Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

« Cette pratique est extraordinaire ! »

4 avril 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Hubei, Chine

(Minghui.org) J'ai vu beaucoup de gens faire des exercices lorsque je suis retournée dans ma ville natale au début de 1995. Mon troisième frère et sa femme étaient parmi eux. J'ai demandé de quel genre de pratique il s'agissait et l'on m'a répondu que c'était le Falun Dafa, une pratique de l'école de Bouddha. Quand j'ai appris qu'elle appartenait à l'école de Bouddha, je m'y suis intéressée et j'ai voulu la pratiquer moi aussi. J'étais en mauvaise santé depuis mon enfance et je ne voyais pas vraiment de sens à la vie. J'espérais que les dieux et les bouddhas m'emmèneraient au paradis.

Mon frère m'a dit : « Cette pratique est superbe. Le siège de lotus de la Bodhisattva Guanyin n'a qu'une seule couche. Le siège de lotus sur la photo du Maître a plusieurs couches. En général, la personne qui a atteint le Dao est âgée alors que notre Maître est très jeune. » Cela a renforcé ma détermination à pratiquer le Falun Dafa. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j'ai recouvré la santé et j'ai repris espoir. Le Falun Dafa est merveilleux !

Mon deuxième frère et son épouse qui travaillaient en ville m'ont dit plus tard qu'ils avaient assisté aux conférences du Maître dans la ville de Zhengzhou, dans la province du Henan. Ils m'ont également raconté de nombreuses histoires étonnantes. J'ai dit : « Pourquoi ne me l'avez-vous pas dit plus tôt ? Vous auriez dû m'emmener. » Zhengzhou n'est pas loin de chez moi. C'est à mon grand regret que je n'aie pas assisté aux conférences du Maître là-bas.

Je suis devenue plus pure après la cultivation et j'étais joyeuse tout le temps. Je voulais faire connaître cette merveilleuse pratique à d'autres personnes. J'ai suivi l'assistant pour répandre le Fa dans de nombreux endroits. Les pratiquants locaux travaillaient ensemble. Peu importe le temps ou la distance, nous allions partout où et quand l'on nous disait d'aller. À cette époque, la plupart des routes étaient boueuses et cahoteuses. Quelques fois, nous avons marché sur la route boueuse pendant des pluies torrentielles, et nous étions trempés de pluie et de sueur. Nous devions parfois nous rendre au même endroit pendant neuf jours.

À une occasion, je me suis rendue à un site de pratique situé à une vingtaine de kilomètres de chez moi après le dîner, quatre jours de suite. Un jour, il y avait tellement de brouillard que nous ne pouvions pas voir une voiture avant qu'elle ne soit très proche de nous. Enseigner les mouvements des exercices était également très difficile. Il fallait montrer plusieurs fois à certaines personnes avant qu'elles arrivent à se souvenir d'un seul mouvement. Je leur ai enseigné patiemment jusqu'à ce qu'elles comprennent. Je ne considérais pas cela comme difficile ; ce n'était rien comparé à tout ce que le Maître avait souffert pour nous sauver !

Douleurs atroces et cachexie

En septembre 2007 je me suis sentie mal et j'ai eu de terribles douleurs dans le ventre. J'étais incapable de marcher droit. Mon mari m'a forcée à faire des examens à l'hôpital. Il ne m'a pas communiqué les résultats des examens, mais quelqu'un m'a dit que j'avais un cancer du foie à un stade avancé. En entendant cela, le Fa du Maître m'est venu à l'esprit.

Le Maître a dit :

« Toutes les mauvaises choses existant dans votre pensée ainsi que le champ de karma qui entoure votre corps et les facteurs qui nuisent à votre santé vont être totalement éliminés » (Première leçon, Zhuan Falun)

Je suis une pratiquante. Le Maître a purifié mon corps il y a longtemps et c'est une illusion. J'ai cherché mes lacunes et j'ai émis la pensée droite. Les jours suivants, j'ai continué à réciter le Fa du Maître cité ci-dessus. De nombreuses épreuves ont suivi, je les ai traitées avec attention et j'ai éliminé mes attachements. J'ai fait face à la situation avec un cœur pur.

