(Minghui.org) Dafa m'a changée d'une personne athée en une pratiquante, d'une personne souffrant d'innombrables maladies en une personne à l'âme saine et heureuse, et d'une personne ordinaire en une personne de grande moralité qui considère les autres en premier.

Au cours de mes 24 ans de cultivation, Maître Li Hongzhi a déployé tant d'efforts bienveillants pour moi. Mes proches en ont aussi immensément bénéficié.

En tant que disciple, je n'ai pas de mots adéquats pour exprimer ma gratitude envers le Maître.

Des êtres célestes apparaissent

Dès le moment où j'ai décidé de commencer la cultivation du Falun Dafa, des êtres célestes sont apparus devant moi. J'ai alors réalisé que le Maître s'occupait déjà de moi, me permettant, une athée, de voir des êtres divins de mes propres yeux.

J'ai été éduquée dans l'athéisme depuis l'enfance et je ne croyais en rien. Cependant, j'étais perplexe face à de nombreuses choses de la vie. Par exemple, je me demandais souvent « Pourquoi les êtres humains vivent-ils dans ce monde ? Si les divinités et les Bouddhas n'existent pas, d'où viennent les mots divinité et Bouddha ? Pourquoi ces deux mots existent-ils ? » J'étais perplexe.

Dans la trentaine, j'ai eu de plus en plus de problèmes physiques. Je souffrais de neurasthénie, d'hyperœstrogénie des vertèbres lombaires, d'une sciatique, d'une insuffisance rénale et d'une maladie inflammatoire pelvienne.

Je prenais plus de 40 sachets de médicaments à base de plantes prescrits par un célèbre médecin, mais cela n'a eu aucun effet. J'avais peur de porter des manches courtes en été. Spécialement lorsque je transpirais par une faible brise. L'indicible douleur de mes bras me donnait l'impression que je préférerais les faire amputer.

J'ai cherché un traitement médical dans de nombreux hôpitaux importants à Pékin et dans la capitale provinciale. J'ai essayé la médecine chinoise, la médecine occidentale, l'acupuncture, les massages et le qigong, mais aucune de ces méthodes n'a eu beaucoup d'effet.

Alors que je cherchais un traitement, j'ai réalisé que le corps humain possédait des capacités surnaturelles inhérentes et que l'on pouvait cultiver pour devenir un être divin.

Un jour, j'ai pensé que lorsque je prendrais ma retraite, j'irais dans la forêt profonde d'une montagne éloignée pour pratiquer la cultivation. Juste au moment où cette pensée a germé, une scène extrêmement belle est apparue devant moi : j'ai vu un grand cercle très clair et translucide. À l'intérieur du cercle se trouvaient des cocotiers et une fée en blanc, avec un enfant fée à sa droite et un autre à sa gauche.

J'étais stupéfaite. J'ai regardé la scène fixement pendant un moment jusqu'à ce qu'elle disparaisse. Je voulais la revoir, mais je ne le pouvais pas. Comme je n'avais aucune notion des divinités depuis mon enfance, je ne savais pas qui elles étaient. On m'a dit plus tard que j'avais vu Bodhisattva Guanyin et que les fées à ses côtés étaient l'Enfant d'Or et la Fille de Jade.

Après avoir obtenu Dafa, je suis devenue plus forte dans les tribulations

Le 2 mai 1996 est un jour inoubliable dans ma vie. Ce jour-là, j’ai eu tellement de chance qu’on me présente Dafa, ce qu’une personne pourrait ne pas rencontrer pendant une éternité.

Dès ce jour, j'ai commencé à regarder les vidéos des conférences de Maître Li. Après avoir regardé les neuf conférences, ma vision du monde a changé fondamentalement. Cela m'a éclairée sur tout ce qui me troublait d'habitude. J’ai été très enthousiasmée !

J'étais sûre que quiconque rencontrerait une si bonne pratique viendrait l'apprendre, alors j'ai dit à tout le monde, y compris à mes proches et à mes amis, de venir l'apprendre.

