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Perspectives dans l'histoire : Quel genre de personnes ont survécu aux épidémies ?

17 février 2021 |   Écrit par Xiao Jue

(Minghui.org) Au cours des milliers d'années de civilisation humaine, les gens ont toujours lutté pour trouver des remèdes aux épidémies, y compris l'actuelle pandémie de coronavirus.

Thucydide, un témoin de la peste d'Athènes (430-426 av. J.-C.), a écrit : « Il n'y avait pas non plus de raison de dire que certains médicaments qui s'appliquaient devaient les aider ; car si cela faisait du bien à l'un, cela faisait du mal à un autre. Ni aucune différence de corps, qu'il soit fort ou faible, qui a pu lui résister ; mais il a tout emporté, quel que soit le remède physique administré. »

La peste de Justinien (541-549 après J.-C.), une pandémie qui a tué environ un cinquième de la population de la capitale impériale romaine et fait 25 millions de victimes au total, semble également avoir évité certaines personnes. Evagrius, historien de l'Église à l'époque, a découvert que certaines personnes n'étaient tout simplement pas infectées malgré leur proximité avec les patients. Certains qui ont perdu des membres de leur famille ont étreint les morts, espérant mettre fin à leur propre vie, mais ils sont restés en bonne santé tout au long de leur vie.

Dans l'histoire de la Chine, les quelques types de personnes suivantes ont souvent échappé à la malédiction des épidémies. Ce schéma peut nous aider à faire face à la pandémie aujourd'hui.

Être bon et vertueux

Guan Shiren, un haut fonctionnaire de la dynastie des Song, s'est un jour levé tôt le Jour de l'An pour un court voyage au cours duquel il a rencontré plusieurs grands fantômes. Lorsque Guan leur a demandé pourquoi ils étaient là, un fantôme lui a répondu qu'ils étaient venus pour répandre la maladie au nom de la divinité des fléaux. Le fantôme a également ajouté que la famille de Guan se porterait bien.

Lorsqu'il lui a été demandé pourquoi, le fantôme a répondu qu'ils évitaient trois types de familles lorsqu'ils répandaient des maladies. Le premier type était les familles qui avaient été vertueuses et avaient fait de bonnes actions au cours des trois dernières générations. Le deuxième type était des familles qui étaient prédestinées à la prospérité. Le troisième type était constitué de familles qui n'avaient jamais mangé de viande de bœuf (certains taoïstes en Chine considèrent le bœuf comme une nourriture taboue). La famille de Guan avait été droite et appartenait à la première catégorie.

Plus tard cette année-là, la peste s'est répandue dans la province du Zhejiang où vivait Guan, mais sa famille a été épargnée.

Se repentir des méfaits

Lorsque la peste a éclaté sous la dynastie Han, le célèbre taoïste Zhang Daoling a demandé aux personnes infectées par la maladie d'écrire un par un les méfaits commis dans leur vie. Après avoir écrit leurs méfaits sur un morceau de papier, les patients mettaient le papier dans l'eau et émettaient le vœu de ne plus faire de mal. Ils ont également promis que, s'ils rompaient leur vœu, ils préféreraient qu'on mette fin à leur vie.

Les maladies de nombreuses personnes ont disparu après avoir fait cela. Les habitants d'autres régions en ont entendu parler et ont suivi le mouvement. Des centaines de milliers de personnes ont survécu au fléau grâce à cette méthode.

Il y a un dicton chinois qui dit qu'« il y a des divinités trois pieds au-dessus de notre tête ». Quand on se repent sincèrement, le divin nous bénit avec une bonne santé.

Tenir compte des conseils du divin

Meng Xi Bi Tan (« Discussions de pinceau depuis un petit ruisseau de rêve ») de la dynastie Song raconte l'histoire d'un taoïste nommé Tongzhao. En visitant la montagne de Yandang dans la province du Zhejiang, il a vu une personne aux cheveux et à la barbe grise, mais qui ressemblait à un jeune homme. Cette personne, qui se déplaçait rapidement sur des feuilles, s'est révélée être une divinité.

La divinité a dit deux choses à Tongzhao. La première était que l'empereur de Shenzong serait malade neuf ans plus tard et aurait besoin d'un médicament spécial. Il demanda alors à Tongzhao de garder et de donner une pilule spéciale à l'empereur le moment venu. La seconde était qu'un fléau éclaterait l'année suivante et que cette région serait fortement infectée. « Votre nom est déjà inscrit sur le registre des décès. Mais si vous prenez mes médicaments et travaillez dur pour être bon, vous pouvez survivre », dit la divinité. Il a alors pris une feuille d'Arborvitae de son sac et l'a fait avaler à Tongzhao.

Et en effet, Tongzhao s'est bien cultivé pour être bon. L'année suivante, un fléau a tué près de la moitié de la population, mais il a survécu. Suivant les paroles de la divinité, Tongzhao donna également le médicament spécial à l'empereur. Mais l'empereur pensa que c'était une absurdité et déclina le médicament, il mourut à 36 ans.

Tongzhao et l'empereur ont interprété différemment les conseils de la divinité et ont rencontré des destins différents.

Réciter des incantations

Yi Jian Zhi raconte l'histoire de Hong Yang de la dynastie Song. Une fois, il rentrait chez lui depuis le canton de Leping (dans l'actuelle province du Jiangxi) avec trois serviteurs. Il faisait déjà nuit et le clair de lune était faible. Tout à coup, un bruit fort vint de la montagne. Les quatre s'arrêtèrent pour trouver un abri. À ce moment-là, un monstre scintillant de 9,8 mètres de haut apparut. Deux des serviteurs furent si effrayés qu'ils s'évanouirent, et le troisième se cacha en retenant son souffle.

