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Répandre la bonté et la vérité à mon stand de fruits

21 décembre 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Liaoning, Chine

(Minghui.org) Je vends des fruits sur un marché et de nombreux clients viennent chaque jour à mon stand. Certains clients fidèles me disent souvent : « Vous êtes de plus en plus jeune et jolie. » Je savais que c’était Maître Li (le fondateur de Falun Dafa) qui les utilisait pour m’encourager à continuer à sauver les êtres.

« Je suis heureux chaque fois que je vous vois »

En tant que pratiquante de Falun Dafa, il est de ma responsabilité de valider le Fa. Je m’habille proprement et je salue poliment chaque client : « Comment allez-vous ? Quelle sorte de fruits désirez-vous ? Laissez-moi vous aider à en choisir de bons. » Je me mets à leur place et les aide à trouver la meilleure affaire.

De nombreux clients me disent : « Vous êtes si gentille et je me sens chez moi ici. Je suis heureux chaque fois que je vous vois. » Je profite alors de l’occasion pour leur clarifier la vérité.

Parfois, lorsque je suis très occupée et que je ne peux pas discuter avec eux avant leur départ, je leur dis toujours : « Je vous accueillerai à nouveau la prochaine fois ! » Dans mon esprit, je leur dis : « Vous êtes venus ici pour apprendre la vérité et vous éveiller. Revenez s’il vous plaît pour que je puisse vous parler de la vraie situation ! »

Certains clients réguliers aiment visiter mon stand et discuter un moment, même s’ils n’achètent rien. Ils disent qu’ils se sentent à l’aise ici et se réjouissent après avoir discuté avec moi. Je sais que tout cela est dû au fait que Maître Li a nettoyé mon champ dimensionnel.

Lorsqu’un typhon a été annoncé, beaucoup de gens se sont précipités au marché, et les files d’attente étaient longues. Une dame bien habillée a acheté deux sortes de fruits, pour un total de 26 yuans (4 dollars américains). Lorsqu’elle a sorti son téléphone pour scanner le code, sa batterie était épuisée. Elle m’a demandé un chargeur, mais le mien ne convenait pas à son téléphone.

Elle m’a dit : « Que dois-je faire ? J’allais aussi acheter des légumes ! » Je lui ai demandé : « De combien avez-vous besoin ? » Elle a répondu : « Environ 60 à 70 yuans. » J’ai sorti un billet de cent yuans et le lui ai tendu : « Dépêchez-vous d’acheter vos légumes ! » Elle a dit : « Comment puis-je l’accepter ? Vous et moi venons juste de nous rencontrer pour la première fois. »

Derrière elle, quelques clients réguliers ont secoué la tête ou agité les mains pour essayer de m’arrêter. J’ai dit : « C’est bon. Allez acheter vos légumes. Dépêchez-vous avant que le typhon n’arrive. » Elle a dit, « Je vais vous laisser mon numéro de téléphone. » J’ai dit : « Non, pas besoin. » Elle a dit : « Alors, donnez-moi seulement 74 yuans, en déduisant les fruits. » J’ai dit : « Vous êtes sûre ? » Elle a dit oui.

Après son départ, les clients habituels ont dit : « Tu es trop imprudente. Combien de personnes sont dignes de confiance de nos jours ? Tu ne pourras pas la retrouver si elle ne ramène pas l’argent. Tout le monde n’est pas comme toi ! » J’ai dit en souriant : « Ne pensez pas du mal des gens. »

Elle est revenue quelques jours plus tard et m’a donné l’argent. Elle m’a demandé : « Pourquoi êtes-vous si gentille ? » Je lui ai dit que je suis une pratiquante de Falun Dafa. Ses yeux se sont éclairés et j’ai poursuivi : « Tous ceux qui pratiquent le Falun Dafa feraient la même chose pour vous. » Je lui ai expliqué la vérité sur le Falun Dafa jusqu’à ce qu’elle comprenne parfaitement les faits et démissionne du Parti communiste et de ses organisations affiliées.

D’un visage triste à un visage heureux

Une dame d’une quarantaine d’années avait toujours l’air triste. Au début, elle partait dès qu’elle avait acheté ses fruits. Comme elle venait plus souvent, elle s’attardait un peu plus longtemps à mon stand.

