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Coordonner une équipe qui fait des appels téléphoniques en Chine m'a aidée à éliminer mes attachements

1 février 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans le comté de Miaoli, Taïwan

(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître bienveillant ! Bonjour compagnons de cultivation !

Éliminer mon manque d'estime de soi

J'ai eu la chance de commencer à pratiquer le Falun Dafa en 2002. J'ai grandi dans la campagne, j'étais introvertie et je manquais d'estime de soi. Ma mère était alitée et nécessitait des soins. Mon père devait souvent l'emmener pour des traitements. Les gens disaient qu'elle était si malade parce qu'elle avait attrapé un rhume après avoir accouché et ne s'était jamais rétablie complètement. Je n'avais que 7 ans quand elle est décédée.

Mon père a dépensé toutes ses économies pour guérir les maladies de ma mère. Afin de subvenir aux besoins de ses quatre enfants, il a travaillé très dur. Il devait se déplacer fréquemment pour le travail. Ma sœur s'est mariée quand j'étais dans la 5e année. Mon frère aîné a quitté la maison et est devenu un apprenti dès qu'il a eu son certificat de l'école primaire. Quand mon frère cadet est allé au lycée, il a loué un appartement et a travaillé à temps partiel. Seuls mon père et moi restions à la maison.

J'avais beaucoup de tâches, dont la plantation des légumes, du riz, des champignons et je m'occupais des tâches ménagères. Comme j'étais si occupée avec le travail, je devais m'absenter souvent de l'école. Mes camarades de classe me taquinaient en disant que j'étais une enfant sans mère. Les enseignants ont demandé : « Pourquoi es-tu toujours absente ? » Cela m'a fait sentir inférieure aux autres. Craignant qu'une belle-mère ne nous traite pas bien, mon père ne s'est jamais remarié.

Comme il subissait tant de pression, tenir sur ses épaules les responsabilités pour la famille, il était très sévère avec moi. Dès que je voyais son visage en colère, j'avais peur, ce qui a donné lieu à mon caractère introverti quand je suis devenue grande. Je n'osais pas bavarder avec les autres. Je m'inquiétais du fait que si je disais quelque chose d'inapproprié, l'autre personne serait froissée. Chaque fois que quelqu'un ne faisait pas attention à moi, j'arrêtais de parler. J'ai grandi en me souciant trop de l'opinion des autres à mon sujet.

Après avoir commencé à pratiquer, j'ai compris que ma mission consistait à sauver des gens, en particulier les Chinois du continent. Mais en raison de mon caractère introverti et mon manque d'estime de soi, je manquais de confiance en moi. En me regardant dans un miroir, j'avais les larmes aux yeux, mais j'ai dit très fermement : « Je dois apprendre comment appeler les gens pour les sauver. » Encouragée par les compagnons de cultivation, je me suis jointe à la plateforme RTC, un groupe en ligne qui fait des appels téléphoniques en Chine pour clarifier la vérité sur la persécution et aider les gens à démissionner du Parti communiste.

On m'a donné des occasions de m'améliorer. Même si c'était encore très difficile pour moi en raison de mon fort attachement à la peur, j'ai pensé : « Les pratiquants m'ont aidée. Si je ne fais toujours pas ma part, non seulement je perdrai la chance, mais je n'aurai pas réussi à remplir mon vœu historique. Peu importe combien mon chemin est cahoteux, je dois persévérer. » Petit à petit, je me suis améliorée et je me suis jointe à la plateforme chaque soir pour former un corps avec les compagnons de cultivation partout dans le monde.

Afin d'aider plus de pratiquants à apprendre comment téléphoner en Chine pour sauver des gens, la plateforme RTC a mis sur pied une équipe de formation. Quand le coordinateur m'a demandé d'être responsable de la coordination de l'équipe, j'ai senti que je n'étais pas capable de le faire. J'étais inquiète du fait que si je ne le faisais pas bien, cela aurait un impact négatif sur nos efforts pour sauver des êtres. Le coordinateur m'a encouragée. Je me suis rendu compte que tout arrivait pour une raison cela pourrait très bien faire partie de mon vœu. Je me suis aussi rendu compte que c'était une occasion de m'améliorer. Finalement, j'ai décidé d'accepter et je fais cela depuis quelques années.