J'étais de plus en plus faible et je me suis rapidement émaciée. La douleur augmentait chaque jour, mais je continuais à étudier le Fa, à pratiquer les exercices et à émettre la pensée droite avec détermination. Je me rendais tous les soirs chez une pratiquante et je faisais à nouveau les exercices avec elle. De nombreuses personnes sont venues me voir. Certaines disaient : « Ta maladie est génétique. Ta mère et deux de tes frères sont morts d'un cancer du foie à la cinquantaine. » Je n'ai pas été émue par leurs paroles. La génétique familiale n'a rien à voir avec moi. Le Maître prend soin de moi. Je leur ai répondu calmement : « Je n'ai pas de maladie. »

Un mois plus tard, j'ai eu des douleurs atroces. J'ai brûlé de l'encens devant la photo du Maître pour lui témoigner mon respect et j'ai dit : « Maître, je suis désolée de ne pas être intelligente et d'avoir une mauvaise qualité d'éveil. Je n'ai pas trouvé la raison de ma souffrance. Maître, pardonnez ce que je n'ai pas fait correctement. Je vais faire mieux et rectifier mes pensées à l'avenir. » Cette nuit-là, j'ai vomi beaucoup de choses sales et malodorantes. Je savais que le Maître nettoyait les mauvaises choses pour moi.

Le lendemain, j'étais très faible et je ne pouvais pas me lever. Mon mari est sorti pour jeter les mauvaises choses que j'avais vomies la nuit précédente. De nombreuses personnes sont venues me voir. Je leur ai dit : « Je vais bien maintenant. Je ne vais pas mourir. » Je leur ai demandé de ne plus venir me voir.

J'ai décidé d'aller passer quelques jours chez mon deuxième frère et sa femme en ville pour étudier le Fa, pratiquer les exercices et partager avec eux. Je me suis dit qu'ils devaient avoir un bon champ d'énergie puisqu'ils étaient pratiquants. Mon mari a appelé ma belle-sœur la plus âgée et notre deuxième fils à Wuhan. Ils sont venus au domicile de mon deuxième frère. Ils ont insisté pour que j'aille faire un contrôle à l'hôpital. Notre fils m'a demandé de passer un examen dans un hôpital de Wuhan. Il pensait qu'un hôpital plus grand pourrait me donner un diagnostic plus précis. Je lui ai dit que j'allais bien et que je ne voulais pas perdre de temps et d'énergie avec l'hôpital et que je n'avais pas eu de maladie depuis que j'avais commencé à pratiquer le Falun Dafa ; je considérais cela comme la réussite d'un test. Je n'ai pas été touchée par la sentimentalité et ils sont partis.

Quand je suis revenue de la ville, plusieurs voisins m'ont dit : « Quand tu étais absente, ton mari se promenait avec d'autres femmes sur sa moto. Il y a quatre femmes... » Je suis restée calme, comme si j'écoutais une histoire concernant une autre personne. Après avoir vécu cette grande épreuve, j'ai compris qu'il n'était pas facile d'avoir un corps humain et que j'étais si chanceuse de recevoir le salut du Maître. Tout le reste était sans importance.

Rapidement, mon troisième frère est venu me voir. Mon mari, mon troisième frère et moi nous sommes assis autour d'une table. Mon mari a dit à mon frère : « Je suis occupé par mon travail. Elle doit encore faire la cuisine et les tâches ménagères. Elle devrait faire quelque chose. » J'étais très faible à ce moment-là. Il a ensuite poursuivi : « Frère, si j'ai de l'argent, je me remarierai à l'avenir. Si je n'ai pas d'argent, alors je garderai le statu quo. » J'étais assise juste à côté de lui ! J'ai pensé au Fa du Maître à ce moment-là.

Le Maître a dit :

« Les gens d'aujourd'hui considèrent les sentiments comme vraiment importants, mais les sentiments sont la chose sur laquelle on peut le moins compter. » (« Enseignement du Fa à la réunion avec les élèves de la région d’Asie-Pacifique » Enseignement du Fa dans les conférences VI)

Je pensais qu'il avait l'air pitoyable et perdu dans un labyrinthe. J'ai surveillé mon xinxing et fais comme si je n'avais rien entendu.

