Retrouver mon chemin de cultivation au cœur de l'illusion

(Minghui.org) Cela fait plus de 20 ans que j'ai commencé à cultiver le Falun Dafa. J'ai parcouru un long chemin sous la protection de Maître Li. J'aimerais exprimer ma gratitude pour la grâce salvatrice du Maître et partager certaines de mes expériences de cultivation.

Se débattre dans la cuve de teinture de la société humaine

Depuis l'enfance, j'aimais penser à des choses, et je me posais beaucoup de questions : « Comment devrions-nous vivre ? Y a-t-il une vérité dans le monde humain ? » Comme mes parents n'avaient reçu qu'une éducation limitée, je pensais que ce serait merveilleux si je pouvais trouver un professeur extraordinaire pour répondre à toutes mes questions.

J'ai excellé à l'école et j'étais animée par le désir de réussir. Après avoir obtenu mon diplôme, j'ai travaillé dans une agence gouvernementale. J'étais bien payée et j'ai eu une promotion, ce qui a fait l'envie des gens de mon âge. J'étais souvent invitée à des dîners et à des spectacles. Flottant dans le courant de la société, je recherchais la renommée et l'intérêt personnel, et j'avais une très haute opinion de moi-même.

Les relations interpersonnelles étaient très compliquées au travail. Elles semblaient faciles en surface, mais dans les coulisses, les gens se battaient férocement pour des gains insignifiants et s'unissaient pour poignarder les autres dans le dos. La corruption était très répandue. En tant que personne qui avait encore de la bonté dans son cœur, je me sentais très seule et déprimée. La recherche de la renommée et de l'intérêt personnel ne me rendait pas heureuse, car je savais que ce n'était pas ce que je voulais vraiment.

Ma santé s'est détériorée. Pendant l'hiver, juste après avoir donné naissance à mon enfant, en route pour un examen, je roulais à l'arrière d'une moto contre un vent fort. Ce trajet m'a rendu malade et j'ai eu mal toute la journée. Ma tête était comme de la glace, et je n'ai plus pu supporter le vent de toute l'année. En été, je n'ai pas osé utiliser un ventilateur, l'air conditionné ou faire du vélo.

Je saignais aussi souvent du nez. Quand je me bouchais une narine, cela sortait de l'autre. Lorsque les deux narines étaient bouchées, le sang sortait de ma bouche et on ne pouvait pas l'arrêter. Je pouvais facilement remplir les trois quarts d'un bol. On n’a trouvé aucune raison médicale pour expliquer le saignement.

J'avais une fracture du sacrum au niveau des lombaires et un problème rénal chronique. Ma mauvaise santé me rendait très déprimée. De plus, la pression du travail et de la famille me rendait désespérée.

Je n'avais que la vingtaine, et pourtant, ma santé ne cessait de se détériorer. Quels que soient les traitements que j'essayais, que ce soit la médecine chinoise ou occidentale, les ordonnances de médecine populaire ou le qigong, aucun n'a fonctionné.

Beaucoup de gens m'enviaient à l'époque, car il semblait que j'avais une bonne vie. Mais au fond de moi, je me sentais amère et fatiguée. Je ne voyais aucun espoir. Je sentais que la vie était si fragile, et que rien dans le monde humain n'était stable. J'avais encore beaucoup d'énigmes et de questions en tête, et je ne comprenais pas le but de la vie humaine.

Maître Li m'a réveillée

Un jour de printemps 1996, je me suis sentie un peu déprimée, alors j'ai décidé d'aller me promener dans un parc voisin, où j'ai vu un groupe de personnes faire des exercices. Je suis allée les voir et ils m'ont fait découvrir le Falun Dafa et m'ont dit que c'était une pratique de cultivation très vertueuse de l'école de Bouddha. Le Falun Dafa enseigne aux gens à suivre la bonté, et on peut apprendre et pratiquer gratuitement.