Quand j'ai fait la première fois la méditation assise, j'ai senti mon corps devenir de plus en plus grand. C'était fascinant ! Les états extraordinaires qui se manifestent dans la cultivation de Dafa continuaient à apparaître en moi, tout comme le Maître l’a décrit.

J'ai cultivé mon esprit pour être bienveillante selon le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance, et j'ai pratiqué la série des cinq exercices. Au-delà de mes attentes, tous mes problèmes de santé ont totalement disparu.

Même mes problèmes de transpiration excessive et de mal des transports ont disparu. Depuis ce jour-là, et pendant plus de vingt ans, je n'ai plus eu besoin de prendre des médicaments ni d'aller à l'hôpital.

Je n’ai plus à éviter la climatisation, les ventilateurs électriques, le vent, le soleil ou la pluie. Je peux m’occuper maintenant des personnes âgées et des petits-enfants, et j’estime que la plus grande joie dans la vie est d’être en bonne santé et de bonne humeur.

Le 20 juillet 1999, Jiang Zemin, le chef du Parti communiste chinois (PCC), a lancé la terrible persécution du Falun Dafa. Avec la protection bienveillante du Maître, j'ai surmonté l'une après l'autre de nombreuses épreuves.

Le pouvoir supranormal de Dafa s'est constamment manifesté en moi. Pour donner un exemple, j'ai été arrêtée une fois pour ma croyance. J'ai protesté contre la détention illégale en entamant une grève de la faim de huit jours et huit nuits. Non seulement je n'ai pas ressenti d'inconfort, mais lorsque je récitais les paroles pour émettre la pensée droite, j'entrais dans un état d'extrême tranquillité (ding). C'était comme le Maître l'a décrit :

« Il y a encore un autre état : en restant assis longtemps, on ne sent plus ses jambes, on ne sait plus où elles sont passées, votre corps n'est plus là, vos bras ne sont plus là, vos mains non plus, il ne reste plus que la tête. En poursuivant encore la pratique, on découvre que la tête n’est plus là non plus, il ne reste que votre propre conscience de soi, une pensée ténue qui sait que vous êtes là entrain de pratiquer le gong. » (Huitième Leçon, Zhuan Falun)

Pendant mon séjour au centre de détention, les agents ont demandé aux autres prisonnières de m'emmener pour qu'on me gave avec un tube. En regardant les agents et les prisonnières, je me suis sentie triste.

Je leur ai dit en larmes : « Nous ne faisons pas les choses pour notre propre intérêt. Les gens sont moralement corrompus et sont face au danger, nous sommes ici pour vous aider à être en sécurité. Je ne veux pas vous voir participer à la persécution des disciples de Dafa. Ce n’est pas bien pour vous. »

Puis j'ai demandé au Maître de me mettre dans un état d'élimination du karma. En un instant, tout mon corps a commencé à se convulser.

Ils m'ont mise sur un lit et le médecin de la prison a écouté mon rythme cardiaque et a pris ma tension artérielle. Il m’a appelée plusieurs fois, et j’ai fini par répondre. On m’a dit de ne pas bouger parce que j’étais sous le choc. Ils n’ont pas été en mesure de poursuivre le gavage.

Par la suite, ils ont essayé de me faire une intraveineuse, mais ont échoué parce qu’ils n'ont pas trouvé de veine. On m'a libérée peu de temps après.

Indemne lors d'un accident quasi mortel

Il était plus de 22 h le 6 mars 2002 quand je rentrais à vélo de la maison d’un ami où j'étais restée pour éviter d’être harcelée par la police.

Une moto est arrivée par-derrière à grande vitesse et m’a percutée sur le côté droit de la route. Je suis tombée devant la moto, et le conducteur est tombé au bord d’un champ de blé.

Je me suis immédiatement relevée et j’ai regardé autour de moi. Il n’y avait aucun signe de ma bicyclette et une de mes chaussures avait disparu.

