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[Célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa] Un mariage presque brisé devient harmonieux

3 juin 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Heilongjiang, Chine

(Minghui.org) Mon mari fait souvent mon éloge devant ses parents, sa famille, ses amis et ses collègues de travail : « Pendant toutes ces années, si notre mariage a perduré, c’est grâce à elle. » D'autres estiment que nous formons un couple enviable et heureux. Il y a huit ans, personne n'aurait pensé cela, et mon mari n’en aurait certainement pas parlé. Notre famille était au bord de l'effondrement.

Un mariage malheureux

Il y a huit ans, ma belle-mère a essayé de convaincre mon mari de divorcer, car les mensonges diffamatoires du Parti communiste chinois (PCC) envers le Falun Gong l’avaient induite en erreur. En raison des conséquences de la politique du Parti, elle avait peur que ma pratique ne compromette l'avenir de son fils.

En conséquence, mon mari me criait souvent : « Je te dis depuis longtemps que j'en ai assez de vivre avec toi ! Je regrette vraiment de t'avoir épousé. Va-t'en ! » ou bien il me disait : « Je veux divorcer ! La lettre de l’entente est sur la table, signe-la rapidement. Puis demande à ta famille de te ramener chez toi. » Si je n'avais pas été une pratiquante de Falun Dafa, je n'aurais pas pu supporter de rester avec lui un seul jour.

Chaque jour, mon mari se rendait d’abord sur son lieu de travail pour signaler sa présence, ensuite il allait dans le parc ou dans les rues du quartier pour vérifier si je parlais de Dafa aux gens. S'il me voyait en train de le faire, une « guerre » m'attendait à la maison et cela durait du matin jusqu'à tard dans la nuit. Des chaises et des téléphones portables étaient cassés et il m'a fait aller au tribunal de force. Il m'a même menacé avec un couteau et toutes sortes d’approches ont été utilisées, elles variaient de douces à dures. J'étais épuisée physiquement et mentalement. Je pleurais tout le temps.

En raison de ma persistance, mon mari a fini par accepter de me laisser sortir de la maison deux fois par semaine, mais pas plus de trois heures à chaque fois. Pendant ces trois heures, ses parents m'apportaient leur aide en s'occupant de notre enfant. Je sortais pour clarifier la vérité avec une pratiquante âgée. Au début, je ne savais pas comment parler de Dafa aux gens. Progressivement, la pratiquante âgée m'a enseigné et encouragée. Bientôt, j'ai été capable de parler avec aisance. Lorsque quelqu'un se rendait compte de la bonté du Falun Dafa, contrairement à la propagande du PCC, nous étions toutes les deux si enthousiasmées que nous en pleurions. Ce fut le moment le plus merveilleux de ma vie.

Cependant, en rentrant chez moi, j’avais toujours le cœur serré. Plus je m'approchais, plus l'inquiétude grandissait. En montant les escaliers, j'avais peur qu'une nouvelle tempête m'attende. Ma belle-mère a menacé mes parents et a dit qu'elle allait me signaler à la police. Elle a menti en me disant qu'elle avait mal à la tête et qu'elle n'était pas en mesure de s'occuper de mon enfant pendant la nuit. En fait, elle sortait tous les soirs pour jouer au mah-jong.

Je me sentais traitée injustement. J'avais renoncé à la vie en ville et à un emploi bien rémunéré pour suivre mon mari dans sa ville natale. Nous n'avions pas de maison et devions louer notre logement. Comme je n'avais pas d'emploi, ma belle-mère me regardait de haut. Je n'avais pas d'argent et je devais m'occuper seule de mon enfant le jour et la nuit. Mon mari était ma seule famille, mais il s'emportait tous les jours et limitait ma liberté personnelle. Quand je regardais mon bébé, j'étais si malheureuse que je voulais mourir. Je me suis plainte à d'autres pratiquants et à ma mère. Je pleurais en étudiant le Fa et en lisant des articles de partage d'expériences écrit par d'autres pratiquants sur le site web Minghui. Je ne savais vraiment pas comment changer un tel environnement familial.