J'ai trouvé que le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance était super, alors j'ai fait de mon mieux pour convaincre ma famille de pratiquer ; c'est ainsi que certains de mes proches ont commencé leur cultivation. Cependant, ayant été soumise à l'athéisme, j'avais encore des doutes. Sous prétexte que j'étais occupée au travail et que je voulais réaliser des choses dans la vie, j'ai eu dans l'idée de commencer à pratiquer Dafa après ma retraite. Mais de temps en temps, je me joignais encore à des pratiquants pour étudier le Fa et faire les exercices.

Un jour, au cours de l'automne de 1998, je suis allée déjeuner chez mes parents. Mes parents et mes voisins m'ont parlé d'un étrange incident qui venait de se produire. Une adolescente était venue et avait jeté une brique sur la porte d'entrée de mes parents, ce qui avait brisé la vitre. Le bruit du fracas avait inquiété mon frère. Il a couru après la jeune fille, l'a ramenée et lui a demandé pourquoi elle avait jeté la brique.

Elle a mentionné mon nom et a dit qu'elle était en colère contre moi. Elle a affirmé qu'elle et moi étions d'anciennes élèves de la même école. Elle a pu en plus décrire précisément ce que je portais ce jour-là. Tout le monde en est resté bouche bée. Bientôt, son père est venu. Il s'est excusé et a expliqué qu'elle avait des problèmes de santé mentale.

En réfléchissant à la situation, j'ai senti que c'était important. Même si ce qu'elle avait dit était un peu bizarre, plus j'y pensais, plus je sentais que cela impliquait quelque chose. Je ne l'avais jamais connue personnellement, mais elle connaissait mon nom, l'école que j'avais fréquentée et les vêtements que je portais. Il semblait qu'elle connaissait non seulement mon présent, mais aussi mon passé. Quant aux méfaits qu'elle avait commis, ce n'était pas une coïncidence. J'avais eu un jour un conflit avec une famille et j'avais fait la même chose chez eux. Je me sentais gênée chaque fois que j'y pensais.

Le Maître a parlé du principe de payer ses dettes passées. Il a également dit :

« Puisqu'il s'agit du xiulian, rien sur notre chemin de xiulian n’est par hasard. » (Enseignement du Fa à la conférence de Fa en Nouvelle-Zélande)

Se pourrait-il que le Maître s'en soit servie pour me faire rembourser la dette et que cette jeune fille me donne l'impression qu'elle savait tout sur moi ? Dans la maison de ma famille, il y a des portraits du Maître, donc son fashen (corps de Loi) était là. Je me disais : « Le Maître est venu me chercher, pourquoi je ne veux toujours pas partir avec lui ? »

Le Maître a dit :

« Il y a une partie des élèves ayant suivi mes cours et disposant d’une bonne racine de base, qui ne pratiquent pas à cause de leur lourde charge dans le travail, c’est bien dommage ! S’ils étaient des gens ordinaires communs, je ne dirais plus rien, les laissant agir à leur guise. Mais ces personnes sont prometteuses. La moralité des êtres humains est en train de se dépraver à une allure prodigieuse, et les gens ordinaires se laissent tous porter par le courant. Et plus ils s’écartent du Dao, plus il leur est difficile de se cultiver pour leur retour. En fait, le Xiulian consiste à cultiver le cœur de l’homme, particulièrement dans l’environnement complexe d'une unité de travail, on a justement une bonne occasion d’élever le Xinxing. Une fois à la retraite, n’a-t-on pas perdu le meilleur environnement pour le Xiulian ? » (« Pratiquer après la retraite », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Le Maître a également dit :

«  ...le Xiulian n’est surtout pas un jeu d’enfant, il est plus sérieux que toutes les affaires parmi les gens ordinaires, et il ne peut être considéré comme naturel, une fois l’occasion perdue, quand aura-t-on de nouveau un corps humain lors de la transmigration dans les six voies ? L’occasion prédestinée est unique, c’est seulement quand l’illusion à laquelle vous vous cramponnez aura disparu que vous saurez ce que vous avez perdu. » (« Pratiquer après la retraite », Points essentiels pour avancer avec diligence)

J'ai été éveillée par le Maître bienveillant qui a vu que j'étais perdue dans le monde profane. Craignant que je ne perde ma chance, il avait utilisé la jeune fille pour m'éveiller.