Trois autres mois ont passé et je me suis complètement rétablie, ce qui a provoqué un grand intérêt dans mon entourage. Mon cousin a commencé à pratiquer le Falun Dafa à la suite de cela.

Un jour, j'ai clarifié la vérité à un homme sur un pont. Je lui ai dit que Dafa avait des avantages étonnants pour la santé et je lui ai raconté mon expérience. Une personne qui écoutait m'a aidé et a dit : « Elle a eu un cancer du foie et a failli mourir. Mais le Falun Dafa l'a aidée à se rétablir complètement. » L'homme a accepté de se retirer du Parti communiste chinois (PCC). J'ai dit à la dame que je ne la connaissais pas, mais elle a répondu qu'elle me connaissait et qu'elle avait entendu parler de mes histoires.

Il m'a fallu quatre mois pour passer ce test de karma de maladie. C'est assez facile de raconter mon histoire maintenant. Mais cela a été difficile à traverser, comme le Maître a dit :

« Cent épreuves tombent en même temps. » (« Faire souffrir le cœur et la volonté » Hong Yin)

Le Maître m'a aidé à traverser cette énorme épreuve. Dès le début, j'ai cru fermement que je n'étais pas malade. Lorsque je ressentais une douleur insupportable, je récitais le Fa du Maître et gardais mon cœur pur. Quelqu'un m'a demandé si je me mettais en colère lorsque mon mari me traitait si mal. Je pensais qu'il était une personne ordinaire alors que j'étais une disciple de Dafa qui marche sur le chemin de la divinité. Mon cœur n'était pas du tout touché pendant cette période.

Mon mari a subi une attaque cérébrale

Mon mari a eu un accident vasculaire cérébral en 2013, et ne pouvait plus se tenir debout de manière stable. J'ai dû m'occuper de tout dans ma famille. Il était incontinent et urinait dans le salon ou devant la porte. Je devais le nettoyer rapidement pour que les choses ne sentent pas mauvais. Je le gardais propre et bien soigné. Parfois, je l'emmenais faire une promenade en fauteuil roulant. D'autres fois, je suis allée clarifier la vérité avec lui assis à l'arrière de mon scooter. Même si j'étais occupée, je trouvais le temps d'étudier le Fa, de pratiquer les exercices, d'émettre la pensée droite et de clarifier la vérité aux êtres.

J'ai fait toutes les tâches ménagères, je me suis occupée du mariage de mes deux fils, de la naissance de mes petits-enfants et j'ai cuisiné pour huit personnes pendant le Nouvel An chinois, tout cela toute seule. J'étais parfois épuisée et j'avais l'impression que j'allais m'effondrer. Lorsque je me plaignais de mon mari, je récitais immédiatement le Fa du Maître :

« C'est une sorte de tolérance immense, un état de Compassion envers les vies, de pouvoir tout comprendre avec une intention bienveillante. Pour le dire avec une phrase humaine, ils peuvent tous comprendre les autres. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de Boston en 2002 », Enseignement du Fa dans les conférences II)

Je me suis dit que je devais écouter le Maître. J'ai tout fait sans rancune.

Un homme qui habitait dans l'unité en haut de la ruelle où je vivais a eu une attaque. Sa femme l'enfermait dans l'unité et le laissait seul. Lorsque mon mari est passé devant son unité, il a réalisé que le Falun Dafa lui avait apporté des bénédictions. Si je n'avais pas pratiqué le Falun Dafa, il aurait souffert. Il respecte beaucoup le Maître. Nos voisins savent tous que le Falun Dafa est merveilleux.

Clarifier la vérité dans un rayon d'une quinzaine de kilomètres

J'ai commencé à clarifier la vérité avec d'autres pratiquants après le début de la persécution. Au début, nous le faisions surtout à pied. Puis nous avons loué une camionnette. Maintenant, nous utilisons des scooters.

