Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Le propriétaire d’une usine : Je veux embaucher seulement un pratiquant de Falun Dafa

15 novembre 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Un pratiquant de Falun Dafa m’a dit qu’une cafétéria d’usine cherchait un cuisinier vers le mois de juillet 2014. Après avoir commencé à travailler là-bas, j’ai entendu dire que le cuisinier précédent était un dépensier. Après que le propriétaire de l’usine est rentré chez lui, le cuisinier a permis aux ouvriers de l’usine de boire de l’alcool et de manger des plats coûteux. Lorsque le propriétaire l’a découvert, il a licencié le cuisinier.

Le directeur m’a dit quoi cuisiner et combien de viande utiliser. J’ai toujours suivi le Fa du Maître et surveillé attentivement combien d’argent était dépensé, économisant ainsi l’argent du propriétaire. De plus, je traitais bien les travailleurs et je préparais de la bonne nourriture.

Parfois, les légumes crus que le directeur achetait étaient pourris. Les travailleurs me disaient : « Jetez-les et dites au directeur d’en acheter de meilleurs. » Je leur répondais : « Non, je vais trier les bons et essayer de ne rien gaspiller. »

Je demandais souvent aux ouvriers leur avis sur les plats que je cuisinais. Étaient-ils trop salés et étaient-ils satisfaisants ? Ils m’ont toujours dit que tout était bon, propre et délicieux. Parfois, ils me disaient : « Vous n’avez pas besoin d’être si prudente. La nourriture est excellente. Nous ne sommes que des travailleurs. Qui nous prend au sérieux ? » Ils pensaient tous que j’étais trop gentille avec eux.

La quantité des légumes crus et de la viande que je recevais n’était pas toujours suffisante. Quand il n’y en avait pas assez, je mangeais moins ou je mangeais des légumes marinés et je laissais les ouvriers manger à leur faim. Quand il y avait des restes, je les mangeais et servais des plats frais aux ouvriers.

Quand les ouvriers m’ont vue manger les restes pendant qu’ils mangeaient les plats fraîchement préparés, ils n’ont pas compris. Ils m’ont demandé : « Pourquoi êtes-vous si frugale ? Vous pouvez simplement jeter les restes. » J’ai répondu : « Nous devrions essayer de ne pas gaspiller les choses, même si elles ne nous appartiennent pas. Il n’est pas bon de gaspiller quoi que ce soit. » Plus tard, certains ouvriers ont volontairement mangé les restes avec moi. Ils ont tous appris à ne pas gaspiller les choses.

Parfois, le propriétaire se rendait dans un bon restaurant et rapportait de délicieux plats. J’ai toujours servi cette nourriture aux ouvriers. Au bout d’un moment, ils se sont dit : « Comment peut-il y avoir de si bonnes personnes ? Les cuisiniers gardent généralement la meilleure nourriture pour eux-mêmes et la donnent rarement aux autres. Ils rapportent aussi de la bonne nourriture à la maison. Mais notre cuisinière ne rapporte jamais rien chez elle et ne gaspille rien. Où pouvez-vous trouver une si bonne personne ?! » Plus tard, les travailleurs ont dit au directeur ce que j’avais fait.

Prendre la parole pour la cuisinière

La cuisine n’avait pas de chauffage donc il faisait froid en hiver. Je n’y ai pas pensé plus que ça parce que j’avais le sentiment que si les autres pouvaient le supporter, alors je le pouvais aussi. Un jour, le comptable et deux employés du transport ont dit au directeur : « Regardez combien d’argent la cuisinière vous a fait économiser. Elle ne gaspille rien et cuisine avec beaucoup de soin. Mais il n’y a pas de chauffage dans la cuisine. N’est-ce pas injuste pour elle ? »

Je n’étais pas là à ce moment-là. Un des livreurs m’en a parlé. Il a déclaré : « Aujourd’hui, nous avons demandé au directeur d’installer un appareil de chauffage ou un radiateur pour vous. Il fait froid dans la cuisine. » En quelques jours, le directeur a raccordé un radiateur à la cuisine. Il y avait aussi un kang (lit-poêle) dans la cuisine, donc la pièce est devenue assez chaude.

Un autre directeur m’a également apporté un radiateur électrique. Les ouvriers étaient très contents. Ils m’ont taquinée et m’ont dit que même les directeurs n’avaient pas trois radiateurs. J’ai ri. Je savais que le Maître compatissant avait pris toutes les dispositions pour moi.

J’ai clarifié les faits aux ouvriers et ils m’ont posé des questions sur des choses qu’ils ne comprenaient pas. Après un certain temps, la plupart d’entre eux ont compris la vérité sur la persécution. J’ai commencé à les aider à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse.

Deux ouvriers ont commencé à pratiquer le Falun Dafa. Ils ont trouvé du temps pour lire les livres de Dafa pendant la journée et faisaient les exercices avec moi le soir. Lors de la pratique du cinquième exercice, l’un d’entre eux a pu s’asseoir dans la position du lotus pendant une demi-heure dès la première fois qu’il a essayé. Il a dit que lorsqu’il méditait, il n’avait aucune pensée dans son esprit et avait l’impression d’être assis dans une coquille d’œuf.

Démissionner des organisations du PCC

De nombreux acheteurs venaient à l’usine pour récupérer leurs marchandises. J’ai fait de mon mieux pour leur clarifier les faits et leur donner des brochures. Au bout d’un moment, tous les ouvriers savaient qui n’avait pas encore démissionné du PCC. Lorsqu’un nouveau travailleur était embauché, il me disait : « Il y a quelqu’un de nouveau ici. Venez et aidez-le à démissionner du PCC. »

Certains acheteurs ont accepté de démissionner immédiatement tandis que d’autres ont dû y réfléchir. Les ouvriers m’aidaient et disaient à l’acheteur : « Vous devriez démissionner. Quelle est l’utilité de faire respecter le PCC ? Nous avons tous démissionné. » Souvent, l’acheteur acceptait alors de démissionner. Cela s’est produit à maintes reprises. Ces travailleurs se sont tous donné un grand avenir.

L’usine a été temporairement fermée pendant un certain temps, mais au bout de quelques mois, elle a rouvert. Le propriétaire m’a appelée et m’a demandé si je pouvais revenir. J’ai décidé de ne pas y retourner parce que là-bas tous les travailleurs et la plupart des acheteurs avaient démissionné du PCC.

Mais le propriétaire m’a appelée trois fois, me pressant de revenir. J’ai décidé que j’y travaillerais le temps que le propriétaire cherchait une autre personne. Le propriétaire a dit : « Je ne veux embaucher qu’un pratiquant de Falun Dafa. » Il m’a donné 300 yuans supplémentaires à la fin du mois. Plus tard, il a trouvé un autre pratiquant de Falun Dafa pour me remplacer.

Peu importe ce que nous faisons, nous accomplissons en fait nos vœux préhistoriques. Je sais que nous ne serions pas capables de faire quoi que ce soit sans la protection du Maître et les conseils de Dafa. Je dois bien faire les trois choses et sauver les gens. Le Maître doit supporter beaucoup en échange de chaque jour tant que la rectification de Fa n’est pas terminée. Nous devons donc chérir chaque instant, bien nous cultiver et sauver plus d’êtres.

Traduit de l’anglais