Comme il faisait très sombre, je me suis penchée pour les chercher. J’ai trouvé ma chaussure et le panier à vélo au milieu de la route. La bicyclette était de l'autre côté de la route à 5 ou 6 mètres de moi.

Le conducteur ne bougeait plus. Je lui ai dit : « Comment allez-vous ? » Il n'a pas émis un seul son.

Je ne savais pas ce qui lui était arrivé, mais je ne pouvais pas le laisser seul car il y avait très peu de voitures qui passaient à cette heure-ci. J'ai voulu faire de l’auto-stop pour l’amener à l’hôpital, mais les voitures me contournaient et aucune ne s’est arrêtée.

Je suis restée là un moment jusqu’à ce qu’il bouge. Je me suis avancée pour l'aider tout en lui disant : « Je pratique le Falun Dafa, mon Maître nous a dit d’être de bonnes personnes. Je vais bien et je ne vous causerai aucun ennui. »

Il n'a pas dit un mot et je l'ai aidé à relever sa moto. On entendait l'essence couler d’une perforation du réservoir. Alors il m’a dit que sa lampe frontale était cassée et qu’il n'avait pas pu me voir à temps.

Une voiture est passée par là, et comme les phares éclairaient tout, j'ai vu que le motard était un jeune homme ; lui aussi m'a vue.

Il a dit avec émotion : « Madame, j'ai vraiment de la chance de rencontrer une personne aussi bonne que vous. Sinon, j'aurais dû vous amener à l'hôpital, indépendamment de ce qui m'est arrivé. »

Je lui ai dit que Dafa exige que nous soyons de bonnes personnes en toutes circonstances et que notre Maître nous demande de considérer les autres en premier.

J'ai aussi ajouté : « Ce qui a été rapporté à la télévision sur le Falun Dafa a été entièrement fabriqué. Rien n'est vrai, je vous en prie, n'écoutez plus jamais la propagande des médias. »

J'ai essayé de faire avancer mon vélo, mais les roues ne tournaient plus. Je me suis accroupie à côté du vélo et je l’ai caressé avec ma main, pensant qu’avec le Maître qui s’occupait de moi, le vélo ne devrait pas être comme ça. Je me suis levée, j’ai essayé de nouveau et les roues ont tourné. J’ai pu rentrer chez moi.

Après avoir raconté la collision à mon mari, je lui ai confié : « Sans pratiquer Dafa, j'aurais perdu ma vie aujourd'hui. »

Ma mère m'a dit qu'elle avait fait un rêve la nuit précédente dans lequel il y avait un couteau enfoncé dans la porte de ma maison. On disait que ça venait pour moi et c’était censé être une de mes tribulations.

Le lendemain matin. Mon mari a fait le tour de mon vélo, le regardant encore et encore. À part le feu arrière qui était arraché, il n'y avait aucun signe d’impact, pas même une bosse sur le panier arrière.

Il n'y avait aucun problème avec moi ni avec mes souliers et mes vêtements. Il a ri d'étonnement, car il a été une fois de plus témoin du miracle de Dafa.

Réciter les phrases de bon augure manifeste des miracles

Le 28 juin 2013, nous avons engagé des ouvriers pour faire le toit en acier de notre maison, et ils avaient besoin d'utiliser de l'électricité à haute tension.

C'était aux environs de 8 h le matin et mon mari est monté sur une échelle métallique pour installer un fil jusqu'à l'interrupteur électrique situé trois mètres au-dessus.

Comme il y avait un nid de guêpes à cet endroit, il l'a fait tomber. Pendant qu'il connectait le fil, une guêpe a soudainement volé devant lui. Il a involontairement penché la tête et déplacé sa main. Dans un bruit sourd, le fil a pris feu. Il a immédiatement chanté : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » tout en sautant de l'échelle.

Nos voisins sont sortis en entendant le bruit. Ils ont vu que mon mari avait la peau du dos de la main brûlée, et certains endroits carbonisés ou cloqués et tous les ongles des doigts de la main gauche étaient noirs.

