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Un jeune pratiquant : La joie d’une véritable cultivation

13 janvier 2021 |   Écrit par Leku, un pratiquant de Falun Dafa en Chine continentale

(Minghui.org) J’arrivais rarement à participer aux exercices mondiaux du matin. Il m’était toujours extrêmement difficile de me lever si tôt, peu importe le nombre de réveils que je me fixais. Honnêtement, j’étais déçu d’aimer dormir autant.

Notre temps est si précieux. Comment pouvais-je passer autant de temps au lit ? Chaque fois que je dormais plus longtemps, j’avais des rêves lubriques. Cependant, je n’avais pas de tels rêves quand je me réveillais tôt. J’en déduis donc qu’il doit y avoir une relation entre la recherche du confort et la luxure.

En octobre, j’ai rencontré deux pratiquantes, une mère et sa fille. La fille vit à l'extérieur de la ville. Elle est jeune, sans aucun autre pratiquant autour pour l’aider. Elle avait également du mal à se lever pour faire les exercices mondiaux du matin, alors j’ai partagé certaines de mes pensées avec elle.

Après notre conversation, je me suis senti un peu déçu par moi-même, car je savais ce qu’il fallait faire, et pourtant je ne l’avais pas fait moi-même, désireux d’éviter de souffrir de difficultés. Je voulais l’aider à s’élever, mais je savais que je devais d’abord m’élever moi-même, puis partager mes expériences avec elle.

J’ai donc fixé mon premier objectif : augmenter le temps de pratique de « porter le Falun debout ». J’ai commencé à faire le deuxième exercice, « porter le Falun debout », pendant deux heures. Ça s’est bien passé pendant les trois premiers jours. Cependant, plusieurs jours plus tard, tout mon corps était dans la douleur. Après quelques jours de plus, la douleur a disparu, et j’ai pu continuer à faire le deuxième exercice pendant deux heures.

Je voulais avoir le portrait du Maître à la maison. Peu après, un compagnon de cultivation m’a apporté un portrait et un brûleur d’encens.

Depuis, je me levais tous les matins à 3 h 10. Après m'être lavé et habillé j’allumais trois bâtons d’encens et je m’agenouillais devant le portrait du Maître. Cela était suivi par la méditation assise pendant 90 à 120 minutes. Tous les soirs, je fais aussi deux heures du deuxième exercice.

Un jour, j’ai soudain développé une meilleure compréhension de ce que le Maître a dit :

« [...]la notion d’espace-temps des êtres humains diffère de l’autre espace-temps plus vaste. Pour nous, un shichen de ce côté-ci vaut deux heures,mais pour les êtres de cet espace-là, il vaut un an. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

Ce jour-là, j’avais une forte fièvre. Quand je pratiquais l'exercice « Porter le Falun debout », j’ai senti que les deux heures étaient incroyablement longues. C’était vraiment comme une année.

J’ai failli baisser les bras plusieurs fois ce jour-là, et pourtant une pensée m’a arrêté. La chambre était calme. Soudain, j’ai entendu quelque chose tomber goutte à goutte sur le sol. Il s'agissait en fait des gouttes de ma sueur.

Pendant la journée et demie suivante, mon corps a traversé un cycle de sensation de grande chaleur, puis de grand froid. J’ai demandé au Maître ce que je devrais faire. Une voix a dit : « Vous pouvez résoudre le problème avec une seule pensée. »

J’ai alors pensé : « Ce statut n’est pas correct. S’il vous plaît, arrêtez. » Dès que j’ai eu cette pensée, mon corps est immédiatement revenu à la normale.

Un jour, j’ai pris rendez-vous avec un compagnon de cultivation pour sortir distribuer cinquante exemplaires du livret « Espoir ». Avant de quitter la maison, je me suis agenouillé devant le portrait du Maître et j’ai demandé au Maître d’aider à nous renforcer afin de pouvoir sauver plus de gens. Quand je me suis levé, j’ai senti le Maître me dire clairement : « Vous pouvez y aller maintenant ! » J’avais l’impression d’être entouré d’un fort champ d’énergie.

Nous sommes allés dans un immeuble de grande hauteur, mais la porte de l’unité avait besoin d’un balayage de carte pour entrer. Alors que nous nous demandions comment entrer, un livreur de lait est venu et a ouvert la porte de l’unité. Nous l’avons suivi.

Nous avons commencé à monter les escaliers. J’étais plus jeune et plus rapide, alors quand j’ai atteint le 15e étage, j’ai remarqué que la pratiquante était plusieurs étages derrière. J’ai réalisé que j’avais agi à tort, et qu’elle et moi devrions travailler comme un seul corps dans cet effort. J’ai ralenti pour que nous puissions aller au même rythme.

Finalement, nous avons fini de distribuer des livrets dans l’unité. Tout s’est bien passé jusqu’à ce que nous atteignons à nouveau la porte. Il s’est avéré que nous ne pouvions pas sortir sans une carte non plus. Pourtant, nous sommes restés calmes et tranquilles. Nous avons émis la pensée droite. J’ai demandé l’aide du Maître. En moins d’une minute, un homme âgé qui revenait de faire des courses a ouvert la porte de l’extérieur, alors nous sommes sortis sains et saufs.

Il semblait que nous avions eu de la chance que quelqu’un nous ouvre la porte juste au moment où nous en avions besoin. Bien sûr, c’est le Maître qui nous a aidés !

Traduit de l’anglais