Un jour, alors qu’il n’y avait personne, je lui ai demandé : « Voulez-vous vous asseoir quelques minutes ? » J’ai discuté avec elle et lui ai dit : « La vie n’est pas facile, mais elle est courte. Après quelques décennies, c’est fini. S’il vous plaît, ne prenez rien trop au sérieux... » Elle a écouté et est partie sans rien dire.

Elle est revenue le lendemain et a demandé pourquoi j’étais si heureuse et joyeuse. Je lui ai parlé du Falun Dafa et lui ai dit : « Avant de commencer à pratiquer, j’étais déprimée parce que j’étais malade et que je n’avais pas d’argent pour me soigner. Mais après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai regardé chaque chose à partir du principe du Fa et j’ai pu trouver une réponse. » Elle n’était pas impressionnée et m’a dit : « Peut-être n’avez-vous pas rencontré autant de problèmes que moi. »

J’ai appris que sa mère souffrait d’une grave dépression, que sa sœur avait un cancer du sein et que son mari avait une liaison avec une autre femme. Elle a dit : « Je ne peux même pas me suicider ‒ si je meurs, qui va s’occuper de ma mère et de ma sœur ? »

J’ai dit : « Vous êtes une personne tellement filiale que vous vous préoccupez encore de votre mère et de votre sœur à l’idée du suicide. Vous avez le sens des responsabilités. » Dès que j’ai dit cela, elle s’est mise à pleurer et a dit : « Vous n’avez aucune idée de combien il est difficile pour moi de vivre ! »

Je lui ai dit que les relations humaines sont toutes liées aux rétributions karmiques, et que tout le monde est soumis à la naissance, à la vieillesse, à la maladie et à la mort. En raison de l’athéisme promu par le Parti communiste, les gens n’ont aujourd’hui aucune contrainte morale, ce qui a conduit son mari à avoir une liaison, et ainsi de suite.

Elle m’a dit : « Comment faites-vous pour en savoir autant ? » Je lui ai dit : « Le Falun Dafa a ouvert ma sagesse. »

Le Maître a dit :

« Zhen Shan Ren – trois mots sacrés avec la puissance illimitée du Fa

Falun Dafa Hao – prononcés sincèrement, tous les désastres se transforment en un clin d’œil »

(« Couplet [Duilian], La source de tous les Fa » Hong Yin IV)

J’ai dit : « Quand les choses semblent désespérées, s’il vous plaît, dites : “Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance, est bon” ! »

Plus tard, elle a commencé à pratiquer le Falun Dafa. Le sourire est revenu sur son visage. Impressionnée par ses changements positifs, sa sœur a commencé à dire que Falun Dafa est bon.

En voyant ses changements mentaux et physiques jour après jour, et comment son visage autrefois triste s’est transformé en un visage heureux, j’ai dit sincèrement dans mon cœur : « Merci, Maître ! »

J’ai commencé à pratiquer Falun Dafa en 1996 parce que j’étais malade. En raison de mon faible niveau d’éducation, au début, je ne comprenais pas ce que le Maître enseignait – mais je savais que le Falun Dafa avait guéri ma maladie et je me suis souvenue de « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ». Je savais que je devais suivre ce principe pour me conduire bien à tout moment.

La vie a continué et avant que je ne le sache, c’était le 20 juillet 1999. Le PCC (Parti communiste chinois) a commencé à persécuter le Falun Dafa comme un fou. Je me suis rendue à Pékin avec d’autres pratiquants pour expliquer au gouvernement les effets étonnants du Falun Dafa sur la guérison et la forme physique, mais j’ai été arrêtée et persécutée. À ce jour, je suis passée par la détention, les centres de lavage de cerveau, les camps de travail, la surveillance résidentielle, etc.

Je n’ai pas renoncé un seul instant à pratiquer le Falun Dafa pendant ces plus de vingt ans, et je me rappelle toujours de faire ce que le Maître nous demande de faire. Chaque jour, lorsque je brûle de l’encens pour le Maître, je demande : « Maître, s’il vous plaît, renforcez ma pensée droite. Je veux partager les bénédictions que j’ai reçues de la pratique du Falun Dafa avec chaque personne que je rencontre. »

Traduit de l’anglais