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C'est le moment pour le monde entier de se dresser contre le Parti communiste chinois

5 janvier 2021 |   Écrit par Suizhi, correspondant pour Minghui

(Minghui.org) Le Financial Times au Royaume-Uni a cité le projet de texte d'un plan de l'Union européenne (UE) le 29 novembre, dans lequel l'UE appelle les États-Unis d'Amérique (USA) à forger une nouvelle alliance mondiale pour relever les « défis stratégiques » posés par la Chine (le régime du Parti communiste chinois).

Il est mentionné dans le communiqué de presse intitulé « Un nouveau programme UE-USA pour un changement mondial » : « En tant que sociétés démocratiques ouvertes et économies de marché, l'UE et les États-Unis s'accordent sur le défi stratégique que représente l'affirmation croissante de la Chine sur la scène internationale. »

Il propose que l'UE et les États-Unis unissent leurs forces pour, entre autres, exploiter l'évolution rapide des changements technologiques et relever les défis des systèmes rivaux de gouvernance numérique ; développer une approche transatlantique commune de la protection des technologies critiques à la lumière des préoccupations économiques et sécuritaires mondiales — en commençant par des discussions sur le 5G ; intensifier la coopération pour faciliter la libre circulation des données en toute confiance ; et renforcer la démocratie, faire respecter le droit international, soutenir le développement durable et promouvoir les droits de l'homme dans le monde entier.

La proposition devait être approuvée par le Conseil européen et serait ensuite lancée lors d'un sommet UE-USA au cours du premier semestre de 2021.

Par coïncidence, l'« Halifax International Security Forum », dont le siège est au Canada, a récemment rassemblé les points de vue de plus de 250 experts et dirigeants du monde entier, dont de hauts responsables gouvernementaux et militaires, des décideurs politiques, des leaders d'opinion, des universitaires, des membres du monde des affaires provenant de nations partageant les mêmes idées, et a publié un manuel intitulé China Vs. Democracy : The Greatest Game (Chine contre démocraties : le plus grand jeu).

Le manuel met en lumière la menace que représente la Chine communiste pour les pays démocratiques, avec des preuves détaillées concernant l'oppression par le PCC à l'intérieur de la Chine, sa course à la suprématie technologique, ses campagnes d'influence contre les démocraties, la rivalité militaire qui peut déterminer la guerre ou la paix, et ses ambitions de domination mondiale. Il prétend être l'une des premières tentatives exhaustives visant à cerner le vaste défi de la Chine (PCC).

Dans l'affrontement des grandes puissances du XXIe siècle, l'UE serait aux côtés des États-Unis face à la Chine, a déclaré le président du Conseil européen, Charles Michel, à l'assemblée générale des Nations unies le 25 septembre 2020.

« Nous sommes profondément liés aux États-Unis. Nous partageons des idéaux, des valeurs et une affection mutuelle qui ont été renforcés à travers les épreuves de l'histoire », a-t-il déclaré.

Le 23 juillet, le secrétaire d'État américain Mike Pompeo a appelé le monde entier à s'unir contre le PCC, et a révélé le mensonge du PCC selon lequel il représente 1,4 milliard de personnes. Il a promis que les États-Unis ne permettraient plus au régime communiste chinois de prendre en otage le peuple chinois ; les États-Unis dirigeront le monde libre, se tiendront fermement aux côtés du peuple chinois et ensemble vaincront la dictature tyrannique du PCC.

Dans une interview avec Mark Levin de l'émission « Life, Liberty & Levin » à Washington DC, le 27 septembre, Mike Pompeo a parlé du comportement agressif du PCC et des stratégies américaines pour mettre fin à la politique d'« apaisement », ainsi que de la mise en place d'une coalition mondiale pour contrer l'expansion hégémonique du PCC. Le nouveau projet de texte de l'UE va certainement revitaliser son alliance avec les États-Unis, faisant écho à l'appel de Mike Pompeo à relever les défis présentés par le PCC.