Il y a encore un foyer dans cette famille

J’ai passé beaucoup de temps à étudier le Fa et à parler avec d'autres pratiquants, et peu à peu j'ai appris à me cultiver. Je me suis souvenue de ce que le Maître a dit :

« Donc j’ai dit dans le passé que les disciples de Dafa, en tant que pratiquants, doivent voir les problèmes et les personnes avec une attitude à l’opposé de celle des gens ordinaires. »

« Lorsque vous rencontrez des choses désagréables, c’est justement le moment où vous pouvez vous cultiver vous-mêmes, cultiver votre cœur. » (« Les disciples de Dafa doivent impérativement étudier Fa » Enseignement du Fa dans les conférences (XI))

Ma façon de penser est passée par une énorme transformation. Au début, je m’entêtais. Je me défendais et j'étais sarcastique. Ensuite, j’ai évolué pour devenir capable d'écouter calmement et de laisser mon mari terminer ses propos. Plus tard, lorsqu’il se mettait en colère, je n'étais pas émue. Je me rappelais qu'il fallait voir les choses de son point de vue et lui pardonner.

Je lui ai dit : « Ne sois pas en colère. Je ne fais pas une mauvaise chose en pratiquant Dafa. Je fais simplement de bonnes actions. C'est merveilleux d'être une personne qui vit selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance ! Si je fais quelque chose de mal je changerai. Mais tu ne peux pas m’empêcher de pratiquer. J'étudie le Fa et je fais les exercices pendant mon temps libre. Je ne gêne personne et ma pratique ne m'empêche pas de faire les tâches ménagères et de m'occuper du bébé. Pourquoi n'aurais-je pas le droit de pratiquer ? Même la Constitution stipule que les citoyens ont la liberté de croyance ! Je suis libre d'avoir une croyance et tu ne peux pas intervenir. »

En entendant ses paroles, mon mari a claqué la porte et est sorti pendant une période interminable. Quand il est revenu, je me suis approchée de lui en souriant, j’ai tiré sur ses manches, et lui ai dit : « J'ai préparé le dîner, viens manger. » Il a secoué son bras pour m'enlever la main et est parti. Je me suis approchée à nouveau et lui ai dit : « Tu dois manger. J'ai déjà mis la table. » Je l'ai traîné à la table et il a mangé sans dire un mot. Notre enfant était jeune et n'avait pas encore appris à parler. L'atmosphère calme et oppressante de la maison était étouffante.

Le lendemain, il a continué à m'ignorer. Je me suis à nouveau approchée de lui en souriant et je l'ai invité à manger quelque chose. Cette situation tendue a duré plusieurs jours.

Une fois, pendant un mois entier j’ai dû prier mon mari ainsi pour qu’il vienne manger. Il ne me parlait pas du tout. Une autre fois, il a été trois mois sans me dire un mot. Mais j'ai continué à lui préparer des plats variés. Il était difficile et j'ai appris différentes méthodes de cuisson pour répondre à ses goûts. Il n'avait pas un bon appétit et ne pouvait rien manger si ce n'était pas épicé. J'ai appris à cuisiner la cuisine du Sichuan en regardant des vidéos. À chaque repas, je préparais deux types d'aliments : un pour mon enfant et l'autre pour mon mari.

Chaque soir, je préparais quatre plats. Il avait un petit appétit alors j'ai acheté des petites assiettes de 15 cm et je préparais la quantité suffisante pour remplir chaque assiette. De cette façon, il n'avait pas à manger les restes et je cuisinais de nouveaux plats le lendemain. À la fin, il a ri et a dit : « Tu cuisines un tel choix de plats tous les jours. Je ne voudrais pas manger autrement. » Il a également dit : « En fait, tout ce que tu fais n'est pas inutile. Ces choses sont enfouies dans mon cœur comme des graines. »