Cette nuit-là, alors que je faisais le deuxième exercice, la position debout du Falun, j'ai pu sentir un grand Falun (roue de la Loi) tourner entre mes bras, dans le sens des aiguilles d'une montre et dans le sens inverse. L'expérience a été incroyable !

Depuis lors, j'utilise Authenticité-Bienveillance-Tolérance comme principe directeur. Avec cela, j'ai trouvé mon but dans la vie. J'ai compris qu'il y a une cause et un effet pour tout, ce qui m'a permis de vivre plus à l'aise.

Toutes les maladies qui me tourmentaient depuis des années ont rapidement disparu, ce qui était vraiment miraculeux. Je me suis complètement éloignée de l'athéisme et du matérialisme. J'étais pleinement convaincue que le Maître est tout-puissant, et que le pouvoir du Falun Dafa est vraiment immense. Ce qui est écrit dans le Zhuan Falun est tout à fait réel !

Une boule de feu a explosé quand mon lieu de travail a commencé à me persécuter

La persécution du Falun Dafa a commencé le 20 juillet 1999. Le Parti communiste chinois (PCC) a utilisé ses médias d'État pour diffamer Dafa et Maître Li dans le cadre d'une campagne globale. Je suis devenue le centre d'intérêt de la direction au travail. Ceux qui m'estimaient beaucoup, comme mes directeurs et mes collègues, ont complètement changé. J'ai dû céder le groupe que je dirigeais à d'autres. J'ai été critiquée lors de différentes réunions pour avoir adhéré à mes convictions. Chacun devait montrer sa position. J'ai subi des contraintes et une répression sans fin.

Un après-midi, la commission du PCC sur mon lieu de travail a planifié une réunion. Je savais qu'elle allait cibler ma pratique de Falun Dafa. Je cultive Authenticité-Bienveillance Tolérance, alors comment pourrais-je abandonner ? Pourtant, je ressentais une pression énorme face à une répression aussi incompréhensible et parce que j'étais novice en matière de cultivation.

Je suis rentrée chez moi pour déjeuner, et juste après être arrivée, j'ai vu une boule rougeoyante entrer dans la pièce par une fenêtre ouverte. Elle était aussi grosse qu'une bassine. Puis, juste au-dessus de l'endroit où je me trouvais, sous la lumière du salon, elle a émis un son minuscule et étouffé. Je n'ai pas eu peur et l'ampoule de la lampe n'a même pas été cassée.

Dès que je suis retournée au travail, un jeune collègue m'a raconté avec enthousiasme qu'alors qu'il se tenait près des fenêtres, il avait vu une grosse boule de feu émerger soudain entre deux gros poteaux électriques, et qu'elle avait dérivé vers la zone résidentielle. Il avait bientôt entendu un boum tonitruant qui était si fort qu'il n'avait presque pas pu le supporter. Tout l'immeuble de bureaux avait tremblé, comme s'il y avait eu un tremblement de terre. Une autre collègue est venue dire qu'elle avait été réveillée de sa sieste de l'après-midi par le grand boum.

J'ai soudain compris. La boule de feu était allée chez moi, mais elle n'avait pas causé de dégâts et même l'ampoule de la lampe était intacte. Cependant, on avait pu entendre le bruit du tonnerre dans l'immeuble de bureaux de très loin. C'était vraiment incroyable ! Je savais que c'était le Maître qui utilisait cette boule de feu pour chasser la perversité, maintenir la justice et aider à renforcer ma pensée droite afin que je puisse lâcher la peur.

Je me suis sentie très calme pendant la réunion que nous avons eue cet après-midi-là. Quelques-uns d'entre eux avaient participé très activement à la persécution avant, mais ils étaient alors tranquilles. Et je n'ai pas abandonné.