Abandonner mon ego et cultiver la bienveillance

En raison du début du virus du PCC (coronavirus), nous ne pouvions pas nous rendre aux attractions touristiques pour clarifier les faits aux gens. Par conséquent, appeler les gens en Chine est devenu très important. Puisque j'étais une coordinatrice, j'étais aussi responsable des formulaires d'inscription. Au début, j'ai senti que ce serait simple – aider les pratiquants à remplir leur formulaire d'inscription. Mais comme de nombreux pays étaient en confinement, plusieurs pratiquants ont commencé à s'inscrire pour la formation.

En plus de faire les arrangements pour la formation, je devais aussi répondre aux questions des pratiquants de partout dans le monde qui sont venus sur la plateforme à différentes heures. J'ai fini par répondre à la même question de multiples fois, parfois jusqu'à ce que j'aie presque perdu ma voix. J'ai pensé : « Pourquoi n'ai-je pas préparé un document et l'avoir ensuite envoyé à tous ? » Puis j'ai pensé : « J'attendrai que tout le monde arrive en ligne et ensuite je donnerai des explications à tous. Mais la réalité était qu'ils n'étaient jamais en ligne en même temps. Donc, compléter l'inscription pour une personne pouvait facilement prendre une heure.

Chaque fois après avoir terminé la formation pour le grand groupe, dès que je me connectais sur la plateforme, il y avait des pratiquants qui me cherchaient pour s'inscrire dans les petits groupes. J'étais occupée avec le travail chaque jour.

Ce qui me donnait le plus grand mal de tête était la division des équipes. Les créneaux horaires qu'ils désiraient étaient tous différents. Je devais garder le même nombre de personnes dans chaque équipe, alors cette tâche prenait beaucoup de temps. Les pratiquants ne voyaient pas le travail derrière l'inscription. Mais ils voulaient tous être assignés au groupe où la personne responsable était en leur faveur. Certains d'entre eux n'ont pas suivi les groupes que je leur ai assignés, mais plutôt prenaient des renseignements sur ce groupe aujourd'hui et un autre demain.

Si certains ne sont pas allés aux groupes auxquels ils ont été assignés, cela a mis la pagaille dans l'ensemble du plan de formation. Donc j'avais du travail additionnel et difficile à faire : persuader ces pratiquants d'aller aux groupes auxquels ils appartenaient, pour suivre la formation, même si cela pouvait les offenser. Mais, afin de garder le plan de la formation dans son ensemble, je devais quand même faire cela.

Pendant le processus, j'ai rencontré certains conflits. Une fois, devant plusieurs personnes, une pratiquante m'a dit d'une voix forte : « Pourquoi êtes-vous toujours en désaccord avec moi ? » J'ai souri et répondu : « Je ne vous connais même pas. Pourquoi devrais-je me battre avec vous ? » Puis elle m'a défiée et a dit d'une voix forte : « Comment avez-vous divisé les groupes ? » J'ai réfléchi : « Cela teste mon xinxing. » Je lui ai répondu : « Veuillez le voir de mon point de vue et soyez compréhensive. » Elle s'est calmée.

Cette formation a été arrangée pour les nouveaux venus. Une pratiquante s'est jointe à la formation auparavant et savait déjà comment faire des appels, mais elle voulait suivre la formation encore. Avec de si nombreux nouveaux venus, j'ai dû lui dire : « Vous avez assisté à la formation auparavant, veuillez laisser cette occasion aux nouveaux venus. Nous pourrions faire des arrangements pour que vous alliez dans la salle de diffusion no 2, où il y a certains pratiquants qui donnent la formation. »

Elle était très froissée et a dit : « D'accord, j'irai plutôt dans une plus petite salle de conférence pour faire des appels. » J'ai baissé ma voix et dit : « Ne vous inquiétez pas. Nous ne devrions pas nous séparer et tomber dans le piège des forces anciennes. Nous devrions former un corps et sauver les gens que nous sommes censés sauver, n'est-ce pas ? » Je l'ai entendue pleurer. Elle a dit : « Vous avez raison ! Faire bien les choses que nous sommes supposés faire est le plus important. » J'ai eu aussi les larmes aux yeux. Elle m'a envoyé un texto pour présenter des excuses le lendemain. Nous avons toutes deux réussi à nous rectifier et à maintenir notre xinxing. Parfois, maintenant, nous sommes sur le même quart de travail et nous travaillons ensemble pour passer les appels.

