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Surmonter les épreuves lors du sauvetage des pratiquants

13 avril 2020 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans le nord-est de la Chine

(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa (aussi connu sous le nom de Falun Gong) au cours de l'hiver 1995. La première fois que j'ai lu le Zhuan Falun, les paroles du Maître ont pris racine dans mon cœur.

Le Maître, le fondateur du Falun Dafa, a dit :

« Notre Falun Dafa protégera les élèves des déviations. Comment vous protégera-t-il ? Si vous êtes quelqu'un qui cultive et pratique véritablement, notre Falun vous protégera. Je suis enraciné au plus profond de l’univers ; si quelqu’un était capable de s'en prendre à vous, c'est à moi qu’il s'en prendrait et pour le dire carrément, il s'en prendrait à l'univers. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Les pratiquants de Falun Dafa n'étaient pas persécutés à l'époque, mais je savais qu'aucune entité maléfique ou sombre ne pouvait me nuire tant que je suivais le principe du Fa « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ».

Sauver ma fille d'un centre de lavage de cerveau

Après que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Gong en juillet 1999, la direction de l'entreprise de ma fille l'a emmenée dans un centre de lavage de cerveau en mars 2001, et lui a fait payer 5000 yuans par mois pour cela.

Ils ont menacé de l'emmener dans un camp de travaux forcés si elle n'abandonnait pas sa croyance. Mon mari, qui n'est pas un pratiquant de Dafa, a failli faire une dépression nerveuse. Il buvait souvent et se disputait avec moi à propos de l'arrestation de notre fille, et il m'en voulait parce que je lui avais présenté le Falun Dafa. Mon mari ne voulait pas non plus me laisser l'accompagner quand il allait lui rendre visite au centre de lavage de cerveau.

Je voyais ma fille non seulement comme mon enfant, mais aussi comme une compagne de cultivation. Comment pouvais-je la laisser seule alors qu'elle était confrontée à d'énormes tribulations ? Je savais que je devais lui rendre visite et l'encourager, pour renforcer sa croyance en Maître et en Dafa ! J'ai donc décidé de lui rendre visite un week-end sur deux, quand mon mari n'y allait pas.

Il s'est moqué de moi lorsqu'il a appris mon plan, me disant : « Ne perds pas ton temps ! Ils ne te laisseront pas entrer. Ils savent que tu es une pratiquante. »

Je n'ai jamais pris de rendez-vous pour voir ma fille au centre de lavage de cerveau, mais j'ai quand même pu la voir. Ni le garde de la sécurité ni la réceptionniste ne m'ont arrêtée. Lorsque je suis arrivée au quatrième étage, où ma fille était détenue, le gardien de service m'a demandé : « Que faites-vous ici ? Avez-vous pris rendez-vous ? »

Je lui ai simplement répondu : « Ne m'avez-vous pas demandé de venir la voir ? »

Bien que ma fille ait été surveillée de près tout le temps, nous nous sommes comprises par contact visuel et par un langage simple.

Pendant cette période, les articles de notre vénéré Maître sortaient l'un après l'autre, renforçant ma pensée droite.

Le Maître a dit :

« Durant la rectification de Fa, les disciples de Dafa sont déjà en train de mettre en œuvre pleinement les pouvoirs de gong. Par exemple, au cours de la rectification de Fa, lorsque la pensée droite est très pure, les pouvoirs de gong se déploient de manière très complète, et de nombreux disciples peuvent dans leur pensée droite les utiliser à volonté, ils ont à disposition presque tout ce qu'ils emploient. » (« Qu'est-ce que les pouvoirs de gong », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

J'ai décidé d'utiliser mes capacités surnaturelles et mes pouvoirs divins pour aider ma fille. J'ai pensé à des moyens de lui apporter les récents articles du Maître, ainsi que de la nourriture et des vêtements.

Lors d'une visite fin juin, je ne lui ai apporté qu'un chemisier d'été, pensant qu'elle devait rentrer chez elle avec le chemisier. J'ai émis la pensée droite sur le trajet pour aller la voir.