Maintenant, quand il me voit cuisiner, il me dit : « Ne te donne pas tant de mal. Tu peux cuisiner n'importe quoi. Je mangerai tout ce que tu fais. » Non seulement il a cessé d'être difficile, mais il m'a dit plus d'une fois : « Tu sais ce qui m'a le plus ému ? C'est que tu me pousses à manger tous les jours. Cela signifie que, quelle que soit la façon dont nous nous disputons, le résultat final t'appartient. Cela m'a montré qu'il y a encore de l'espoir dans cette famille. »

Je sais que cela s’est produit parce que j’ai agi conformément aux enseignements de Maître Li (le fondateur de Dafa). J'ai été capable de pardonner à mon mari ses erreurs et, en suivant le critère Authenticité-Bienveillance-Tolérance, j’ai sauvé ma famille.

Abandonner le ressentiment

Mon mari aime boire de l'alcool et souvent il boit jusqu'à devenir ivre. Parfois, il s'évanouissait dans la salle de bains et y dormait par terre. Parfois, il était tellement ivre qu'il tombait du lit et dormait sur le sol jusqu'au matin. À d'autres moments, il s'emportait et criait après tous ceux qui l'entouraient.

L'année précédente, pendant le Nouvel An chinois, mes parents et mon frère sont venus me rendre visite. Lors de la fête, mon mari a bu plus que d'habitude. Il a révélé que sa mère voulait acheter une maison et qu'elle voulait emprunter de l'argent aux proches de ma famille. Ma famille a répondu : « Ce n'est pas notre argent et il n'est pas correct que nous leur demandions de l'argent. » Mon mari, ivre, a crié à ma famille : « Sortez ! »

J'ai eu le cœur brisé et mes pleurs étaient incontrôlables. J'en avais assez de son comportement déraisonnable. Je me suis souvenue de tous les traitements injustes qu’il m’avait fait subir pendant toutes ces années. Le jour de notre mariage, il avait piqué une colère contre ma mère. Lorsque j’ai eu mon bébé, ma mère s'est occupée de moi jour et nuit, mais lorsqu’il était mécontent, il claquait la porte et s’en allait.

Il n'avait pas de voiture, alors mes parents lui en ont acheté une. Il conduisait ses parents lors de leurs déplacements. Mes parents ne viennent me rendre visite qu'une fois par an. À chaque fois, je devais prendre un taxi pour aller les chercher. Pas une seule fois il n'a pris la voiture pour aller les accueillir. Pendant un mois, je suis restée dans un petit hôtel humide et sale et je suis allée à l'hôpital pour m'occuper de son père. Cependant, il m'a disputée pendant six heures pour quelque chose que mon père avait dit.

Ce jour-là, c'était le Nouvel An chinois, et ce fut le pire de ses comportements. Plus j'y pensais, plus j'étais désolée pour moi et ma famille. Mon frère était tellement en colère qu'il s'est levé pour partir. Je l'ai persuadé de ne pas prendre les paroles de mon mari à cœur et j'ai dit à mon mari : « Penses-tu que c’est une façon d’agir ? »

Réalisant qu'il avait dépassé les bornes, mon mari s'est retourné et s'est agenouillé devant mon père : « Papa, j'ai trop bu. J'ai eu tort. » Mais pour sauver la face, il a changé de sujet et a dit qu'il s'opposait à ma pratique de Dafa. Lorsque nous sommes retournés dans la chambre, j’ai subi ses réprimandes pendant une demi-journée. Après le départ de mes parents, il a brandi la menace du divorce. Mes parents qui sont aussi des pratiquants m'ont réconfortée : « Il était ivre, ne lui en veux pas. Regarde tes défauts. » Après m’avoir réprimandée, la fatigue a eu raison de lui et il s’est endormi. J'étais bouleversée et amère. Je ne pouvais pas dormir.