Le Maître a dit :

« Ainsi à l’avenir, dans votre pratique de gong, vous allez rencontrer toutes sortes d’épreuves dues aux démons. Sans ces épreuves-là, comment pourriez-vous cultiver ? À supposer que tout le monde s’entende bien, sans aucun conflit d’intérêts, sans aucune interférence venant de l’esprit des hommes, vous n’auriez qu’à rester assis là et votre xinxing s’élèverait ? Cela ne marchera pas. On ne peut s’élever qu’en étant mis à l’épreuve par les démons dans la réalité quotidienne. » (Quatrième leçon, Zhuan Falun)

Il y a eu de nombreux cas de ce genre. Je n'étais pas dans un bon état de cultivation pendant un certain temps. J'étais froissée parce que je me suis occupée de nombreux petits détails et j'ai senti qu'on se plaignait de moi. J'étais épuisée. Quand j'ai entendu des compagnons de cultivation faire les éloges de la personne qui a donné la formation, j'étais encore plus froissée. Mon attachement à me sentir lésée, les plaintes et la jalousie ont tous surgi. J'ai même pensé : « Suis-je une coordinatrice ? » J'avais l'impression de ne faire que des corvées. Je ne pouvais même pas trouver le temps de faire un appel, mais encore, les pratiquants n'étaient pas compréhensifs à mon égard. Lorsque j'ai failli abandonner, je me suis souvenue de ce que le Maître a dit :

« Qu’on puisse réussir sa cultivation ou non, cela ne dépend que de son cœur, c’est la même chose pour chacun et il n’est pas permis de faire le moindre écart. En revanche, les petits moines qui allument le feu et font la cuisine n’ont pas forcément une mauvaise prédisposition. Plus ces petits moines endurent des épreuves, plus il leur est facile d’atteindre la libération du gong ; plus les doyens des moines vivent confortablement, plus il leur est difficile d’atteindre la libération du gong, car il s’agit là du problème de la transformation du karma. Le petit moine travaille toujours dur et supporte la fatigue, il peut liquider plus rapidement son karma et atteindre plus vite l’éveil ; un jour peut-être, son gong est soudainement libéré. » (Septième leçon, Zhuan Falun)

En effet ! En tant que coordinatrice, c'était difficile d'élever son niveau, mais en travaillant aussi dur qu'un petit moine, on pourrait vraiment éliminer ses attachements et élever son niveau. J'ai senti comme si j'avais enlevé une couche et je me suis calmée. Dès lors, je me suis investie davantage à aider les pratiquants. J'espère que nous formerons un corps en travaillant les uns avec les autres, ainsi qu'un champ plus puissant pour sauver les êtres.

Utiliser chaque moment pour sauver les gens

En voyant les autres pratiquants faire des appels chaque jour, j'étais inquiète de prendre du retard. J'ai pensé : « Cela n'ira pas. Je dois trouver un peu de temps pour passer des appels. » Le lendemain, après avoir fini de traiter les inscriptions des pratiquants, j'ai rapidement passé un appel à une personne prédestinée. Il a décidé de démissionner du PCC (Parti communiste chinois) tout de suite après avoir fini de m'écouter. Quand je lui ai demandé : « Avez-vous quelqu'un avec vous ? » Il m'a dit qu'il y avait trois autres personnes avec lui. Je les ai aussi aidés à renoncer à leur adhésion au PCC. Avec cet appel, quatre personnes ont été sauvées. Dès que j'ai raccroché, on m'a demandé d'assister à une réunion. J'étais très enthousiaste et j'ai remercié le Maître pour son encouragement.