Les États-Unis contre-attaquent le PCC sur tous les fronts. Et les pays de la communauté internationale, tant à l'Est qu'à l'Ouest, forment une « alliance de la démocratie » pour résister à la menace du PCC. Les États-Unis ont pour alliés le Japon, l'Australie, la Grande-Bretagne, le Canada, l'UE, l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord) et les États membres de l'Anase (NDT L'Association des nations de l'Asie du Sud-Est [Anase] comprend la Birmanie, le Brunei, le Cambodge, l'Indonésie, le Laos, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Thaïlande et le Vietnam), et ils partagent tous les mêmes valeurs universelles.

Le PCC n'est pas un parti politique ou un régime normal, mais un représentant du spectre communiste pervers dans le monde humain. Les mesures prises par le spectre communiste pour dominer le monde visent à détruire les valeurs et l'éthique traditionnelles des pays occidentaux. Le PCC a l'intention de changer l'ordre international en profitant des lacunes des sociétés démocratiques, en utilisant la liberté d'expression pour répandre les idées fausses de l'« athéisme » et en extrayant de manière obscure les éléments nutritifs du monde libre.

Cependant, après des décennies de dormance et d'immersion, le PCC a maintenant plus de mal à continuer à dissimuler ses vraies couleurs et son but ultime de dominer le monde et de détruire l'humanité.

Cette année, alors que d'autres pays sont occupés à lutter contre la pandémie provenant de Wuhan, en Chine, le PCC a agi de manière agressive à l'égard de Taïwan, de Hong Kong, de la mer de Chine méridionale et de leurs frontières avec l'Inde, ce qui a déclenché davantage d'alertes dans le monde occidental. Les États-Unis, le Canada et l'Union européenne ont convenu que le PCC représente le principal défi aux valeurs du monde démocratique.

À l'heure actuelle, les pays démocratiques ont largement modifié leur attitude à l'égard du PCC. Au cours des dernières décennies, ils croyaient que la prospérité économique apporterait la liberté et la démocratie en Chine, mais la COVID-19, mortelle et dévastatrice, les a réveillés et les a aidés à se rendre compte que le PCC est le « virus » le plus vicieux qui met en danger le monde entier.

Nathalie Tocci est directrice de l'Institut des affaires internationales (IAI), un groupe de réflexion italien. Elle estime que les pratiques commerciales déloyales de la Chine, sa compétitivité croissante dans les technologies de pointe, les modes d'investissements chinois dans des secteurs critiques en Europe et aux États-Unis, le bilan de Pékin en matière de droits de l'homme, ses capacités militaires croissantes et l'utilisation par Pékin de la désinformation et de la propagande pour remodeler les discours mondiaux, qui est devenue encore plus agressive autour de la suppression précoce des informations sur le coronavirus, ont tous contribué à l'inquiétude croissante concernant l'influence de la Chine.

Le conseiller américain à la sécurité nationale, Robert O'Brien, a souligné dans un discours prononcé le 23 septembre que l'administration Trump est en train de construire un consensus international visant à contrer l'agression chinoise croissante sous de multiples formes. Par exemple, les États-Unis, l'Allemagne, la France, la Suède, l'Australie et d'autres pays ont successivement retiré leur coopération avec les « Instituts Confucius », que le PCC utilise, selon les critiques, pour des opérations d'espionnage et d'influence secrètes afin d'exporter son idéologie ; le gouvernement australien a lancé une campagne de répression de l'influence chinoise secrète et des opérations d'infiltration et a joué un rôle de premier plan en demandant une enquête indépendante sur les origines de la COVID-19, qui est apparue pour la première fois à Wuhan, en Chine ; et le Japon soutient le durcissement des politiques américaines en offrant des incitations aux entreprises japonaises pour qu'elles délocalisent leurs usines de fabrication de la Chine vers le Japon.

