(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, aussi connu sous le nom de Falun Gong, il y a 26 ans quand j'étais adolescente. À l'époque, ma mère souffrait d'un cancer et mon plus jeune frère était en dépression. Toute ma famille était dans le désespoir.

Le Falun Dafa, cependant, nous a apporté de l'espoir. Maintenant, nous sommes une famille heureuse de trois générations. Mes parents sont octogénaires et sont encore en très bonne santé. Tous se respectent et s'aiment. Tout ce bonheur nous a été donné par Dafa.

Avec une reconnaissance sans borne pour Dafa et Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, j'aimerais partager avec vous les histoires du pouvoir de guérison de Dafa que ma famille a expérimenté.

Dévastés par le cancer de ma mère

Ma mère est le pilier de notre famille. Nous avons été dévastés quand on lui a diagnostiqué un cancer du sein à la fin de 1992, alors qu'elle était presque sur le point de prendre sa retraite. Elle a subi une opération, qui n'a pas été très réussie. Quelques jours après l'opération, une bulle aussi grosse qu'un œuf est apparue à son aisselle. Le sang suintait de la plaie et ne pouvait pas être arrêté. On nous a dit qu'il ne lui restait que deux ou trois ans au maximum à vivre.

Finalement ma mère a pu sortir de l'hôpital plus d'un mois plus tard. Elle était très faible après l'opération et son bras du côté de l'opération avait perdu ses fonctions. L'incision n'était pas guérie même après quelques mois et le sang continuait de suinter. Son médecin ne savait pas quoi faire si ce n'est de désinfecter la plaie. Ma mère faisait des aller-retour entre la maison et l'hôpital.

Durant cette période, nous cherchions toutes sortes de traitements. Elle a même essayé de lire les soutras bouddhistes et la Bible. Mon père questionnait l'entourage pour trouver des guérisseurs qui pourraient avoir des capacités spéciales pour éliminer ce problème. Mon frère aîné cherchait partout des médicaments possibles qui pourraient aider. J'ai même engagé des maîtres de qigong. Rien n'a marché. Presque un an plus tard, les symptômes de ma mère persistaient encore. Elle était dépressive et se sentait impuissante. Nous attendions tous l'arrivée de sa fin fatale.

La dépression de mon plus jeune frère

Mon plus jeune frère était adorable quand il était petit. Il est doué en peinture et ses œuvres d'art ont été exposées à l'étranger.

Je ne peux pas me rappeler quand mon frère a commencé à bégayer. À cause de cela, il est devenu une cible de risées à l'école. Ses enseignants le punissaient pour son bégaiement et ses camarades de classe ricanaient quand il parlait.

Mon frère avait trop peur de nous dire ce qui se passait à l'école et ainsi, ne le sachant pas, nous ne pouvions pas lui apporter de soutien. Nous avions juste remarqué qu'il avait commencé à agir anormalement, et nous l'avons même grondé pour son comportement. Ce n'est qu'après qu'il nous a finalement parlé de ses luttes que nous avons réalisé qu'il avait besoin d'aide. À ce moment-là, il était trop tard. Il a abandonné l'école après avoir terminé ses études secondaires et est allé travailler dans l'entreprise de ma mère. Mais à nouveau il a été moqué sur le lieu de travail à cause de son bégaiement.

Nous avons essayé de nombreuses thérapies, mais aucune ne l'a aidé. Mon frère était un introverti. Il nous blâmait de ne pas avoir de sentiment pour sa douleur et se querellait souvent avec la famille.

La longue période de stress et de dépression l'a conduit à dysfonctionner. Il se frappait souvent la tête contre le mur. Ses cheveux avaient viré au gris, il était irritable et son regard était morne. Il n'avait aucun espoir dans la vie. Il ressemblait à un vieil homme qui avait traversé de nombreuses épreuves dans la vie.

Son état allait en s'empirant. Parler avec des étrangers était devenu un cauchemar pour lui et il ne voulait travailler avec personne. Il ne pouvait pas survivre en société.

Nous nous inquiétions qu'il puisse devenir un patient psychiatrique tôt ou tard si sa dépression ne s'améliorait pas. Mes parents avaient presque abandonné. J'ai pensé l'envoyer dans un temple afin qu'il soit nourri au moins.

Quand le qigong est devenu populaire, mon frère a fait de longs voyages dans divers endroits, espérant trouver un maître de qigong qui puisse guérir son état, mais il revenait toujours à la maison déçu.

En pensant qu'il avait seulement dans la vingtaine et que sa vie semblait destinée à prendre fin très bientôt, il était plus stressé et se sentait sans espoir. Il ne savait vraiment pas ce qu'il aurait pu faire d'autre.

Trouver le Falun Dafa

Le destin de mon frère et celui de notre famille ont changé au printemps 1994, quand mon plus jeune frère a assisté à une conférence de Falun Dafa qui avait lieu à Hefei, dans la province de l'Anhui. Il m'a dit que cette pratique était vraiment bonne. Il avait rapporté un exemplaire du Zhuan Falun, l'enseignement principal du Falun Dafa.

Après avoir lu ce livre, j'ai trouvé des réponses à de nombreuses questions que j'avais au sujet de la vie. J'en suis venue à voir pourquoi je devais devenir une bonne personne. J'ai compris pourquoi les gens tombent malades. J'ai su pourquoi nous venons dans ce monde et où nous irons dans le futur.

Je suis devenue une pratiquante de Falun Dafa et je me suis juré de suivre le Maître pour le reste de ma vie. Cette pensée n'a jamais oscillé depuis 26 ans.