Puisque des pratiquants de partout dans le monde se sont inscrits à la formation, les pratiquants locaux se sont sentis encouragés à se joindre à la plateforme pour passer des appels téléphoniques. J'ai invité un pratiquant voisin à se joindre à la formation. Comme il était très occupé avec son travail, je lui ai donné les documents de formation afin qu'il puisse les apprendre tout seul.

Un jour, il a dit qu'il voulait venir à mon domicile pour apprendre à faire des appels. Il est venu avec un bloc-notes épais dans sa main. Quand je l'ai ouvert, j'ai vu qu'il était rempli de notes. Il a dit qu'il préférait écrire les notes, ce qui lui était plus facile à se rappeler. Il avait écrit des informations sur le Falun Dafa, le coup monté de l'« incident des auto-immolations » et même ce que les pratiquants ont dit mot à mot. Puis il a utilisé des bouts de papier pour marquer différents sujets. Son dévouement m'a touchée et j'ai eu un peu honte.

Quand il est revenu, je l'ai encouragé à passer des appels. Au premier appel, il a suivi les documents dans son carnet pour parler à la personne au bout du fil. À la fin, la personne a demandé : « Est-ce que M. Li Hongzhi va bien ? » Cela l'a profondément touché. Il a senti que le Maître l'encourageait pour la première fois qu'il faisait un appel. Chaque fois qu'il appelait, il pouvait sauver quelques êtres prédestinés. Il s'est aussi joint à quelques pratiquants pour faire des appels ensemble.

Un nouveau pratiquant a aussi participé à la formation. Depuis lors, il s'est connecté à la plateforme pour clarifier les faits aux gens et est devenu compétent en quelques mois. En particulier quand il rencontrait des gens qui avaient des idées fausses sur nous, il arivait quand même à utiliser les documents en main pour les aider à démissionner du PCC.

La plateforme a récemment commencé à adopter une nouvelle façon de passer des appels. Dans le but de former un corps dans l'ensemble, tous les pratiquants taïwanais devaient se relayer pour le quart et non seulement les pratiquants de cinq régions à Taïwan. La première fois que cela s'est produit, j'étais responsable. Comme la plupart d'entre eux étaient nouveaux dans le nouveau système, j'ai dû les aider et j'étais assez occupée avec cela, donc je n'ai pas passé d'appels. J'ai pensé : « En plus d'aider les autres pratiquants, je dois aussi trouver du temps pour passer des appels. » La deuxième fois que j'ai été sur le quart, j'ai remarqué qu'un pratiquant se connectait, alors je l'ai aidé à s'installer.

À la minute que je l'ai déplacé dans une autre pièce, je l'ai soudain entendu dire : « Falun Dafa est merveilleux ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est merveilleux ! Aider le Maître dans la rectification de Fa ! Sauver les êtres ! Pensée droite et comportement droit. » Cela m'a pris par surprise. Après avoir installé tout le monde, j'ai compris que c'était le moment pour moi de passer des appels. Je me suis souvenue de ce que ce pratiquant venait de dire, alors je l'ai dit. J'ai immédiatement senti que mon corps était entouré par l'énergie. Puis j'ai décroché le téléphone et commencé à composer un numéro.

L'appel est passé. J'ai fini de clarifier les faits à l'homme et j'ai utilisé un pseudonyme pour l'aider à démissionner du Parti. J'ai demandé : « La dame avec vous était-elle un membre de votre famille ? Est-elle aussi membre du Parti ? » Il m'a répondu qu'elle l'était. J'ai demandé si je pouvais utiliser « Shenglian » (lotus sacré) pour l'aider à démissionner du PCC. Elle n'aimait pas « Shenglian » mais plutôt « Meihua » (fleur de prunier). J'ai dit : « Bien sûr. » Elle a accepté.