Mark Warner, vice-président démocrate de la commission du renseignement du Sénat des États-Unis, voit la menace de la Chine communiste et pense que les dirigeants du PCC développent « un modèle de gouvernance technologique ». Il affirme que : « Pékin a l'intention de contrôler la prochaine génération d'infrastructures numériques et, ce faisant, d'imposer des principes contraires aux valeurs américaines de transparence, de diversité d'opinions, d'interopérabilité et de respect des droits de l'homme. »

La promotion d'une alliance mondiale pour contre-attaquer le PCC a pris des mesures spécifiques pour réussir. Le 5 août, le secrétaire d'État américain Mike Pompeo a annoncé le cadre d'un « Clean network » (« réseau propre ») pour assurer un réseau 5G sécurisé. À ce jour, au moins 180 entreprises de télécommunications de 53 pays, qui représentent les deux tiers du PIB mondial, dont des dizaines de géants mondiaux, ont rejoint l'initiative « Clean network » et n'utiliseront plus les équipements et technologies fournis par des entreprises chinoises comme Huawei. L'UE a également lancé sa « boîte à outils de l'UE pour la sécurité des réseaux 5G », et 27 pays de l'OTAN ont déjà rejoint le projet « Clean network ».

Les États-Unis appellent les gouvernements et les alliés industriels du monde entier à se joindre à cette tendance croissante de « Clean network », qui renforcerait la protection de la vie privée de leurs citoyens et des informations les plus sensibles de leurs entreprises contre l'intrusion agressive du réseau du PCC. Pour l'instant, il y a encore un certain nombre de pays qui sont désireux d'étendre leurs réseaux 5G, mais qui se sont enlisés dans la « version en ligne de l'Initiative route et ceinture » du PCC sans se rendre compte du danger.

Le combat avec le PCC n'est pas seulement une guerre commerciale, une guerre scientifique et technologique, une guerre militaire et une guerre de l'information, mais aussi une guerre contre la foi et les idéaux. Sam Brownback, l'ambassadeur américain d'International Religious Freedom Alliance, a déclaré dans une récente interview que le PCC a exporté son modèle répressif à l'étranger, au détriment de la liberté dans le monde entier. Mais « l'autoritarisme ne peut pas vaincre la foi en fin de compte ». C'est une bataille qu'ils ne gagneront pas.

La « guerre contre la foi » est au cœur de cette bataille entre le bien et le mal. Face à une si grande bataille, les gens doivent distinguer le bien du mal, et l'on ne doit pas avoir de pensées dégénérées telles qu'être « à cheval sur la barrière ». Certaines nations se retiennent par crainte du PCC, mais elles le font peut-être parce qu'elles « suivent le courant », ou parce qu'elles sont « désorientées », ou même parce qu'elles « ajoutent de l'huile sur le feu » ou elles « sont aveuglément tolérantes ». Tous ces comportements ne sont rien moins qu'aider un tyran à faire le mal et tenir la chandelle au diable, ce qui a aidé le PCC à devenir une bête cynique incontrôlable.

Face à la lutte actuelle entre la justice et le mal, les gouvernements et les citoyens de chaque pays doivent prendre position entre le bien et le mal. La bannière de la justice est déjà bien défendue dans les sociétés libres de la communauté internationale et nous sommes à un moment critique pour rassembler nos forces à l'échelle mondiale. Il n'y a pas de place pour le compromis ou l'hésitation dans la bataille entre le bien et le mal ; c'est une question de vie ou de mort, et le destin de chacun est suspendu à une seule pensée.

En fait, il n'y a pas de zone grise pour les pays qui restent en dehors du programme « Clean network » ou « à cheval sur la barrière ». Ils devraient, afin de renforcer la sécurité nationale, rejoindre le système de défense mondial dès que possible et construire avec d'autres une solide forteresse contre le PCC. Ce serait vraiment une mesure sage à prendre.

Traduit de l'anglais