Quand je suis arrivée au centre de lavage de cerveau, je suis allée directement au quatrième étage, comme d'habitude. Mais cette fois-ci, il était fermé à clé. J'ai tenu la porte tout en émettant la pensée droite, essayant de passer en utilisant des pouvoirs divins.

La porte s'est ouverte et je suis entrée. Les gardes ont été surpris de me voir et m'ont demandé comment j'étais entrée. Ils ont alors téléphoné pour que d'autres gardes viennent et m'emmènent.

Je leur ai remis le chemisier et j'ai émis la pensée droite pour éliminer les facteurs des forces anciennes qui persécutaient ma fille.

Quand d'autres gardes sont arrivés, ils m'ont reconduite dehors et m'ont laissée dans la cour. Il n'y avait personne aux alentours, alors j'ai affiché un dépliant clarifiant la vérité sur un pilier. Quand je suis arrivée à la porte principale, j'ai affiché un dépliant de chaque côté des portes.

Les gardes en service à l'entrée m'ont jeté un coup d'œil, mais n'ont pas vu ce que je faisais. Je suis alors rentrée chez moi, en émettant la pensée droite le long du chemin du retour.

Ma plus jeune fille m'a appelée deux jours plus tard pour me dire : « Maman, je suis allée voir ma sœur avec papa aujourd'hui. Les gardes lui ont crié dessus, disant qu'il ne les aidait pas en ne te surveillant pas. Ils ont également mentionné que tu as affiché des dépliants dans la cour. Fais attention, papa pourrait te battre ! »

À ma grande surprise, mon mari est resté calme quand il est rentré à la maison ce soir-là. Il m'a dit que le directeur du centre de lavage de cerveau était furieux et qu'il ne voulait pas que d'autres pratiquants de Dafa y aillent et affichent des dépliants. Il voulait que l'entreprise de ma fille la reprenne le plus vite possible.

Quelques jours plus tard, ma fille a quitté le centre de lavage de cerveau. Elle portait le chemisier que je lui avais acheté, comme je l'avais souhaité.

Au travers de cet incident, j'ai réalisé à quel point notre pensée droite est puissante. Si nous avons une pensée droite forte, la pensée droite des pratiquants détenus sera également renforcée.

Pendant cette période, l'état de cultivation de ma fille n'était pas stable. Elle savait qu'elle ne devait pas renoncer à sa croyance, mais elle avait peur dans le centre de lavage de cerveau.

Chaque fois que j'avais le temps, je disais à ma fille, dans mon esprit : « Je suis toujours là pour te soutenir. Tu n'es pas seule ! » Quand j'étudiais le Fa à la maison, je me disais : « Laissez-la étudier avec moi. »

Après cela, la pensée droite de ma fille s'est renforcée, ce qui l'a aidée à quitter le centre de lavage de cerveau.

Fuir le danger

Je suis allée distribuer des documents de clarification de la vérité en septembre 2001. Il était environ 3 heures du matin, et j'étais en train de mettre un dépliant sur un poteau téléphonique, quand un homme est apparu brusquement. Il regardait le dépliant que je venais d'afficher.

J'ai émis la pensée droite : « S'il vous plaît, laissez-moi tranquille et passez votre chemin, ou bien je vous ferai arrêter. » Je suis alors partie, en émettant toujours la pensée droite.

Il m'a suivie, alors j'ai commencé à courir.

J'avais 52 ans à l'époque, et il avait l'air beaucoup plus jeune. Mais pour une raison quelconque, il n'a pas pu me rattraper. J'ai couru dans une ruelle, qui malheureusement était une impasse. Et il m'a bloqué la sortie.

J'ai continué à émettre la pensée droite pour éliminer les facteurs des forces anciennes qui essayaient de me persécuter.

L'homme regardait son téléphone et passait un appel. Je suis donc passée devant lui.

