(Minghui.org) J'ai 73 ans. J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa à la fin de novembre 1999. Bien que je n'aie pas toujours parcouru mon chemin de cultivation sans heurts, j'ai été ferme dans ma croyance grâce à la protection du Maître et à la direction de Dafa. Merci Maître, pour votre compassion sans limites et votre salut !

Sauver les gens durant la pandémie

Le virus du PCC (coronavirus) s'est répandu dans ma ville cette année alors que la situation n'était pas aussi grave dans d'autres villes. Pour les pratiquants locaux, cela a créé des obstacles pour sauver les êtres durant la période de confinement. Les pratiquants de mon groupe d'étude du Fa ont continué à distribuer des documents de clarification de la vérité, en expliquant les véritables faits aux gens face à face et en les persuadant de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées pour qu'ainsi, plus de personnes puissent être sauvées.

Les pratiquants locaux ont appris sur le site web de Minghui que le virus du PCC s'était répandu dans toute la Chine. Nous avons réalisé que nous étions à un moment crucial au cours duquel nous courions contre les forces anciennes pour sauver les êtres et que c'était un test important pour les pratiquants qui devaient le traiter sérieusement et rationnellement.

Quand le virus du PCC s'est intensifié, les gens ne savaient pas comment gérer cela et n'avaient aucun moyen pour l'éviter. Les gens étaient plus ouverts à recevoir de l'information au sujet du Falun Dafa et à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Nous savions que nous devions bien nous cultiver nous-mêmes et suivre les exigences du Fa pour pouvoir ainsi sauver plus de personnes.

En raison du confinement strict, les pratiquants ont fait ce qu'ils devaient faire selon leurs situations. Nous partagions les uns avec les autres quand nous allions chercher les documents de clarification.

J'étudiais le Fa pendant cinq heures et j'émettais la pensée droite quatre fois par jour. Je me levais à 3 h et je faisais les exercices. Après cela, je sortais distribuer des documents et clarifier la vérité aux gens quand les gardiens à l'entrée n'étaient pas en service.

Il n'y avait pas beaucoup de gens dans les rues. Mais les gens à qui j'ai clarifié les faits au sujet de Dafa ont tous été d'accord pour démissionner du PCC. J'aidais normalement plusieurs personnes ou plus de dix personnes au maximum à démissionner du PCC tous les jours. Parfois, je restais dehors plus longtemps et les gardiens étaient à nouveau en poste. J'achetais des légumes pour qu'ainsi les gardiens pensent que j'étais partie faire des courses. Ils ne faisaient que vérifier ma température ou m'enregistraient et me laissaient entrer. Continuer de sortir ou pas durant la période de confinement dépendait de l'état de cultivation d'un pratiquant.

Durant la période de confinement, je me rendais habituellement au marché, au centre-ville ou sur des places pour donner des dépliants et parler avec les gens face à face au sujet de démissionner du PCC. J'ai aidé environ 40 à 70 personnes à démissionner du PCC chaque semaine.

Pendant la période de confinement, je clarifiais normalement la vérité aux gens des sociétés de gestion immobilière qui avaient obtenu des laissez-passer pour diverses zones résidentielles, les gardiens en service et les gens qui allaient faire des courses. Ils étaient plus disposés à écouter et à accepter la vérité qu'auparavant et davantage de gens étaient prêts à démissionner du PCC.

J'ai eu sept jours de congé pour le Nouvel An chinois. La veille du Nouvel An chinois, j'ai aidé plus de dix personnes à démissionner du PCC. En sept jours, près de 60 personnes ont accepté de démissionner du PCC. Après être retournée au travail, j'ai eu plus d'occasions pour approcher les gens, ainsi je leur ai clarifié les faits au sujet de Dafa.

Bien faire le travail quotidien et sauver plus de gens

Je travaille encore dans une société de gestion immobilière alors que je suis assez âgée pour être à la retraite. J'ai essayé de démissionner plusieurs fois. Ma directrice a toujours refusé ma démission et m'a persuadée de rester. J'ai présenté ma lettre de démission à mon gestionnaire général en août de cette année. Il a lu le Zhuan Falun avant et a démissionné du PCC.

« Vous êtes en parfaite santé et vous travaillez très bien », a-t-il dit. « Vous avez une expertise et une expérience précieuses. Continuez à m'aider, s'il vous plaît. La vieillesse n'est pas un problème pour vous. Vous êtes capable de travailler, quel que soit votre âge. »

Le chef de la division financière (CDF) a aussi dit : « Ne nous dites-vous pas qu'on devrait penser aux autres ? Notre entreprise compte plus de 1000 employés et plusieurs d'entre eux sont l'unique soutien financier de la famille. Nous allons causer un problème social si nous ne faisons pas bien. Vous ne pouvez pas démissionner. Où allons-nous trouver une personne comme vous si vous partez ? »

J'ai été détenue pour ma pratique du Falun Dafa et envoyée dans un camp de travaux forcés et dans un centre de lavage de cerveau. J'ai été illégalement détenue pendant plus de cinq ans. J'ai été libérée il y a huit ans et j'ai cherché un travail un bon bout de temps. Aucune organisation n'osait m'engager quand ils apprenaient que j'avais été emprisonnée pour ma pratique du Falun Dafa. Je suis allée au Bureau 610 et au centre communautaire pour un emploi. Le secrétaire du Parti du centre communautaire m'a présentée à son entreprise de gestion immobilière.

La directrice du conseil d'administration de l'entreprise était une femme compétente dans la quarantaine. Son mari était capitaine adjoint d'une équipe de policiers chargée de la circulation. Ils n'étaient pas contre le Falun Dafa et ils ont démissionné du PCC. Ils n'ont rien dit de mauvais au sujet du Falun Dafa ni contre moi au cours des huit dernières années.