En août, beaucoup de pratiquants vietnamiens se sont connectés à la plateforme. Ce qui m'a vraiment émue était que la majorité d'entre eux ne savent pas parler le chinois, mais ils ont appris le chinois afin de sauver les êtres. De plus, ils se sont connectés à la plateforme pour se joindre à la formation chaque jour. Quand j'ai assigné des groupes, je les ai mis dans l'équipe des pratiquants chinois pour les aider.

Une pratiquante taïwanaise m'a dit qu'elle devait travailler le jour, son temps dans la soirée était limité. Puisqu'elle apprenait encore à aider les gens à démissionner du PCC, elle ne voulait pas aider les pratiquants vietnamiens. Plus tard, une autre pratiquante a partagé que lorsqu'elle a vu des pratiquants vietnamiens apprendre péniblement le chinois juste pour les sauver, elle s'est connectée expressément à la plateforme tôt afin de les aider à apprendre les documents d'information.

Après avoir entendu son partage, la pratiquante qui ne voulait pas les aider au début m'a laissé un message disant qu'elle ne devrait pas être si égoïste. Elle devrait aider les Vietnamiens.

Une fois, une pratiquante vietnamienne m'a envoyé plus de 200 numéros à enlever du système – elle les a tous aidés à démissionner du PCC. J'étais sous le choc. Je me suis dit : « Je parle le chinois ! Je devrais saisir le temps pour sauver les gens ! »

Regarder à l'intérieur et équilibrer la famille et le travail de Dafa

Comme j'étais occupée sur la plateforme, j'ai passé moins de temps avec mon mari. Dans le passé, il n'était jamais contre ce que je faisais. Mais récemment j'ai remarqué que son comportement a changé et il est devenu très impoli avec moi, allant même jusqu'à m'injurier. Il passait aussi beaucoup de temps sur son téléphone portable.

Je n'ai pas regardé à l'intérieur. J'ai pensé que c'était parce qu'il était attaché à regarder son téléphone portable que son caractère avait changé et j'ai commencé à le blâmer. Récemment, je lui ai demandé où il était allé faire des travaux de rénovation, c'est ce qu'il fait pour gagner sa vie. Il m'a dit qu'il était allé au domicile de ma camarade de classe.

J'ai dit : « Oh, tu es allé là-bas. » Il n'était pas très content et a dit : « Elle m'a demandé pourquoi ma femme n'était pas venue. » J'ai dit : « Pourquoi dois-je être là-bas ? Je suis si occupée. J'interagis rarement avec elle. » Mon mari a dit : « Tu es assise devant ton ordinateur chaque jour. Est-ce que c'est ça la cultivation ? Combien de temps passons-nous ensemble ? » Je n'ai pas maintenu mon xinxing et j'ai dit : « Ne comprends-tu pas pourquoi je dois pratiquer ? Notre fille et moi avions des problèmes de santé. Nous sommes devenues en santé en cultivant Dafa. » Puis j'ai continué à n'en plus finir.

Nous avons cessé de nous parler pendant quelques jours. Puis j'ai commencé à regarder à l'intérieur. Ce qu'il a dit était vrai. Chaque soir, je passais des heures sur la plateforme et je n'avais pas de temps pour bavarder avec lui. Mais nous devons sauver les gens autour de nous. Le lendemain, j'ai changé mon comportement. Après son retour du travail, je me suis approché de lui avec un bol de dessert. J'ai dit gentiment : « As-tu faim ? Pourquoi ne prends-tu pas le dessert en premier ? Le dîner sera prêt bientôt. » Maintenant, avant de me connecter sur la plateforme, j'essaie toujours de lui préparer une tasse de thé et de bavarder avec lui.

Son comportement a changé et maintenant nous bavardons. Auparavant, je me suis même plainte de mon ancienne camarade de classe, car je pensais que c'était elle qui avait déclenché notre conflit. Maintenant, en y repensant, mes conceptions étaient responsables de cela. Je devrais vraiment la remercier de m'avoir aidée à identifier mon attachement.

Ce qui précède est mon partage, veuillez signaler avec bonté tout ce qui est inapproprié.

Merci Maître ! Merci compagnons de cultivation !

(Partage présenté au Fahui 2020 de Taïwan)

Traduit de l'anglais