Il est resté là, à me regarder partir. C'était comme s'il ne pouvait pas bouger, et qu'il était figé sur place.

Quand ma fille est venue chez moi ce soir-là, je lui ai raconté l'incident. Elle m'a dit qu'elle avait fait un rêve tôt ce matin-là. Elle avait rêvé que j'étais poursuivie par une entité maléfique. Puis elle m'a vue acculée dans une pièce, avec la perversité qui bloquait la sortie. Elle a émis la pensée droite et l'entité maléfique a été figée et ne pouvait plus bouger. J'ai donc pu m'échapper.

D'après ce que j'ai compris, cet incident a probablement été organisé par les forces anciennes. Mais tant que nous croyons fermement dans le Maître et le Fa, le Maître nous renforcera et nous aidera à éliminer les arrangements des forces anciennes.

Travailler ensemble pour sauver un pratiquant

Un pratiquant de Dafa de notre région a été illégalement condamné en juin 2008, et a été incarcéré en prison. Il souffrait d'une paralysie de longue durée, était alité et incapable de prendre soin de lui-même. Lorsque d'autres pratiquants ont appris cela, ils ont décidé de se rendre à la prison avec un membre de sa famille, qui est également pratiquant, pour demander aux autorités de le libérer sous caution afin qu'il puisse recevoir des soins médicaux.

Pendant les deux premiers jours, le membre de sa famille est allé seul pour parler au personnel de la prison, tandis que d'autres pratiquants émettaient la pensée droite à proximité de la prison. Mais, nous n'avons pas fait beaucoup de progrès.

Je me souviens avoir lu des articles de certains pratiquants dans l'Hebdomadaire Minghui concernant leurs expériences lors du sauvetage de pratiquants avec les membres de la famille du pratiquant arrêté. Je me suis rendu compte que si nous pouvions travailler ensemble avec les membres de la famille, nous aurions une plus grande force. Je me suis donc portée volontaire pour aller avec ce membre de la famille parler aux autorités de la prison.

Lorsque nous sommes arrivés au Département de l'administration pénitentiaire, nous avons rencontré un agent nommé Liu. Il est devenu furieux après que je lui ai parlé et m'a dit : « Arrêtez de parler ! Je sais pourquoi vous êtes ici. »

Je l'ai regardé dans les yeux et j'ai continué à émettre la pensée droite. Je n'avais aucun ressentiment, j'avais juste de la pitié pour lui.

Il s'est calmé et nous a dirigés vers le bureau du directeur de la prison.

Le directeur voulait connaître notre relation avec le pratiquant emprisonné. Le membre de la famille a dit que j'étais sa tante, mais je n'ai pas répondu, et j'ai juste dit : « Il est handicapé. Vous n'auriez pas dû l'arrêter. Maintenant, vous devez vous arranger pour que des gens s'occupent de lui. Cela ne vous pose pas de problème ? Aujourd'hui, si vous nous aidez, vous vous aidez aussi vous-mêmes, et vous faites une très bonne action. »

Le directeur a accepté et a déclaré qu'il en ferait part au Département provincial de l'administration pénitentiaire.

Après une semaine de clarification de la vérité et d'émission de la pensée droite, les autorités de la prison, du poste de police et du Bureau de la sécurité publique ont toutes accepté de libérer le pratiquant.

Il pleuvait le jour de sa libération, mais plus de dix pratiquants sont venus à la prison ce matin-là. Nous avons continué à émettre la pensée droite à l'extérieur de la prison, et d'autres pratiquants à la maison ont également aidé en émettant la pensée droite.

Vers 11 heures du matin, les autorités de la prison nous ont dit que notre demande était approuvée et que le pratiquant serait libéré l'après-midi même.

Le soleil est apparu au moment où le pratiquant a été libéré, et j'ai senti que le soleil souriait. Je savais que nous venions de gagner une bataille dans d'autres dimensions - une bataille entre le bien et le mal.