J'ai pensé : « Pourquoi cela s’est-il produit ? Qu'ai-je fait de mal ? Lorsque les disciples de Dafa ont des conflits avec les gens ordinaires, c'est nous qui sommes en faute. Pourquoi est-ce que je me sens bouleversée ? Qu'est-ce que je n'arrive pas à abandonner ? Je sais que ce sont les émotions, et ma sentimentalité envers ma famille. »

Je me suis rendu compte que selon moi, les familles devaient être harmonieuses et cordiales. Il fallait respecter les parents. Je ne me suis jamais disputée avec mes parents. J'abhorre tout comportement irrespectueux envers mes parents. Tout ce qui s'était passé ce jour-là allait à l'encontre de mes idées. Je me suis dit que ça n'allait pas. Nous devons nous cultiver nous-mêmes, pas les autres. Je ne peux pas blâmer mon mari. Je devrais lui dire de faire la bonne chose. Après le départ de ma famille, j'ai commencé à écrire une lettre à mon mari. Elle faisait 14 pages.

Dans cette lettre, j'ai énuméré les souffrances que j'avais endurées pendant toutes ces années. Un couple normal aurait eu du mal à supporter ces situations difficiles. J'avais un poste de niveau moyen au travail, un emploi respectable. J'ai expliqué à mon mari les sacrifices que j'avais faits pour maintenir notre famille unie. Pour la première fois, je lui ai avoué le nombre de fois où j'ai eu envie d'abandonner ce mariage étouffant. C'était ma croyance en Authenticité-Bienveillance-Tolérance qui m'avait permis de continuer et de pardonner à mon mari et à sa mère pour ses critiques constantes.

J'ai écrit : « Dans le passé (avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa), je ne pouvais pas dormir. Lorsque j'avais un peu faim, j’avais tellement mal à l’estomac que je ne pouvais pas bouger. Depuis que je pratique le Falun Dafa, je me suis rétablie de ces malaises. J'allais mieux et pourtant on m'a forcée à arrêter de pratiquer - comment cela peut-il être possible ? Non seulement la pratique de Dafa m'a été bénéfique, mais elle l'a été aussi pour toute notre famille. Tu as profité de ma tolérance, mais tu refuses d'accorder du crédit au Falun Dafa. Ce ne sont pas les façons de faire d'une noble personne. Comment puis-je te respecter ?

« Pendant toutes ces années de notre mariage, constamment, je me suis rappelé d'être indulgente et gentille avec les autres, de regarder leurs forces et d'essayer de faire de mon mieux. En tant que pratiquante, je devrais être capable de faire des sacrifices et ne pas avoir peur de perdre. Six années ont prouvé que je l'ai fait. Je peux donc dire que dans ce mariage je n'ai aucun regret. J'ai renoncé à tout ce qui pouvait l'être. Je ne veux pas divorcer, mais divorcer ne me fait pas peur. Cela ne veut pas dire que, comme je cultive et pratique, je fais quelque chose de mal et je devrais tout tolérer. Ce n'est pas parce que je suis gentille et tolérante que les autres devraient pouvoir me harceler . »

Le premier soir lorsque mon mari a lu la lettre, il m'a disputée. Après le deuxième jour, il est devenu plus calme et plus tranquille. Plus tard, il m'a dit : « Je suis ému ! Je me suis rendu compte que je n'ai pas fait ce qu'il fallait. Je n'agirai plus comme ça. »

Un soir, il a bu un peu d'alcool et a dit : « Merci, ma chère. Je te suis vraiment reconnaissant. Tu es la meilleure personne. Dans mon travail, tu es ma plus grande motivation pour que je travaille fort. J'ai un bon fils et une bonne femme. Ne t'inquiète pas, je ne te traiterai plus comme ça. Je ne me comporterai pas comme ça avec tes parents. J'espère que ton frère aura une vie heureuse. J'ai une conscience. À l’avenir, je les traiterai bien. »

La lumière au bout du tunnel

Mon mari m'a répété ces paroles encore et encore. J'ai été touchée. En effet, il a fait ce qu'il a dit.

