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Éveiller la conscience des êtres avec la pensée droite

24 mars 2021

(Minghui.org) En 1997, j’étais malade et clouée au lit. Pour soigner ma maladie, ma tante m’a fait connaître le Falun Dafa. Je me suis rétablie après vingt jours. Toute ma famille était heureuse. Mon mari a raconté mon expérience à tous ceux qu’il rencontrait, et tout le village a entendu parler du pouvoir de Dafa.

Jiang Zemin, ancien chef du Parti communiste chinois (PCC), a commencé à persécuter Dafa en 1999. Mes compagnons de cultivation et moi-même n'avons pas renoncé à notre croyance, mais nous avons plutôt clarifié les faits concernant Dafa auprès des gens. À partir de 2002, les pratiquants de la ville ont commencé à nous fournir des brochures concernant Dafa. Un pratiquant âgé et moi sommes souvent allés les distribuer.

Une nuit, nous avons remarqué quelqu'un qui nous suivait. Nous avons émis la pensée droite pour le « figer ». Il s’est arrêté. Nous avons terminé une autre rue et sommes allés dans un autre village. Peu de temps après, nous avons constaté que des feux de recherche brillaient devant le village où vivait ma mère. La personne qui nous suivait avait dû nous dénoncer. Avec la protection du Maître, nous nous sommes échappés en toute sécurité.

En 2005, j’ai été arrêtée et emmenée dans un camp de travaux forcés. Comme je refusais d’être « transformée », la directrice a ordonné à un groupe « d’assistantes » de me garder. Elles se sont moquées de moi, m’ont ridiculisée et m’ont attaquée.

Une fois, un faux maître de qigong est venu au camp pour donner une conférence. J’ai refusé d’y aller. La directrice a ordonné à deux « aides » de me traîner jusqu’à la salle de conférence et de me garder. Elle me surveillait depuis le côté. J’ai émis la pensée droite pour éliminer la perversité qui se cachait derrière elle et derrière toute la salle de conférence. Petit à petit, elle s’est calmée. Je savais que ma pensée droite était efficace.

L'effet de la pensée droite

Après cela, j’ai émis chaque jour la pensée droite pour me débarrasser des éléments et facteurs pervers qui contrôlaient la directrice. Trois mois plus tard, j’ai vu avec mon œil céleste un serpent qui était mort et séché sur le rebord de la fenêtre. J’ai compris que le Maître me disait que le mal qui contrôlait la directrice avait été détruit.

La directrice a effectivement changé. Elle est devenue paisible et parfois joyeuse. Une fois, elle m’a dit qu’elle avait un problème cardiaque et m’a demandé si elle devait prendre des médicaments. Je lui ai répondu que oui.

J’ai écrit une lettre à la directrice six mois plus tard, lui disant qu’elle devait traiter les pratiquants avec gentillesse et que cela lui apporterait un bon avenir. Elle était heureuse. Elle m’a dit qu’elle n’aimait pas porter son uniforme.

Lors de la réunion de fin d’année, elle a déclaré à tout le monde : « Notre service était le dernier de la division. Nous avions le plus faible taux de transformation. La capitaine m’a reproché de trop vous protéger, surtout elle (en parlant de moi). Je pense que tout le monde ici vit des moments difficiles. Vos vies seraient bien meilleures si je vous laissais un peu de liberté. C’est notre relation prédestinée de nous être rencontrés ici. Ça ne me dérange pas que le capitaine soit mécontent de moi. Je prendrai ma retraite dans deux ans. D’ici là, vous serez tous partis vous aussi. »

La directrice a continué à traiter les gens avec gentillesse, et elle a secrètement protégé les pratiquants inébranlables. J’étais heureuse que sa conscience se soit éveillée.

Je récitais le Fa et émettais la pensée droite dans le camp de travail. Chaque fois que les personnes malveillantes essayaient de forcer un pratiquant à se « transformer », je disais dans mon esprit : « Aidez-moi, Maître, et donnez-moi la sagesse et le pouvoir afin que je puisse dissoudre le mal et les empêcher de commettre des crimes contre les pratiquants. » Puis j’émettais la pensée droite. Quelques minutes plus tard, les méchants s’arrêtaient.

La capitaine était très méchante. Elle venait souvent dans le couloir et criait dans les cellules. Chaque fois qu’elle venait, je demandais au Maître de renforcer mon pouvoir et de dissoudre les mauvais esprits et les serviteurs des ténèbres qui la contrôlaient. Puis j’émettais la pensée droite jusqu’à ce qu’elle s’arrête.