Grâce à cet incident, nous avons appris à nous coordonner et à nous élever comme un seul corps, et nous nous sommes tous sentis encouragés.

Soutenir une avocate

Un pratiquant de notre région a été arrêté début mai 2012, et son dossier a été transmis au parquet local.

L'épouse du pratiquant arrêté était une nouvelle pratiquante et elle a insisté pour engager une avocate qu'elle connaissait pour défendre son mari. Alors que l'avocate n'était pas disposée à plaider non coupable pour le mari de la pratiquante, elle a quand même voulu l'engager parce qu'elle se sentait à l'aise pour communiquer avec elle et qu'elle pouvait aussi économiser beaucoup d'argent.

Lorsque nous avons appris cela, certains pratiquants ont pensé que ce serait une perte de temps et d'argent pour elle d'engager une personne qui n'était pas prête à défendre le Falun Dafa au tribunal. D'autres pensaient que nous devions l'arrêter parce que nous ne pouvions pas laisser l'avocate commettre un crime contre Dafa.

Le Maître a dit :

« Là ou un problème apparaît, là il est nécessaire que vous alliez clarifier la vérité, apporter le salut. Il ne faut pas quand on rencontre un problème le contourner. Lorsque nous voyons le dommage que cela nous cause, lorsque nous voyons qu'il y a un obstacle pour nous empêcher de prouver la Loi, il ne faut pas le contourner, il faut aller y faire face pour clarifier la vérité, aller sauver les vies. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Washington DC », Enseignement de Fa dans les conférences II)

J'ai partagé mes réflexions avec les autres pratiquants, et je leur ai dit : « C'est son droit d'engager n'importe quel avocat. Nous ne pouvons que partager avec elle notre compréhension des principes du Fa. Si elle n'écoute pas, nous pouvons essayer d'autres moyens. Par exemple, nous pouvons clarifier la vérité sur Dafa pour l'avocate. Si elle connaît la vérité, je pense qu'elle se choisira un avenir prometteur et plaidera “non coupable”. »

Les pratiquants étaient d'accord avec moi, et deux pratiquants ont proposé de m'accompagner pour aller voir l'avocate.

Nous nous sommes rendus au bureau de l'avocate le lendemain. Quand elle a ouvert la porte, j'ai dit : « Nous sommes des pratiquants de Falun Dafa, et nous sommes venus pour nous assurer que vous connaissiez la vérité sur le Falun Dafa. »

Ces simples mots ont semblé lui ouvrir le cœur et elle nous a chaleureusement invités à entrer.

Nous lui avons parlé du Falun Dafa, de la fausse histoire des auto-immolations sur la place Tiananmen, du rocher dans la province du Guizhou avec les caractères cachés « le Parti communiste chinois périra », et comment le Falun Dafa s'est répandu dans le monde entier.

Je lui ai également conseillé de démissionner du PCC et de ses organisations pour la jeunesse pour s'assurer un bel avenir. Elle a accepté.

Nous avons ensuite discuté du cas du pratiquant arrêté, en espérant qu'elle ferait le bon choix. Elle a dit qu'elle y réfléchirait.

Le lendemain matin, nous sommes retournés au bureau de l'avocate. Nous lui avons parlé davantage et lui avons conseillé de s'opposer à la persécution. Elle est devenue très déterminée cette fois, et a accepté de plaider « non coupable » pour le pratiquant au tribunal.

Cette avocate a courageusement défendu le Falun Dafa devant le tribunal et a défendu le pratiquant.

À partir de cet incident, nous avons appris à laisser tomber nos conceptions humaines et à avoir une foi ferme dans le Maître et le Fa.

Tenter d'aider le chef de la Division de la sécurité intérieure

En participant à des projets visant à sauver des compagnons de cultivation ces dernières années, j'ai eu l'occasion de clarifier la vérité en personne à des agents de la sécurité publique. Parfois, j'ai très bien réussi, mais d'autres fois, non.