L’été dernier, lorsque mes parents sont venus me rendre visite, mon mari a pris congé et les a véhiculés tous les jours, les emmenant sur les lieux touristiques de la région. Il me répétait même : « Ils ne viennent pas souvent. Achète tout ce qui leur fait plaisir de manger, ne sois pas avare et ne les laisse pas dépenser d’argent. »

Lors du Nouvel An chinois, il a envoyé des vœux à mes parents et a même demandé des nouvelles de mon jeune frère : « A-t-il une petite amie ? J'espère qu'il va bientôt s'installer et avoir un enfant pour que mon beau-père et ma belle-mère cessent de s’inquiéter. »

Le troisième jour du Nouvel An, lorsque je me suis rendue chez ma tante, il a dit : « N’aie pas peur de dépenser de l'argent pour des cadeaux lorsque tu rendras visite à ta famille. Achète-leur quelque chose de joli. » Nous avons apporté beaucoup de cadeaux. 

Chez mon parent, il a malencontreusement trop bu. Quand nous sommes rentrés à la maison, il était désolé : « J'ai été contrarié toute la journée. J'aurais voulu avoir un meilleur comportement, mais à la fin je t'ai fait honte. » J'ai ri : « Ce n'est pas grave, nous sommes tous de la même famille. » Il a appris à contrôler sa consommation d'alcool et il est rarement ivre.

Bien que mon mari ne pratique pas le Falun Dafa, il sait réfléchir à ses défauts. Il a commencé à m'aider dans les tâches ménagères. Par exemple, lorsque je fais la vaisselle, il plie les couvertures. De temps en temps, il balaie par terre, lave la vaisselle et aide notre fils à faire ses devoirs. Il va chercher et dépose notre enfant tous les jours à l'école. Il a acheté un appareil pour balayer le sol afin que je ne me fatigue pas à faire le ménage. Il a même dit à notre fils : « Pourquoi ne manges-tu pas à l'école, tu pourrais ainsi éviter à ta mère d’aller te porter ton déjeuner ? »

Il a cessé d'être exigeant envers moi et voit plutôt où il a des lacunes et change ses habitudes rapidement. Il est devenu une personne différente. Il est sincère, gentil et aime sa famille. Il est prêt à faire des sacrifices pour nous et a cessé d'interférer dans ma clarification de la vérité. Lorsque des pratiquants viennent chez nous, il les salue très naturellement. J'ai acheté une imprimante pour imprimer des informations sur le Falun Dafa à la maison. Mon environnement de cultivation s'est amélioré et l'atmosphère à la maison est devenue plus harmonieuse.

Mon mari me fait souvent des compliments devant ses parents, sa famille et ses collègues de travail. Aux yeux de ses amis et de sa famille, nous sommes un couple heureux. Ils nous considèrent même comme des experts en matière de gestion des crises conjugales. Son cousin vient souvent nous demander conseil : « Comment faites-vous pour vous entendre aussi bien l'un avec l'autre ? » Mon mari lui répond : « N'essaie pas de changer l'autre, d'abord c’est à toi de changer. » Il a partagé ses expériences personnelles avec des parents et des collègues de travail, leur disant d'être prévenants envers leurs femmes et d'aimer leurs familles. Ils ont tous dit qu'ils étaient très inspirés.

L'année dernière, mon mari m'a même aidée à trouver un emploi. Nos revenus ont augmenté et notre vie est meilleure. Tout le monde a dit : « C'est la pratique de Dafa qui procure ces bénédictions. »

Avec le recul, j'ai observé que ma relation avec mon mari a changé à pas de géant. Au cours de ces huit années de mariage, Authenticité-Bienveillance-Tolérance a purifié notre famille. Petit à petit, Dafa a transformé mon mari. 

Ce que j'ai vécu au cours de ces huit dernières années m'a appris que, quelle que soit l'intensité du conflit, dans les moments où vous avez perdu tout espoir, tant que vous croyez au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, vous trouverez une issue et chaque nuage vous apportera une lueur d'espoir.

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Traduit de l'anglais