Je lui ai demandé s'il allait bien. Il n'avait pas l'air d'être ennuyé, il m'a dit qu'il allait bien et a continué à travailler sur le câblage.

Le voisin lui a dit d'aller voir un médecin sinon sa main ne pourrait pas guérir. Mais il a terminé l'installation électrique et est allé au travail comme d'habitude.

Le soir, j'ai regardé le dos de sa main et lui ai demandé : « Est-ce que ça fait mal ? » Il a répondu : « Juste un peu au début. »

Je lui ai demandé : « As-tu récité les deux phrases ? » Il a répondu oui.

Il faisait très chaud à cette époque et il craignait d'être infecté, alors il a commencé à mettre de la pommade sur la brûlure. Après trois ou quatre jours, sa main ne semblait pas aller mieux.

Je lui ai dit : « Il n'y a aucun médicament qui puisse t'éviter la douleur, alors je te conseille d'arrêter de l'utiliser et juste de continuer à réciter “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”. » Ce qu'il a fait. Après deux ou trois jours, sa main était presque revenue à la normale.

Le neuvième jour, il était complètement guéri. Quand je l'ai vu laver quelque chose sous le robinet d'eau, je lui ai demandé : « Comment va ta main ? » Il a répondu : « Tout à fait bien maintenant. »

Ceci est simplement inimaginable d'un point de vue médical.

À fin juillet 2013, il remplaçait les vieilles vitres des fenêtres. Lorsqu'il a voulu sortir les vieux verres, il a heurté accidentellement le verre contre l'intérieur de son mollet et s'est perforé l'artère.

J'étais dans la cour à ce moment-là et je l'ai entendu appeler : «Viens vite ! J'ai une grosse veine qui s'est rompue ! » Je me suis précipitée à l'intérieur et lui ai dit de réciter immédiatement « Falun Dafa est bon ».

J'ai vu qu'il avait la main sur son mollet ; le bas de son mollet était plein de sang, ses chaussures et ses chaussettes étaient également toutes trempées de sang.

J'ai pris de la gaze et des boules de coton pour panser la blessure. Il saignait toujours, mais après avoir récité les phrases, l'écoulement a beaucoup diminué. Le lendemain, il est monté sur l'échelle pour nettoyer les conduites d'eau.

Je lui ai demandé comment allait sa jambe et il a dit : « Oh, je l'ai presque oubliée. Je n'ai ressenti que trois pulsions de douleurs à midi. C'est parce que le Maître soignait ma blessure. »

Je lui ai demandé : « Tu ne t'étais pas souvenu de réciter les deux phrases quand c'est arrivé ? »

Il a répondu : « Avec une blessure pareille, le sang a d'abord jailli, et j'ai pensé que tu allais certainement m'emmener à l'hôpital. Mais tu m'as dit de réciter les phrases immédiatement. Ce que j'ai fait, et le saignement a ralenti. »

Environ quinze jours plus tard, il a enlevé le pansement. La blessure de 1,5 cm environ avait très bien cicatrisé.

Je me cultive depuis vingt-quatre ans et je suis en bonne santé, je n'ai jamais pris de médicaments. Mon mari a vu le phénomène miraculeux de Dafa et il en a beaucoup bénéficié. Il n'a pas eu besoin non plus de médicaments.

Une fois, il avait mal au dos et ne pouvait pas soulever un bac d'eau. On lui a diagnostiqué une protubérance du disque intervertébral lombaire et donné une ordonnance, mais il ne l'a pas utilisée. Il a simplement récité les deux phrases de bon augure et a récupéré en quelques jours.

Il n'a pas encore commencé à pratiquer le Falun Dafa, mais il est très respectueux envers le Maître. Chaque fois que nous achetions des fruits frais, si je n'étais pas là, il les offrait d'abord au Maître en brûlant de l'encens.

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Traduit de l'anglais