La jeune fille d'un pratiquant est venue me voir après l'arrestation de son père au printemps 2014. Elle m'a dit que le chef de la division locale de la sécurité intérieure lui avait demandé d'aller chercher les objets qu'ils avaient confisqués lors de la mise à sac de son domicile. Elle espérait que j'irais avec elle et que je trouverais d'autres pratiquants pour l'aider à émettre la pensée droite.

Après avoir pris des dispositions avec d'autres pratiquants, nous nous sommes rendues à la division locale de la sécurité intérieure. Une dizaine de pratiquants ont aidé à émettre la pensée droite à l'extérieur du bâtiment, tandis qu'un autre pratiquant et moi-même avons accompagné la fille du pratiquant arrêté et sommes entrés. Le chef nous a salués et a donné l'ordre aux policiers responsables d'aller chercher les objets confisqués.

Pendant que nous attendions, nous lui avons expliqué la vérité. Il nous a écoutés attentivement et nous a posé des questions. Nous y avons répondu une par une.

L'atmosphère était assez harmonieuse. Puis, soudain, il m'a demandé : « Comment vous appelez-vous ? » À ce moment, j'ai commencé à réfléchir rapidement et j'ai répondu : « Vous pouvez m'appeler grande sœur ! »

Il s'est mis en colère et n'était plus disposé à nous écouter. Il a même dit qu'il pouvait nous arrêter le jour même.

J'ai plaisanté avec lui, tout en disant dans mon cœur : « Vos paroles ne comptent pas ! Mon Maître a le dernier mot sur les dispositions à prendre pour moi. » Je suis ensuite allée aux toilettes.

Il a demandé à un autre pratiquant si j'étais le chef de file dans notre région. Le pratiquant a répondu : « Non ! Nous n'avons pas de chefs. »

Pendant que j'étais aux toilettes, je me suis demandé pourquoi le chef avait soudainement changé d'attitude. Il semblait se sentir blessé parce que je ne lui faisais pas confiance ou ne le respectais pas. Les forces anciennes dans d'autres dimensions ont vu clairement que je n'étais pas assez honnête.

J'étais en fait une personne rusée qui savait comment se protéger ! Si je pouvais vraiment penser à lui, et lui dire que je n'ai pas donné mon nom pour son propre bénéfice, le résultat aurait été complètement différent. Maintenant, les forces anciennes voulaient me persécuter parce que j'avais des failles dans ma cultivation. J'ai émis une pensée ferme que je ne le laisserai pas commettre un crime contre Dafa !

Quand je suis sortie des toilettes, il était parti dans une autre pièce. Il en sortait parfois, et faisait les cent pas dans le couloir. Je pouvais voir qu'il se débattait dans son esprit.

Nous émettions sans cesse la pensée droite. Au bout d'un moment, il est retourné à son bureau et y est resté. Deux policiers nous ont alors apporté les objets confisqués. Nous avons signé leurs papiers et nous sommes partis.

Chaque fois que je pense à cet incident, j'éprouve des regrets. J'ai aussi regardé à l'intérieur après cet incident, et j'ai envoyé au directeur de la prison des documents de clarification de la vérité, en espérant qu'il pourra encore être sauvé.

Pendant plus de dix ans de hauts et de bas dans ma cultivation, j'ai réussi à marcher sur mon chemin sous la protection compatissante du Maître.

J'ai également constaté un changement dans mon attitude envers les agents de la sécurité publique : au début, j'avais peur d'eux, puis je me suis sentie ennuyée par eux, je me suis battue avec eux et j'ai fini par avoir pitié d'eux. Aujourd'hui, je les traite avec compassion et je ressens vraiment l'urgence de les sauver.

Nous devons croire fermement au Maître et au Fa, et suivre véritablement le principe de Dafa. Plus on se rapproche de la fin, plus les exigences du Fa deviennent élevées et strictes. Même un seul attachement ou une seule conception humaine pourraient nuire à nos efforts pour aider le Maître à sauver les êtres.

Traduit de l'anglais