L'article du Maître « Le Ciel à nouveau clair » m'a aidée à comprendre le caractère sacré de Dafa :

« Le Ciel est si sombre, la Terre si obscure

Éclate le tonnerre divin, la brume sinistre se dissipe

Tous les diables pourris qui sabotent la Loi sont balayés

Ne dites pas que l'on manque de compassion »

(« Le Ciel à nouveau clair », Hong Yin II)

Une tournée nationale visant à diffamer Dafa est venue dans notre ville, et tous les membres du personnel ont été tenus d'y assister. La direction m'a dit que je devais y aller, alors j'y suis allée. Dans plusieurs salles d'exposition, il y avait des caricatures et des mensonges diffamants le Maître et Dafa sur chaque panneau d'affichage. Face à cet infâme comportement de voyou, je n'ai pas pu le supporter et j'ai dû défendre la vérité. Je me suis donc mise au milieu de la salle et j'ai dit à haute voix : « Tous ces croquis sont faux. Le Falun Dafa enseigne aux gens à suivre Authenticité-Bienveillance-Tolérance et ne permet à personne de se suicider ou de tuer. »

À cet instant, c'était comme si le temps s'était arrêté. Tout le monde me regardait. Il y avait des policiers en civil dans le hall. Très vite, un agent est apparu. Après m'avoir regardé un instant, il est parti sans dire un mot. Sous la protection du Maître j'ai quitté le hall d'exposition avec mes collègues de façon digne et je suis retournée sur mon lieu de travail.

Le Maître m'a aidée à me sortir d'une situation périlleuse

J'ai fait un rêve très clair et très net une nuit de mars 2007. Un groupe de personnes malveillantes s'introduisait chez moi, fouillait partout et confisquait mon ordinateur portable. J'ai partagé ce rêve avec ma mère. Elle était très inquiète, car quelques parents et moi avions été mis sur la liste noire dans notre quartier. Elle m'a demandé de cacher mes documents de Dafa. Mais je n'ai pas compris l'allusion, et je ne l'ai pas prise au sérieux.

Le lendemain matin, un groupe d'agents de la sécurité intérieure en civil a tendu une embuscade au rez-de-chaussée de notre immeuble. Ils ont arrêté mon enfant qui se rendait à l'école et lui ont pris la clé de la maison. Sans présenter de mandat de perquisition ni de documents légaux, ils ont utilisé la clé de mon fils pour ouvrir ma porte d'entrée, puis ils ont fouillé ma maison. Ils ont confisqué des ordinateurs, des imprimantes et un exemplaire du Zhuan Falun. Le chef d'équipe était très excité. Afin d'obtenir un peu de crédit, il a même invité un directeur adjoint du bureau de la police municipale à venir voir ce qu'ils avaient trouvé.

Ils m'ont emmenée de force au département de la sécurité intérieure du bureau de police. Je leur ai dit : « Il n'est pas illégal d'avoir une croyance spirituelle. Ce sont mes affaires personnelles. Ce ne sont pas des armes. Je n'ai rien fait de mal. »

L'après-midi, ils ne m'avaient toujours pas relâchée. Je les ai entendu dire qu'ils avaient l'intention de me jeter dans un camp de travaux forcés. J'ai pensé que je devais partir de là, et j'ai continué à demander de l'aide au Maître.

J'étais détenue dans un bureau au quatrième étage, gardée par deux agents de police. Il faisait jour et l'endroit était très fréquenté. Il y avait aussi des gens qui gardaient les entrées. Je portais un manteau blanc ce jour-là, ce qui faisait qu'on me remarquait facilement. Mais j'avais une pensée très forte dans mon esprit, ils ne peuvent pas me voir.

J'ai ouvert doucement la porte du bureau et j'ai réussi à me faufiler dehors. Deux policiers bavardaient sans me regarder. J'ai rapidement quitté le bureau. Juste en face de ce bureau se trouvait le département de la sécurité intérieure. À travers la vitre, j'ai vu un groupe de policiers à l'intérieur et bavardant bruyamment. Personne ne faisait attention à moi. J'ai commencé à descendre les escaliers, puis j'ai franchi le portail sans que personne ne m'arrête. En quelques minutes, j'ai quitté rapidement et miraculeusement le bureau de la police.