Dans les premiers jours de ma cultivation, une fois, j'ai rêvé qu'un grand Bouddha apparaissait dans le ciel à l'est. J'ai aussi vu des nymphes innombrables, vêtues de vêtements colorés, voler dans le ciel. Les scènes ont été trop spectaculaires pour les décrire.

Ma mère et mon frère sont devenus mes compagnons de cultivation

En juin 1994, mon plus jeune frère a emmené ma mère avec lui, pour assister à une conférence de Falun Dafa que le Maître donnait en personne à Jinan, province du Shandong. À cette période-là, le sang suintait encore de la plaie de ma mère et elle ne pouvait pas lever le bras. Elle avait besoin d'aide quand elle marchait. Nous étions inquiets qu'elle ne puisse pas supporter le voyage.

Dans la salle de conférence, la cicatrice de l'opération de ma mère a disparu et l'incision a guéri immédiatement. Son bras endommagé a repris sa fonction normale et elle pouvait pratiquer les exercices facilement. Son œil céleste a été ouvert et elle pouvait voir le Maître guérir les autres élèves.

Une nuit après la conférence, ma mère, avec un gros coussin d'agenouilloir sur le dos, a joyeusement poussé ma porte. Elle paraissait avoir tellement d'énergie, elle ne ressemblait plus à une patiente faible. J'ai été étonnée par ses changements.

« Va jeter toutes les choses sales qui sont dans ma chambre ! » m'a-t-elle dit.

Sans dire un mot, je me suis immédiatement précipitée dans sa chambre et j'ai déchiré toutes les incantations sur les murs. J'ai jeté toutes les choses sales telles que les couteaux, des charmes écrits en jaune et d'autres qui étaient sous ses oreillers et sous son lit.

Alors que j'étais occupée à cuisiner un repas après cela, mes pensées persistaient dans la joie, l'enthousiasme et l'espoir qui flottaient dans l'air, comme des germes surgissant du sol dans une forêt calcinée.

Après cela, notre famille ne s'est plus sentie désespérée, impuissante et confuse. Nous étions immergés dans la compassion sans limites du Maître. Nous étions renés, physiquement et spirituellement. Cette joie de cultiver dans le Fa était suffisante pour balayer toutes les agonies que nous avions subies dans le passé. Nous étions remplis d'espoir dans l'avenir.

Ma mère et mon plus jeune frère continuaient constamment de se rappeler ces souvenirs heureux de la salle de cours.

Toute la famille est baignée dans la lumière du Fa

Ma mère avait une névrodermite incurable dans le cou, qui la tourmentait depuis plus de 20 ans. Cela devenait pire en été. Elle avait des démangeaisons et des douleurs. Après les conférences de Fa, les symptômes se sont répandus sur tout son corps et cela a duré plus d'un mois. Sa maladie de la peau a alors disparu sans laisser de trace et n'est jamais réapparue. Elle est en très bonne santé depuis.

Depuis les conférences de Fa, mon plus jeune frère a suivi le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Il s'est calmé émotionnellement et son esprit est devenu paisible. Lentement, son bégaiement est parti. Il était vraiment heureux d'avoir une vie normale comme les autres personnes. Puis il s'est marié et il a deux enfants maintenant. Sa famille est tellement harmonieuse que sa belle-mère a dit à ma mère que ce serait merveilleux si sa plus jeune fille pouvait marier une personne comme mon frère.

J'ai apporté à mes élèves la gentillesse et la beauté de Dafa. Mes élèves et leurs parents m'adorent. Les parents ont même imploré le directeur de l'école de me garder comme enseignante de leurs enfants quand j'ai été réassignée à enseigner dans une autre classe. Des choses comme ceci se sont produites plusieurs fois.

Dafa m'a donné la sagesse pour la façon d'améliorer mes techniques d'enseignement. Mon école m'a demandé de fournir un entraînement aux autres enseignants chaque année et m'a nommée enseignante de l'année plusieurs fois.

Quand le Parti communiste chinois a commencé à persécuter le Falun Dafa en 1999, le principal de l'école a été déçu : « C'est comme la Révolution culturelle. Combien de personnes talentueuses ont été persécutées! »

Mon père est béni par Dafa

Bien que mon père et mon frère aîné ne soient pas des pratiquants, ils sont aussi bénis par Dafa. Ayant été témoins des changements chez ma mère, chez mon plus jeune frère et chez moi, ils sont devenus très soutenants dans notre cultivation. Ils ne croient pas la diffamation répandue par le régime communiste et nous ont protégés avec courage dans la persécution.

Mon père avait des maladies chroniques, qui se sont améliorées après que nous avons commencé à pratiquer. À une occasion, il y a quelques années, il est tombé d'un haut tabouret dans la cuisine et sa tête a cogné le sol. J'étais pétrifiée par le bruit fort et j'ai vite couru à la cuisine.

Mon père était par terre. Il m'a demandé de le relever. J'avais peur qu'il se soit cassé quelque chose, mais il n'était pas blessé, à part quelques égratignures sur les orteils. Mon frère aîné a dit : « Si c'était arrivé à quelqu'un d'autre, cette personne serait morte. » Je savais que c'est le Maître qui le protégeait. Il est tombé plusieurs fois sans blessures graves par la suite.

Le Maître a dit :

« N’ai-je pas dit que quand une personne pratique le gong, toute la famille en bénéficie ? » (Enseignement du Fa à la Conférence de Fa d’Australie)

Tout le monde dans ma famille a bénéficié de Dafa. Toute la famille remercie le Maître pour son salut compatissant !

Traduit de l'anglais