Hong Yang récitait des incantations bouddhistes tous les jours. À ce moment, il commença à réciter le mantra et il le fit des centaines de fois. Le monstre se tenait toujours là. Hong Yang avait peur également, mais il n'arrêtait pas de réciter les incantations. Au bout d'un moment, le monstre recula et cria : « Je m'en vais ! » Il se dirigea vers la résidence d'un villageois et disparut.

Hong Yang tomba malade une fois rentré chez lui, et il lui fallut environ un an pour se rétablir. Les deux serviteurs qui s'étaient évanouis sont morts par la suite, et le troisième fut malade pendant un an. Plus tard, Hong Yang alla voir le villageois et constata que toute la famille de cinq personnes était morte de la peste. Il comprit alors, que le monstre était un fantôme de la peste.

Réciter la phrase propice de neuf mots

À la fin janvier 2021, plus de 100 millions de personnes dans le monde ont été infectées par le coronavirus, et plus de deux millions en sont mortes. Cela signifie qu'une personne sur 70 dans le monde a contracté la maladie, et que 2 à 3 cas sur 100 cas confirmés sont morts. Outre les préoccupations relatives aux effets secondaires des vaccins, les nouvelles variantes apparues se sont révélées plus contagieuses et plus mortelles, ce qui remet en question l'effet des vaccins.

De nombreux scientifiques et experts ont également mis en doute l'efficacité des mesures de confinement. Le confinement draconien du Parti communiste chinois, comme le fait de sceller les portes des résidents et de ne pas les laisser sortir du tout, a causé d'énormes dégâts.

De nombreuses personnes ont appliqué la sagesse ancienne au défi des temps modernes et ont suivi les conseils des pratiquants de Falun Dafa de réciter les phrases de bon augure « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Cela leur a apporté des bénédictions et des miracles.

Dans un récit reçu par Minghui.org, on a diagnostiqué à M. Li de Wuhan, âgé de 80 ans, une infection au coronavirus en janvier 2020. Au moment de son hospitalisation, il a été confirmé que ses poumons étaient opaques et que sa vie était en danger. Certains de ses proches qui pratiquent le Falun Dafa l'ont incité à réciter les deux phrases. Il a accepté le conseil. Il s'est vite remis et a été libéré en sept jours. Alors qu'une enquête a montré que 73 % des patients atteints de coronavirus avaient des complications après le traitement et la guérison, M. Li n'en a eu aucune, comme s'il n'avait jamais eu la maladie auparavant.

Ah-Xia, une pratiquante de Falun Gong en Indonésie, a un ami qui a eu une expérience similaire. Dans un article de Minghui publié en janvier 2021, son ami est resté à l'hôpital pendant dix jours sans aucune amélioration. Ayant entendu parler de cette situation, en particulier du mal de tête de son ami, Ah-Xia lui a suggéré de continuer à réciter les deux phrases de bon augure. L'ami a suivi son conseil. Le résultat de son test suivant s'est avéré négatif, et il a rapidement eu l'autorisation de sortir de l'hôpital.

La culture traditionnelle chinoise met l'accent sur la valeur de la vertu et d'être bon. Lorsque nous agissons vraiment en accord avec notre conscience et que nous soutenons des principes justes, nous sommes bénis. Ceux qui s'identifient au Falun Dafa seront également protégés par le divin et pourront ainsi conjurer le virus avec une énergie vertueuse.

Dire non au PCC

La culture traditionnelle chinoise a été presque anéantie par le PCC au cours des dernières décennies. Après avoir réprimé les gens économiquement, culturellement, et politiquement, le régime s'est rapidement étendu, poussant l'idéologie communiste dans le monde entier. Attirés par les accords commerciaux, de nombreux dirigeants du monde entier ont plié les genoux devant le PCC. Cela ressemble à la description de la prostituée de Babylone dans le Livre de l'Apocalypse, « avec laquelle les rois de la terre se sont livrés à la fornication, et les habitants de la terre ont été enivrés du vin de son impudicité. »

Les schémas de la pandémie montrent que la maladie suit les traces de l'influence du PCC. Sur une liste interne des décès dus aux coronavirus en Chine à partir de mars 2020, parmi les 327 personnes de la liste qui sont mortes du coronavirus, 217 (66 %) étaient membres du PCC. Les statistiques ont également montré que les fonctionnaires, les célébrités et les régions qui prônent le communisme ou le socialisme ont tendance à avoir un risque d'infection plus élevé. Aux États-Unis, par exemple, le taux de mortalité dû au coronavirus dans les États bleus est au moins deux fois plus élevé que dans les États rouges.

Avec les variantes récemment découvertes et l'incertitude des vaccins, nous ne savons pas encore combien de temps cette catastrophe va durer ou s'aggraver. En tout cas, le fait de chérir la vertu et de rester fidèle à notre croyance nous aidera dans cette ère chaotique. Faire face au programme mondialiste du PCC, reconnaître le mal que le communisme a causé à l'humanité et rester à l'écart du régime nous apportera également des bénédictions.

Il y a un dicton qui dit que les épidémies ont des yeux et ne ciblent pas des personnes ou des régions au hasard. Si c'est le cas, tout ce que nous apprend l'histoire peut nous aider à assurer notre sécurité et celle de nos familles.

Traduit de l'anglais