À une occasion, j'ai rencontré un homme d'une quarantaine d'années. Il a dit qu'il ne croyait plus aux dieux et aux Bouddhas. Sa mère croyait au bouddhisme, mais elle se disputait avec sa femme. Sa femme s'est suicidée. Je lui ai dit que celui qui croit vraiment au Bouddha est compatissant et gentil avec les autres. « Votre mère croyait au bouddhisme dans la période de la fin du dharma, et le bouddhisme ne peut pas sauver les gens maintenant. Votre femme s'est suicidée dans un accès de dépression. Vous ne pouvez pas blâmer le divin. » Le Maître a dit :

« Quand la nature de bouddha surgit chez quelqu’un, le Monde des Dix Directions en est ébranlé. » (Première leçon, Zhuan Falun)

« Si vous croyez vraiment au Bouddha, le Bouddha vous bénira. » Il a trouvé mes arguments très bons et a accepté les documents d'information que je lui ai donnés et a démissionné du PCC.

Un jour, je suis tombée sur un homme âgé qui ressemblait à un cadre du PCC. Il a dit que le PCC était très bon et lui donnait une pension mensuelle de 50 yuans. Je lui ai dit : « À votre âge, vous avez dû vivre beaucoup de choses. Quand vous étiez jeune, vous pouviez à peine gagner de quoi nourrir votre famille, même si vous travailliez très dur toute l'année. N'est-ce pas ? Où est passé votre argent ? Le PCC l'a saisi. Vous avez travaillé dur toute votre vie et maintenant vous n'avez que 50 yuans par mois. Ne pensez-vous pas que vous avez beaucoup perdu ? » Il était d'accord. Je lui ai ensuite raconté la raison pour laquelle le PCC a réprimé les étudiants de la place Tiananmen le 4 juin 1989, l'incident des auto-immolations mises en scène sur la place Tiananmen pour diffamer le Falun Dafa, et combien le Falun Dafa est merveilleux. Il a dit qu'il était membre du PCC et a accepté de démissionner.

Un jour, j'ai parlé à une femme et lui ai dit que le Falun Dafa enseignait aux gens à être bons et qu'il s'était répandu dans plus de cent pays et régions. Elle a dit : « De nos jours, les gens bons souffrent et les gens mauvais vivent une vie libre et heureuse. »

« Vous ne pouvez pas vous contenter de regarder ce qui se passe devant vos yeux. » Je lui ai dit : « La vertu est la plus importante. Faire de bonnes choses permet d'accumuler de la vertu alors que faire de mauvaises choses fait perdre de la vertu. Une famille s'épanouit lorsque ses membres ont de la vertu, et une famille souffre de difficultés lorsqu'elle a peu de vertu. Vous devez voir les choses sur le long terme. Un vieux dicton chinois dit : “La personne n'est pas punie parce que le moment n'est pas encore venu. Lorsque le moment sera venu, le châtiment viendra sûrement.” Vous voyez ces gens comme Zhou Yongkang et Bo Xilai qui ont persécuté le Falun Dafa. Ils ont perdu beaucoup de vertu. Ils sont emprisonnés, n'est-ce pas ? Ils descendront en enfer dans le futur. » Elle a dit que je parlais très bien et qu'elle se sentait à l'aise. Elle m'a demandé de l'aider à se retirer de la Ligue de la jeunesse du PCC.

J'ai clarifié la vérité aux personnes qui vivent dans un rayon d'une quinzaine de kilomètres autour de moi. Je fabrique des documents de clarification de la vérité depuis 2011 et je suis partie de zéro. Je vais suivre le Maître, bien me cultiver et sauver davantage d'êtres.

Un jour, j'ai vu de nombreuses fleurs d'udumbara, belles et pures, sur une feuille de laitue dans le panier de ma cuisine. J'ai invité les pratiquants locaux à venir voir. Plus tard, des fleurs d'udumbara ont poussé sur les niébés dans le champ de ma famille. Je savais que le Maître m'encourageait. Je vais cultiver plus assidûment.

Tous les articles, graphiques et contenus publiés sur Minghui.org sont protégés par les droits d'auteur. La reproduction non commerciale est autorisée, mais doit être accompagnée du titre de l’article et d'un lien vers l’article original.

Traduit de l'anglais