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Croire dans Authenticité-Bienveillance-Tolérance m'a aidée à survivre à une infection à la COVID-19

21 mars 2021 |   Écrit par la femme d'un pratiquant de Falun Dafa aux États-Unis

(Minghui.org) Je m'appelle Carolyn et je suis l'épouse d'un pratiquant de Falun Dafa, j'ai 37 ans. Après cinq ans de mariage, je suis tombée enceinte de notre premier enfant.

Infectée par la COVID-19 pendant ma grossesse

Mes symptômes ont commencé le jeudi 7 janvier. Pendant les deux ou trois premiers jours, j'ai ressenti un léger inconfort au niveau de la gorge, ainsi que des bouffées soudaines de chaleur et de froid.

Le dimanche 10 janvier, j'ai commencé à avoir extrêmement froid. Bien que j'aie suivi le conseil de mon mari de prendre un bain de soleil, les frissons ont persisté, même si j'étais emmitouflée de la tête aux pieds dans d'épaisses couvertures. Mon mari m'a dit qu'il n'y avait presque pas de vent. Cependant, j'avais tellement froid que même une légère brise me faisait mal à la tête. J'avais ressenti des symptômes similaires lorsque j'avais contracté la grippe au cours de mon troisième mois de grossesse. En repensant au vaccin contre la grippe que j'avais pris plus tôt, je me suis sentie assez contrariée. Il n'avait rien fait pour prévenir cette dernière infection. J'ai refusé d'envisager la possibilité de la COVID-19, jusqu'à ce que je commence à voir des signes plus probants de la maladie.

Peu après, mon nez s'est tellement congestionné que je pouvais à peine respirer, tandis que ma cavité nasale est devenue incroyablement sèche et douloureuse. Je n'avais jamais connu de tels symptômes auparavant. Je ne pouvais respirer que par la bouche. Je devais aussi constamment évacuer les mucosités de ma gorge, et mes lèvres étaient sèches et craquelées. Mais le pire, c'était les douleurs corporelles constantes. Tout mon corps, même mes articulations, me faisait si mal que je pouvais à peine supporter la douleur.

Le lundi 11 janvier, je me suis réveillée en constatant que la sensation de douleur s'était intensifiée. N'ayant plus beaucoup d'options, j'ai décidé d'appeler notre médecin de famille, dans l'intention de lui demander des médicaments anti-inflammatoires pour accélérer mon rétablissement.

J'ai appelé la clinique à la première heure du matin. Cependant, la réceptionniste de la clinique m'a informée que leur clinique recevait un afflux de patients atteints de la COVID-19. Notre médecin de famille ne pourrait me contacter que plus tard. Il était 18 heures ce soir-là lorsque le médecin a finalement retourné mon appel. J'ai décrit mes symptômes et le médecin m'a immédiatement dit que j'avais probablement la COVID-19. Il m'a conseillé de subir un test de diagnostic des acides nucléiques et m'a suggéré d'acheter un oxymètre de pouls pour surveiller la saturation en oxygène de mon sang. Si la lecture de l'appareil tombait en dessous de 90 %, je devais demander un traitement d'urgence immédiat.

Ce lundi soir, ma fièvre a augmenté. Cela s'ajoutait à mon mal de gorge, à la présence de mucus et à mes fortes douleurs corporelles. J'étais incapable de dormir à cause de l'inconfort extrême. Dans le passé, j'avais l'habitude de donner la priorité à mon rêve de posséder ma propre maison, de posséder des biens de luxe et de poursuivre les plaisirs mondains. Cette période de souffrance m'a permis de réaliser à quel point ces rêves étaient dénués de sens.

Le lendemain, je suis allée faire un test de diagnostic et j'ai reçu un résultat positif confirmant que j'avais la COVID-19. J'étais alors enceinte de vingt-six semaines.

Ma fièvre est devenue insupportable. J'avais alternativement chaud et froid, transpirant un moment et tremblant de froid le moment suivant. Le taux d'oxygène dans mon sang est tombé à 94 % à un moment donné, tandis que mon cœur battait à 135 battements par minute. La douleur causée par mes autres symptômes était déjà si forte que je ne ressentais aucun inconfort et ne prêtais guère attention à la rapidité de mon rythme cardiaque.

Ma maladie s'est aggravée jusqu'à ce que je sois incapable de me lever de mon lit. Mon mari a commencé à servir mes repas à mon chevet et à me nourrir, cuillerée par cuillerée. Pendant tout ce temps, ma plus grande peur était pour mon enfant à naître. Mon incapacité à ressentir les mouvements du fœtus m'a rendue très inquiète. Cet après-midi-là, j'ai pris des médicaments contre la fièvre. Bien que ma fièvre soit rapidement tombée, elle est remontée deux heures plus tard. Mon mal de gorge s'est aggravé. Le fait même d'avaler ma propre salive me faisait extrêmement mal. J'étais si essoufflée que je ne pouvais plus parler. J'ai craché tellement de mucosités que des mouchoirs souillés débordaient de ma poubelle à la fin de la journée. À ce moment-là, je me sentais vraiment proche de la mort.

Réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon »

Mon mari et ma belle-mère pratiquaient le Falun Dafa depuis des années. Mon mari avait déjà expliqué la bonté et la magie du Falun Dafa. Inspirée, j'avais essayé de pratiquer le Falun Dafa pendant quelques mois. Cependant, les miracles décrits par mon mari ne s'étaient jamais matérialisés. Découragée, j'avais arrêté de pratiquer quelques mois plus tard.

Au plus fort de ma souffrance, je me suis soudain souvenue d'une conversation téléphonique que j'avais eue avec une amie. Je lui avais parlé de mon dernier examen de maternité, au cours duquel mon gynécologue avait déterminé que mon enfant était dans une position fœtale anormale, ce qui augmentait le risque d'hémorragie grave et d'accouchement prématuré. J'étais très inquiète. Contre toute attente, mon amie m'a rassurée en me disant que ses deux enfants étaient dans une position fœtale anormale, mais que ses grossesses s'étaient quand même bien déroulées. Son premier enfant avait été mis au monde en pleine santé, sans aucune complication. Avec son deuxième enfant, elle avait connu trois épisodes de légers saignements, mais avait quand même accouché sans problème. Mon amie m'a alors conseillé de réciter la phrase « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » pour surmonter les situations dangereuses et demeurer en toute sécurité.

Encouragée par ce souvenir, j'ai commencé à réciter les phrases. J'en ai également parlé à mon mari et à ma belle-mère. Avec cette bouée de sauvetage, ma peur s'est immédiatement estompée. J'ai commencé à réciter « Falun Dafa est bon » toute la nuit. Avant de m'endormir, je rassurais mon fils à naître : « Nous allons surmonter cet obstacle ensemble. »

Le 12 janvier, alors que je souffrais d'une forte quinte de toux qui m'empêchait de dormir, mon mari a fait la remarque suivante : « Changer son cœur peut améliorer une situation. » Je ne comprenais pas le sens de ses paroles.

L'après-midi suivant, mon mari a précisé ses propos. « Une personne peut réciter verbalement la phrase “Falun Dafa est bon” afin d'obtenir des bénéfices de Dafa. Pourtant, cette personne peut aussi continuer à faire des actes et à dire des mots qui nuisent à la réputation de Dafa. Il se peut donc que cela ne soit pas efficace. » En entendant ses paroles, je me suis sentie faible et découragée.

Je me suis recouchée et me suis couverte d'épaisses couvertures. Juste à ce moment-là, des mots ont involontairement jailli de ma bouche. « J'ai le Maître et le Fa. Il est temps d'élever mon caractère, et je reconnais mon erreur. Je ne le referai plus. » Ensuite, j'ai continué à réciter silencieusement les phrases « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Deux heures plus tard, mon mari a remarqué mon malaise croissant et m'a donné des médicaments anti-fièvre. Par la suite, j'ai tellement transpiré que ma couverture et mes vêtements étaient trempés.

Ma fièvre a baissé, et mon état a commencé à s'améliorer. Cette nuit-là, j'ai réussi à pratiquer la troisième série d'exercices de Falun Dafa pendant dix minutes.

Au cours des deux jours suivants, je n'ai pas eu de fièvre, mais mon corps a continué à être endolori, en particulier mon dos, et je pouvais à peine bouger. Une toux sèche persistante me résonnait dans la tête et mes poumons étaient tellement à bout de souffle que je ne pouvais pas parler. Ce vendredi-là, j'ai réussi à faire la troisième série d'exercices de Falun Dafa pendant vingt minutes, puis trente minutes le samedi.

Le soir, ma toux était encore assez grave pour que je récite en silence « Falun Dafa est bon » jusqu'à ce que je m'endorme. Deux jours plus tard, mes symptômes respiratoires ont miraculeusement disparu sans laisser de trace. Mon odorat était la seule chose qui n'était pas complètement rétablie.

J'ai commencé à retrouver mon appétit, tandis que ma force physique et mentale s'améliorait de jour en jour. Outre la pratique de la troisième série d'exercices de Falun Dafa, j'ai également commencé à pratiquer la première série d'exercices. Le 28 janvier, j'ai passé un test de diagnostic de l'acide nucléique, et j'ai obtenu un résultat négatif. Un nouveau test effectué le 3 février a confirmé l'exactitude de ce diagnostic.

Remercier Maître Li Hongzhi d'avoir sauvé la mère et le fils

Ayant confirmé que je n'étais plus infectée par la COVID-19, l'hôpital m'a autorisée à aller passer un examen de maternité. Le gynécologue m'a annoncé la bonne nouvelle. Tout était rentré dans l'ordre. Mon fils n'était plus dans une position fœtale anormale. Je n'avais ni diabète de grossesse ni hypertension, et ma condition physique était excellente. Mon gynécologue m'a dit que je pouvais envisager un accouchement naturel.

À ce jour, j'ai retrouvé mon odorat. J'ai également partagé mon expérience personnelle avec mes amis et mes parents. « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » m'a vraiment aidée à surmonter cette période difficile.

J'espère pouvoir partager mon expérience avec d'autres patients atteints de la COVID-19. Ceux dont l'état ne s'est pas encore amélioré, ceux dont la maladie est grave et ceux pour lesquels la médecine moderne a été inefficace – je vous invite à essayer de réciter les phrases « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », pour que les miracles se réalisent.

Merci Maître Li de nous avoir sauvés, mon fils et moi.

Traduit de l'anglais