La capitaine faisait toujours le tour de notre cellule. J'ai vraiment réalisé que « la pensée droite des disciples de Dafa est puissante. » (« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Face à d'anciens pratiquants « transformés », je les ai d'abord détestés. Puis, je me suis rendu compte qu'ils étaient également pitoyables. J'ai écrit un poème, « Lotus clair », et je l'ai partagé avec d'autres. De nombreuses personnes m'ont approchée. Chaque jour, une personne me demandait d'écrire un poème pour elle. Beaucoup de gens ont réalisé que c'était mal de renoncer à Dafa.

Une ancienne pratiquante était douée pour la peinture. Un jour, elle a peint un tableau représentant trois policiers en train d’arrêter un pratiquant. J’ai senti qu’elle était revenue à la raison. Elle m’a donné une peinture représentant deux fleurs de lotus avec mon poème à côté. Je n’ai pas pu m’empêcher de faire l’éloge de cette œuvre et j’étais heureuse qu’elle puisse revenir à Dafa.

De nombreuses personnes lui ont demandé de peindre pour elles. Certaines ont emporté les peintures à la maison. Tout le groupe de prisonnières est devenu harmonieux. Quelques mauvaises personnes ont changé de comportement et n'étaient plus aussi incontrôlables.

Distribution de documents de Dafa

Une nuit de 2008, Mei, une compagne de cultivation et moi sommes allées dans un village situé à environ 10 km de notre région pour distribuer des tracts. Une personne en moto est arrivée et nous a demandé qui nous étions.

« Nous ne faisons que passer. Pourquoi nous avez-vous arrêtées ?

– Que faites-vous ici ?

– Nous ne faisons que passer. C’est interdit ?

– D’où venez-vous ?

– En quoi cela vous concerne-t-il de savoir d’où nous venons ?

– Si vous ne me le dites pas, vous ne pourrez pas aller plus loin.

– Qu’est-ce que vous voulez dire ? Il fait si sombre ici. Qu’est-ce que vous essayez de faire en nous arrêtant ? »

Notre pensée droite l’a réprimé. Il a adouci son ton et a dit : « Le gouvernement organise les Deux Sessions. Ils veulent que nous patrouillions pour empêcher les pratiquants de Falun Gong de distribuer des tracts. » Nous avons répondu : « Vous êtes donc un fonctionnaire du village. Cela ne nous dérange pas puisque vous exercez vos fonctions. » Il est remonté sur sa moto et est parti. Nous sommes passées dans une autre rue et avons fini de distribuer les tracts.

Le lendemain, une voisine de Mei qui venait de rentrer de chez sa mère dans le même village lui a dit : « Deux pratiquantes de Falun Gong sont venues dans notre village pour distribuer des tracts. Le directeur de la sécurité de notre village les a arrêtées. Elles ont dit qu’elles ne faisaient que passer, et le directeur les a crues. Ce matin, tous les habitants du village ont trouvé un tract chez eux. Le directeur de la sécurité était ennuyé d’avoir laissé partir les deux personnes. »

Arrêtés et harcelés

De nombreux pratiquants ont été arrêtés et d’autres ont été harcelés par la police locale sous la direction du département de la police provinciale en 2010. C’était la deuxième fois que le capitaine de la sécurité intérieure venait m’arrêter. Il m’a demandé si je me souvenais encore de lui. J’ai répondu par l’affirmative et lui ai dit solennellement : « Comment se fait-il que vous soyez toujours confus après tant d’années ? » Il n’a pas répondu et a baissé la tête.

Quelques autres pratiquants et moi-même avons été détenus au poste de police. Le capitaine a discuté avec moi à plusieurs reprises et s’est montré plutôt amical. Je l’ai toujours affronté avec la pensée droite et j’ai continué à émettre la pensée droite pour le débarrasser de la perversité qui se cachait derrière lui. Les autres pratiquants et moi avons été libérés trois heures plus tard.

Je lui ai écrit une lettre pour lui demander de ne pas persécuter les pratiquants. D’autres pratiquants ont fait de même. Plus tard, il a quitté le service de police pour un autre emploi. Il a finalement quitté le PCC et ses organisations de la jeunesse.

Le Maître m’a protégée à chaque étape du chemin. Chaque fois, avant de sortir pour clarifier la vérité, je demande l’aide du Maître.

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Traduit de l'anglais