport publié par L’Institut australien de stratégie politique (Australian Strategic Policy Institute (ASPI)) a suggéré des directives claires sur la façon d'éviter le piège. Le rapport indique que nous devrions éviter les généralisations, faire une distinction claire entre le gouvernement chinois et le peuple chinois, et veiller à ne pas aliéner ethniquement les citoyens chinois chez nous. En retour, nous devons également veiller à ne pas attribuer des motifs racistes (sauf justification) à ceux qui critiquent les autorités chinoises », déclare l'article.

Rogin a également cité John Fitzgerald, professeur émérite au Center for Social Impact de l'Université de Technologie de Swinburne à Melbourne, disant : « Avant tout, le PCC s'est engagé dans une politique de cloisonnement pour saper le débat public légitime sur la politique et la conduite du gouvernement chinois en Australie. »

Nous devons continuer à faire pression sur Pékin pour plus de transparence et de vérité, qui sont cruciales pour arrêter la pandémie, déclarait l'article.

« Arrêtons de dire virus chinois - non parce que tous ceux qui l'utilisent sont racistes, mais parce qu'il joue inutilement dans les tentatives du Parti communiste chinois de nous diviser et de détourner notre attention de leurs mauvaises actions », a conclu Rogin, « appelons-le simplement virus du PCC. C'est plus précis et n'offense que ceux qui le méritent. »

Wall Street Journal : l'Iran et le virus du PCC

« L'intérêt stratégique de la Chine pour l'Iran s'intensifie. Les fabricants chinois cherchent à établir de nouvelles opérations en Iran, et Téhéran est considéré comme une plaque tournante du transport et de la logistique », déclare un article sur Oilprice.com intitulé « L'Iran va devenir une plaque tournante essentielle de l'initiative Belt and Road en Chine ».

Un article de Benoit Faucon publié dans le Wall Street Journal le 11 mars se demandait si les liens étroits de l'Iran avec la Chine exacerbaient la propagation du coronavirus dans le pays. L'article du Wall Street Journal était intitulé « Un partenariat stratégique avec la Chine est à l'origine de l'épidémie de coronavirus en Iran ».

« Les responsables iraniens retracent les origines de l'épidémie de coronavirus du pays jusqu'à la ville sainte de Qom, qui abrite des dizaines de séminaires et sanctuaires religieux - mais aussi un certain nombre de projets d'infrastructure soutenus par la Chine construits par des dizaines de travailleurs et de techniciens chinois », déclare l’article. « Ce lien critique avec la Chine, centré à Qom, a aidé à maintenir l'économie iranienne en vie face aux sanctions américaines. Et il est maintenant soumis à des tests de résistance par le coronavirus. »

Les responsables de la santé iraniens ont déclaré que le coronavirus en Iran provenait soit de travailleurs chinois, soit d'un homme d'affaires iranien qui s'est rendu en Chine. Jusqu'à présent, plus de 20 000 personnes, dont des hauts fonctionnaires, ont été infectées.

« M. Jahangiri est le plus haut responsable iranien à être infecté par le virus. La liste des responsables infectés compte également plus de 20 législateurs, ainsi que Masoumeh Ebtekar, porte-parole des étudiants iraniens qui ont assiégé l'ambassade des États-Unis à Téhéran en 1979 et qui sert actuellement en tant que vice-présidente junior et femme iranienne de plus haut rang au sein du gouvernement. Le vice-ministre de la Santé Iraj Harirchi, l'éminent réformiste Mahmoud Sadeghi et le chef de la commission de politique étrangère du Parlement, Mojtaba Zonnouri, ont également été infectés », écrit l'article.

Voir aussi en chinois :

华尔街日报-伊朗疫情暴发根源受审视

德国图片报-中共微笑着欺骗了世界

Traduit de l'anglais