Dès que j'ai franchi la porte d'entrée, j'ai vu une moto, alors j'ai fait signe au conducteur et lui ai demandé de me conduire. Au bout d'un moment, j'ai réalisé que nous ne pouvions pas continuer comme ça, sinon ils me retrouveraient très facilement. Je lui ai donc demandé de s'arrêter et lui ai dit : « J'apprécie vraiment votre aide. Je suis vraiment désolée, mais je n'ai pas d'argent sur moi en ce moment. Comme vous avez fait cette bonne action, vous allez recevoir une bonne fortune, c'est sûr ! » Sans rien dire, il est parti.

Je suis ensuite rapidement entrée dans un magasin de vêtements au bord de la route. J'ai demandé au caissier de m'aider à trouver un taxi. Je savais que rentrer chez moi ou chez mes parents n'était pas sûr. Je me suis alors souvenue d'un pratiquant que je ne connaissais pas beaucoup. Comme, il n'était pas sur la liste noire, j'ai pensé qu'il serait assez sûr d'aller chez lui, alors je m'y suis rendue.

Ce jour-là, sa femme pensait sortir, mais elle avait senti que quelque chose la retenait et elle avait décidé de rester à la maison. Elle avait entendu dire que j'avais été arrêtée, alors quand elle m'a vue, elle était très excitée. Elle m'a aussi aidée à payer le taxi.

Les policiers n'auraient jamais pensé qu'en plein jour, une pratiquante en garde à vue sorte du bureau de police. Ils couraient partout pour essayer de me trouver. Ils ont vérifié toutes les routes, tendu une embuscade à mon domicile et ont même mis ma famille et mes proches sous surveillance.

Sous la protection bienveillante du Maître, les miracles se sont succédé. Avec l'aide de pratiquants et de non-pratiquants, j'ai réussi à me rendre dans une autre ville en quelques jours.

Conclusion

Le PCC a affirmé que les pratiquants de Falun Gong étaient soit des personnes âgées qui manquaient d'éducation, soit des personnes qui avaient échoué dans leur vie et leur carrière. Cette année-là, j'ai été classée excellent cadre, j'étais jeune et j'avais un avenir prometteur. D'autres enviaient ma famille, ma carrière, mon éducation et mes revenus. En fait, les pratiquants de Dafa sont issus de tous les groupes d'âge, professions, métiers et classes sociales. Beaucoup d'entre eux font partie de l'élite de la société. Dafa ne différencie pas les gens par leur statut social, il exige seulement qu'ils suivent le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Depuis plus de vingt ans, comme des dizaines de millions d'autres pratiquants en Chine, j'ai été victime de harcèlement, d'arrestation, de détention et de torture, et j'ai été forcée de quitter mon domicile simplement à cause de ma croyance. Nous avons perdu notre famille, nos carrières, notre logement et nos moyens financiers. Par conséquent, beaucoup de gens ne peuvent pas nous comprendre. Ils demandent : « Pourquoi fallait-il que vous pratiquiez le Falun Dafa et subir tant de difficultés pendant toutes ces années ? Qu'avez-vous obtenu pour ce que vous avez sacrifié ? »

Si je n'avais pas pratiqué le Falun Dafa, je serais comme les gens ordinaires qui sont perdus dans la recherche de la renommée, de l'intérêt personnel et de la sentimentalité. Alors que je me contentais d'un peu de réussite, j'étais déjà dans une situation périlleuse. Le Maître bienveillant ne m'a pas abandonnée, mais au lieu de cela, il m'a trouvée et m'a donné un coup de fouet. Il a purifié mon esprit et mon corps. Je suis devenue comme une fleur de lotus au cœur de ce monde chaotique.

J'espère que mon histoire pourra éclairer les autres, les aider à voir clair dans les mensonges du PCC et à se sortir des tendances de ce monde profane. S'ils peuvent lire le Zhuan Falun, ils en tireront sûrement des avantages.

J'aimerais remercier le Maître pour sa grâce salvatrice une fois de plus ! J'aimerais également exprimer ma gratitude aux pratiquants qui m'ont aidée dans les moments les plus difficiles.

Traduit de l'anglais