Notre directeur du conseil d'administration local a été promu pour être directeur du conseil d'administration provincial. Le département dont j'étais responsable a reçu chaque année un prix d'« excellence ». Pendant huit ans, j'ai reçu le prix de « Travailleur d'excellence ».

Dans les trois premiers mois, j'ai été si occupée avec mon travail dans l'entreprise que je n'avais pas le temps de faire les trois choses. Alors j'ai démissionné. Trois mois plus tard, la directrice du conseil d'administration m'a demandé de revenir et elle m'a fait trois propositions.

Je pouvais être soit chef de projet avec un salaire de 3500 yuans par mois, soit directrice générale adjointe avec un salaire de 5000 yuans par mois. En plus de cela, je recevrais des actions et des bonus chaque mois.

J'ai refusé ses offres parce qu'il s’agissait de postes à plein temps et que j'allais devoir faire des heures supplémentaires - je n'aurais pas eu le temps de faire les trois choses.

Elle m'a demandé quelles étaient mes conditions pour que je puisse revenir travailler. J'ai dit j'ai trois conditions.

Premièrement, je n'aurai de compte à rendre qu'à la directrice principale et il n'y aura pas de managers entre la patronne et moi. Deuxièmement, je finirai les tâches à temps et je garantirai la qualité. Je n'aurai pas à me soumettre aux politiques de l'entreprise. Troisièmement, je ne serai pas obligée de travailler huit heures par jour. Le critère pour juger mon travail sera les résultats. Quatrièmement, la directrice décidera de mon salaire. Si je ne suis pas qualifiée ou si ce que je fais n'est pas en accord avec ce qui est demandé, je n'aurai pas besoin d'être payée et je quitterai l'entreprise de mon plein gré.

Après une sérieuse réflexion, la directrice du conseil d'administration a accepté mes conditions et les a appliquées sans accord écrit, et ce jusqu'à ce jour.

La directrice du conseil d'administration m'a aussi demandé d'acheter du matériel pour plusieurs projets au cours des huit dernières années. J'ai utilisé mon propre tricycle motorisé pour aller acheter des pièces et j'ai réparé gratuitement les outils et les machines. Le directeur général a fait mon éloge publiquement et a déclaré que les devis que j'avais reçus étaient des prix réels alors que les devis que d'autres personnes avaient reçus étaient des prix gonflés. Les représentants de commerce m'ont souvent demandé combien ils devraient me facturer. Je leur demandais toujours de me facturer le prix réel. Certains d'entre eux me demandaient pourquoi. Je leur disais que je pratiquais le Falun Dafa et que notre Maître nous avait appris à être de bonnes personnes, donc je n'allais pas tricher. Je saisissais l'occasion pour leur clarifier les faits au sujet de Dafa et pour les persuader de démissionner du PCC. La plupart d'entre eux ont accepté de démissionner le PCC.

Le patron d'une entreprise n'a pas cru ce que je disais. Il a dénigré le Falun Dafa et n'a pas accepté le paiement en billets de banque sur lesquels j'avais mis les messages de Dafa. Il pensait que je n'achèterais plus jamais de matériel chez lui. Mais je suis allée le voir comme d'habitude. Plus tard, il est venu me voir pour en savoir plus sur le Falun Dafa. Il a accepté de démissionner du PCC quand je lui ai clarifié les faits au sujet de Dafa.

J'ai compris que son comportement initial n'était que pour m'aider à élever mon xinxing.

Maintenant, 90 % de ses employés ont démissionné du PCC et savent que le Falun Dafa est bon et que les pratiquants sont de bonnes personnes. Ils m'appellent « Falun Dafa » quand ils me voient.

La région que mon entreprise couvre est grande – elle s'étend sur 201 kilomètres. J'ai distribué les brochures des Neuf commentaires sur le Parti communiste et Le but ultime du communisme ainsi que d'autres documents de clarification de la vérité dans la région. Certaines personnes ont démissionné du PCC. J'ai écrit une lettre de dix pages à un hôpital. La plupart des employés ont changé d'attitude envers le Falun Dafa. Seuls deux comptables n'y ont pas cru. Les autres employés ont démissionné du PCC.

J'ai participé à onze projets répartis sur des dizaines de kilomètres. Le département de la sécurité, le département du nettoyage, le département de l'ingénierie, le département de l'écologie et le département des clients changeaient constamment d'employés. Je leur ai expliqué les vrais faits au sujet de Dafa, l'un après l'autre, ce qui a permis à beaucoup de gens d'apprendre la vérité.

Il y avait onze personnes au siège social. Neuf d'entre elles ont démissionné du PCC. Il y avait plus de 40 gérants là-bas, et 90 % ont démissionné du PCC.

Dans le but d'utiliser pleinement mon temps, je clarifie la vérité aux personnes attendant le bus, dans le bus, en marchant, à mon travail, en prenant des repas et en faisant des courses. La plupart des chauffeurs de taxi ont soutenu le Falun Dafa et accepté de démissionner du PCC.

Les pratiquants locaux ont partagé et réalisé que la situation actuelle était arrangée par le Maître pour que nous nous améliorions et que ceux qui méritaient d'être sauvés le soient. Ceci est une occasion pour que les pratiquants accumulent une plus grande vertu puissante. Le Maître chérit les pratiquants. Merci, Maître, pour votre compassion sans limites. Comme pratiquants, nous n'avons aucune raison de ne pas cultiver avec diligence ou de manquer l'occasion d'abandonner nos mentalités humaines et nos attachements humains.

Faisons bien les trois choses et élevons notre xinxing et nos niveaux rapidement pour ainsi remplir les exigences requises des disciples de Dafa de la période de la rectification de Fa et être dignes du salut du Maître.

Traduit de l'anglais